Qu'en est-il de la promotion de la langue tamazight en Algérie ? Telle est la question à laquelle ont tenté de répondre les participants au Symposium sur l'action des institutions de l'Etat pour la promotion de l'amazighité, organisé à Boumerdès par le Haut Commissariat à l'amazighité (HCA). Qu'en est-il de la promotion de la langue tamazight en Algérie ? Telle est la question à laquelle ont tenté de répondre les participants au Symposium sur l'action des institutions de l'Etat pour la promotion de l'amazighité, organisé à Boumerdès par le Haut Commissariat à l'amazighité (HCA). Ce symposium, intervenant quelques jours avant la célébration du 19e anniversaire de la création du HCA, a vu la participation de plusieurs cadres de différents ministères et la nouvelle ministre de la Culture, Mounia Labidi Cherabi, a eu l'honneur de l'ouvrir officiellement. Lors de son allocution, la ministre a exprimé son voeu de soutenir l'émancipation et la promotion de l'amazighité et se dit prête à « collaborer avec toutes les synergies et les bonnes initiatives à même de préserver la culture et la tradition algériennes ». Pour sa part, le secrétaire général du HCA, El Hachemi Assad, a mis l'accent, au cours de son intervention, sur la nécessité de «¶ jumeler les efforts des uns et des autres pour la promotion de l'amazighité qui connait un recul, notamment ces dernières années ». « Le HCA a une mission noble qui consiste à promouvoir et à développer, par tous les moyens institutionnels, l'amazighité à travers toute l'Algérie. Et cela ne peut se faire sans l'implication et la disponibilité de ses partenaires », a-t-il fait savoir. Le premier responsable du HCA a précisé, en outre que « les moyens et les effort s déployés, au départ n'ont pas apporté les résultats escomptés » . Et d'ajouter « l'examen du dossier de l'amazighité doit se faire avec lucidité et d'une façon générale, le bilan des réalisations est appréciable mais demeure insuffisant comparé aux ambitions affichées ». Ce résultat pousse les responsables du HCA ainsi que ses collaborateurs et partenaires à travailler pour trouver une nouvelle stratégie afin de remédier aux manques enregistrés. Par ailleurs, M. Assad n'a pas manqué de préciser que ce résultat est dû spécialement au manque de clarté et à l'absence de passerelles avec les institutions étatiques. Justement sur ce point, Mounia Cherabi, s'est engagé à « développer une conception de collaboration beaucoup plus constructive pour permettre à la langue amazighe un fleurissement durable ». Tamazight a été introduite dans le système éducatif en 1995 et reconnue langue nationale alors que le HCA a été mis en place suite aux multiples revendications identitaires des années durant. Ce symposium, intervenant quelques jours avant la célébration du 19e anniversaire de la création du HCA, a vu la participation de plusieurs cadres de différents ministères et la nouvelle ministre de la Culture, Mounia Labidi Cherabi, a eu l'honneur de l'ouvrir officiellement. Lors de son allocution, la ministre a exprimé son voeu de soutenir l'émancipation et la promotion de l'amazighité et se dit prête à « collaborer avec toutes les synergies et les bonnes initiatives à même de préserver la culture et la tradition algériennes ». Pour sa part, le secrétaire général du HCA, El Hachemi Assad, a mis l'accent, au cours de son intervention, sur la nécessité de «¶ jumeler les efforts des uns et des autres pour la promotion de l'amazighité qui connait un recul, notamment ces dernières années ». « Le HCA a une mission noble qui consiste à promouvoir et à développer, par tous les moyens institutionnels, l'amazighité à travers toute l'Algérie. Et cela ne peut se faire sans l'implication et la disponibilité de ses partenaires », a-t-il fait savoir. Le premier responsable du HCA a précisé, en outre que « les moyens et les effort s déployés, au départ n'ont pas apporté les résultats escomptés » . Et d'ajouter « l'examen du dossier de l'amazighité doit se faire avec lucidité et d'une façon générale, le bilan des réalisations est appréciable mais demeure insuffisant comparé aux ambitions affichées ». Ce résultat pousse les responsables du HCA ainsi que ses collaborateurs et partenaires à travailler pour trouver une nouvelle stratégie afin de remédier aux manques enregistrés. Par ailleurs, M. Assad n'a pas manqué de préciser que ce résultat est dû spécialement au manque de clarté et à l'absence de passerelles avec les institutions étatiques. Justement sur ce point, Mounia Cherabi, s'est engagé à « développer une conception de collaboration beaucoup plus constructive pour permettre à la langue amazighe un fleurissement durable ». Tamazight a été introduite dans le système éducatif en 1995 et reconnue langue nationale alors que le HCA a été mis en place suite aux multiples revendications identitaires des années durant.