Candidats et parents, enseignants et surveillants des centres d'examen, syndicalistes du secteur de l'Education nationale et même certains responsables du département de Nouria Benghebrit Remaoun, se tiennent le « ventre » pour la durée de cette importante épreuve. Candidats et parents, enseignants et surveillants des centres d'examen, syndicalistes du secteur de l'Education nationale et même certains responsables du département de Nouria Benghebrit Remaoun, se tiennent le « ventre » pour la durée de cette importante épreuve. Le cas de la session de juin 2013 est toujours vivace à l'esprit de tout un chacun. Le scandale de la fraude généralisée pourra-t-il se répéter, malgré les assurances de la ministre ? Le jour tant appréhendé par les milliers de candidats aux épreuves du baccalauréat est arrivé. C'est aujourd'hui que l'ensemble des candidats du territoire national commencent à composer. Ils auront en face d'eux la copie durant cinq jours. Les épreuves commenceront donc aujourd'hui 1er juin et continueront jusqu'au 5 juin. Pendant 5 jours, les candidats fourniront de grands efforts pour obtenir le précieux diplôme. Toutes les conditions sont réunies pour que ne se reproduisent pas le scandale de l'an dernier, paroles du nouveau ministre de l'Education nationale. Le ton est rassurant. Tous les moyens matériels et humains ont été mobilisés par l'Office national des examens et concours (Onec) pour assurer le bon déroulement des épreuves. La session du Bac juin 2013 est à inscrire dans las annales de l'éducation nationale. Des lycéens de certains centres d'examen s'en sont donnés à « coeur joie » pour tricher. Menaces et intimidations ont été proférées par des candidats peu scrupuleux pour que les surveillants ferment l'oeil en regardant ailleurs. Desenseignantssurveillants, courageux et consciencieux, qui ont « osé » se mettre en travers de leur route se sont vus menacés physiquement à l'aide d'armes blanches. Le même scénario se répètera-t-il cette année ? La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit Remaoun, à peine installée a hérité d'une « bombe » qu'elle s'efforce de désamorcer en anticipant sur les évènements. Elle a fait savoir clairement qu'elle ne permettra pas que se reproduise le scandale de l'an dernier, un scandale qui nuit dans une grande proportion à la crédibilité du diplôme délivré à des milliers de candidats. Un dispositif anti-triche sera en place durant les épreuves du baccalauréat. A la veille de cette importante épreuve, qui est une porte d'accès aux études supérieures, Nouria Benghebrit rassure. «Des dispositions particulières» seront prises pour empêcher les débordements et la fraude, avait-elle indiqué récemment sur les ondes de la Radio nationale. Des détails sur ces dispositions : les surveillants devront remplir deux PV : un procès-verbal général de la classe, un second en cas de problème. La ministre veut aussi éviter l'erreur de l'an passé où la main du ministère de l'Education a frappé sans discernement, sanctionnant certains candidats qui n'avaient pas participé à la fraude. « Celui qui perturbe, c'est celui qui paye », avait-elle soutenu sur les micros de la radio. Le «plan» anti-triche de Mme la ministre sera-t-il pour autant efficace ? Réponse après la fin des épreuves. Les paroles de la ministre rassurent les candidats studieux et sont un message pour ceux des candidats qui seraient tentés de rééditer le « coup » des prétendants au Bac de juin 2013. Mais il y a un précédent qui sera pris en compte par ces derniers dans leurs calculs de « risque ». Les candidats recalés au baccalauréat 2013, exclus pour « tricherie collective » à l'épreuve de philo, pourront refaire l'année. La sanction d'exclusion de l'examen a été levée et annoncée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal en marge de la clôture de la session de printemps (juillet 2013) de l'APN. Cette indulgence du gouvernement, à l'égard des tricheurs prise à la suite de pressions des élèves fraudeurs et de leurs parents n'ouvrent-elles pas une voie pour une éventuelle triche pour cette session de juin 2014 ? Une réelle appréhension est nourrie par les enseignants, les surveillants des centres d'examens, des syndicalistes du secteur de l'Education nationale et des parents d'élèves qui « souhaitent » que ne se renouvellent pas les erreurs commises en juin 2013 et qui ont permis une triche à grande échelle. Pour les chiffres, il faut savoir que 647.026 candidats se présentent aux épreuves du Bac pour cette session de juin 2014. 170.000 enseignants mobilisés pour les surveiller dans 2.181 centres d'examen. Les corrections des copies auront lieu dans 57 centres. Sur le nombre, il est utile de savoir que 450.374 candidats sont scolarisés. Le cas de la session de juin 2013 est toujours vivace à l'esprit de tout un chacun. Le scandale de la fraude généralisée pourra-t-il se répéter, malgré les assurances de la ministre ? Le jour tant appréhendé par les milliers de candidats aux épreuves du baccalauréat est arrivé. C'est aujourd'hui que l'ensemble des candidats du territoire national commencent à composer. Ils auront en face d'eux la copie durant cinq jours. Les épreuves commenceront donc aujourd'hui 1er juin et continueront jusqu'au 5 juin. Pendant 5 jours, les candidats fourniront de grands efforts pour obtenir le précieux diplôme. Toutes les conditions sont réunies pour que ne se reproduisent pas le scandale de l'an dernier, paroles du nouveau ministre de l'Education nationale. Le ton est rassurant. Tous les moyens matériels et humains ont été mobilisés par l'Office national des examens et concours (Onec) pour assurer le bon déroulement des épreuves. La session du Bac juin 2013 est à inscrire dans las annales de l'éducation nationale. Des lycéens de certains centres d'examen s'en sont donnés à « coeur joie » pour tricher. Menaces et intimidations ont été proférées par des candidats peu scrupuleux pour que les surveillants ferment l'oeil en regardant ailleurs. Desenseignantssurveillants, courageux et consciencieux, qui ont « osé » se mettre en travers de leur route se sont vus menacés physiquement à l'aide d'armes blanches. Le même scénario se répètera-t-il cette année ? La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit Remaoun, à peine installée a hérité d'une « bombe » qu'elle s'efforce de désamorcer en anticipant sur les évènements. Elle a fait savoir clairement qu'elle ne permettra pas que se reproduise le scandale de l'an dernier, un scandale qui nuit dans une grande proportion à la crédibilité du diplôme délivré à des milliers de candidats. Un dispositif anti-triche sera en place durant les épreuves du baccalauréat. A la veille de cette importante épreuve, qui est une porte d'accès aux études supérieures, Nouria Benghebrit rassure. «Des dispositions particulières» seront prises pour empêcher les débordements et la fraude, avait-elle indiqué récemment sur les ondes de la Radio nationale. Des détails sur ces dispositions : les surveillants devront remplir deux PV : un procès-verbal général de la classe, un second en cas de problème. La ministre veut aussi éviter l'erreur de l'an passé où la main du ministère de l'Education a frappé sans discernement, sanctionnant certains candidats qui n'avaient pas participé à la fraude. « Celui qui perturbe, c'est celui qui paye », avait-elle soutenu sur les micros de la radio. Le «plan» anti-triche de Mme la ministre sera-t-il pour autant efficace ? Réponse après la fin des épreuves. Les paroles de la ministre rassurent les candidats studieux et sont un message pour ceux des candidats qui seraient tentés de rééditer le « coup » des prétendants au Bac de juin 2013. Mais il y a un précédent qui sera pris en compte par ces derniers dans leurs calculs de « risque ». Les candidats recalés au baccalauréat 2013, exclus pour « tricherie collective » à l'épreuve de philo, pourront refaire l'année. La sanction d'exclusion de l'examen a été levée et annoncée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal en marge de la clôture de la session de printemps (juillet 2013) de l'APN. Cette indulgence du gouvernement, à l'égard des tricheurs prise à la suite de pressions des élèves fraudeurs et de leurs parents n'ouvrent-elles pas une voie pour une éventuelle triche pour cette session de juin 2014 ? Une réelle appréhension est nourrie par les enseignants, les surveillants des centres d'examens, des syndicalistes du secteur de l'Education nationale et des parents d'élèves qui « souhaitent » que ne se renouvellent pas les erreurs commises en juin 2013 et qui ont permis une triche à grande échelle. Pour les chiffres, il faut savoir que 647.026 candidats se présentent aux épreuves du Bac pour cette session de juin 2014. 170.000 enseignants mobilisés pour les surveiller dans 2.181 centres d'examen. Les corrections des copies auront lieu dans 57 centres. Sur le nombre, il est utile de savoir que 450.374 candidats sont scolarisés.