Les pays euro-méditerranéens vont se concerter davantage sur le plan économique afin de rechercher des politiques communes destinées à faciliter le partenariat industriel et la coopération dans tous les secteurs économiques. Les pays euro-méditerranéens vont se concerter davantage sur le plan économique afin de rechercher des politiques communes destinées à faciliter le partenariat industriel et la coopération dans tous les secteurs économiques. Selon l'Observatoire économique euro-méditerranéen basé à Marseille, des chercheurs, des économistes et des représentants des collectivités locales se sont donné rendez- vous mardi 20 mai 2014 à la Villa Valmer à Marseille pour célébrer les 20 ans de la création de l'Institut de la Méditerranée.Son président, Henry Roux- Alezais, se souvient de la genèse de l'institut alors qu'il présidait la Chambre de commerce et d'industrie de Marseille- Provence (CCIMP). Il souligne "j'avais mis la Méditerranée au coeur de Marseille- Provence. La volonté commune initiale était de faire de Marseille et de sa région la place forte de la réflexion du devenir euroméditerranéen. Cela n'intéressait pas grand- monde. Aujourd'hui encore, à la veille des élections européennes, la Méditerranée est encore absente des débats or, il y a urgence", déplore-t-il tout en faisant allusion aux dernières conclusions du rapport annuel 2013 du Femise (Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques) : "Vers une nouvelle dynamique pour le maintien des équilibres économiques et sociaux". Le coordonnateur de ce rapport, Jean-Louis Reiffers, président du Conseil scientifique du Femise et de l'Institut de la Méditerranée en France, a annoncé la création, en avril 2014, d'un Institut de la Méditerranée à Tunis à la demande de Chedly Ayari, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie. Et des contacts seraient d'ores et déjà pris pour créer un Institut de la Méditerranée en Algérie. Les pays euro-méditerranéens vont se concerter davantage sur le plan économique afin de rechercher des politiques communes destinées à faciliter le partenariat industriel et la coopération dans tous les secteurs d'activité économique, tant les opportunités de mener à bien des projets d'intérêt commun sont aussi nombreuses que variées. Selon l'Observatoire économique euro-méditerranéen basé à Marseille, des chercheurs, des économistes et des représentants des collectivités locales se sont donné rendez- vous mardi 20 mai 2014 à la Villa Valmer à Marseille pour célébrer les 20 ans de la création de l'Institut de la Méditerranée.Son président, Henry Roux- Alezais, se souvient de la genèse de l'institut alors qu'il présidait la Chambre de commerce et d'industrie de Marseille- Provence (CCIMP). Il souligne "j'avais mis la Méditerranée au coeur de Marseille- Provence. La volonté commune initiale était de faire de Marseille et de sa région la place forte de la réflexion du devenir euroméditerranéen. Cela n'intéressait pas grand- monde. Aujourd'hui encore, à la veille des élections européennes, la Méditerranée est encore absente des débats or, il y a urgence", déplore-t-il tout en faisant allusion aux dernières conclusions du rapport annuel 2013 du Femise (Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques) : "Vers une nouvelle dynamique pour le maintien des équilibres économiques et sociaux". Le coordonnateur de ce rapport, Jean-Louis Reiffers, président du Conseil scientifique du Femise et de l'Institut de la Méditerranée en France, a annoncé la création, en avril 2014, d'un Institut de la Méditerranée à Tunis à la demande de Chedly Ayari, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie. Et des contacts seraient d'ores et déjà pris pour créer un Institut de la Méditerranée en Algérie. Les pays euro-méditerranéens vont se concerter davantage sur le plan économique afin de rechercher des politiques communes destinées à faciliter le partenariat industriel et la coopération dans tous les secteurs d'activité économique, tant les opportunités de mener à bien des projets d'intérêt commun sont aussi nombreuses que variées.