Les débats sur le plan d'action du gouvernent prendront fin aujourd'hui avec l'intervention des chefs des groupes parlementaires avant de céder la place, dans l'après-midi , au Premier ministre , Abdelmalek Sellal, qui tentera de répondre aux préoccupations formulées par les députés durant quatre jours . Les débats sur le plan d'action du gouvernent prendront fin aujourd'hui avec l'intervention des chefs des groupes parlementaires avant de céder la place, dans l'après-midi , au Premier ministre , Abdelmalek Sellal, qui tentera de répondre aux préoccupations formulées par les députés durant quatre jours . Dans leurs interventions depuis dimanche passé. Les élus du peuple n'ont pas manqué de soutenir le plan d'action comme c'est le cas pour les députés de la majorité ou, pour ceux de l'opposition, de le critiquer. Les députés affiliés au FLN et au RND, notamment, ont porté à bout de bras ce plan d'action. Une majorité d'intervenants de ce bord politique ont, de plus, saisi cette opportunité pour régler leurs comptes avec l'opposition. En effet, ils n'ont pas manqué de mettre en exergue la victoire écrasante du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux élections présidentielles du 17 avril dernier. Dans leurs interventions, et comme pour narguer leurs pairs de l'opposition ils se sont félicités du vote populaire en faveur du Président qui a, pour rappel, remporté cette élection avec plus de 80% des suffrages. Tout porte à croire que ces députés n'ont fait qu'obéir à des instructions de leurs partis politiques. En agissant de la sorte, les partis du FLN et du RND ont certainement voulu discréditer, une fois de plus, l'opposition qui a, dans sa majorité, boycotté les élections. Les députés de l'opposition ont eux aussi voulu porter le débat sur le terrain politique. A cet effet, de nombreux intervenants ont épinglé le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, pour n'avoir pas presenté devant l'assemblée la déclaration de politique générale du gouvernement. Sellal devait en effet, conformément aux dispositions de la Constitution, présenter la déclaration de politique générale avant de présenter le plan d'action du gouvernement. Selon la Constitution, le gouvernement est obligé, chaque année, de présenter la déclaration de politique générale qui est, en quelque sorte, un bilan annuel de son activité. Or Sellal, qui a été reconduit au poste de Premier ministre, n'a pas souscrit à cette obligation constitutionnelle. Les députés de l'opposition ont aussi attaqué le gouvernement sur le thème de l'exploitation du gaz de schiste. Beaucoup a été dit sur cette question. Il a ainsi été reproché au gouvernement de faire peu cas des incidences sur l'environnement et, notamment , sur la nappe phréatique qui risque d'être , fortement polluée. Certains députés de l'opposition ont même accusé le gouvernement d'avoir cédé aux pressions des multinationales et notamment des entreprises françaises au moment où l'exploitation du gaz de schiste est interdite en France. Les députés de la majorité ont défendu cette option du gouvernement et ont, à l'unisson, repris à leur compte les arguments présentés par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Ce dernier, qui a tout d'abord exclu toute exploitation du gaz de schiste a moyen terme, a indiqué que cela est indispensable du fait que l'Algérie risque, à l'horizon 2030, d'exporter juste une petite quantité d'hydrocarbures. En somme le gaz de schiste serait le substitut aux hydrocarbures. Cette bataille entre députés de la majorité et ceux de l'opposition a trouvé son point d'orgue avec le clash entre les élus du FLN et ceux du Parti des travailleurs. La revendication de la dissolution de l'APN a suscité, en effet, le courroux des élus du vieux parti. Cette passe d'armes entre les députés des deux bord politiques reflète en tout cas la tension qui règne entre les deux camps alors que le projet de révision constitutionnelle est sujet à discorde. Dans leurs interventions depuis dimanche passé. Les élus du peuple n'ont pas manqué de soutenir le plan d'action comme c'est le cas pour les députés de la majorité ou, pour ceux de l'opposition, de le critiquer. Les députés affiliés au FLN et au RND, notamment, ont porté à bout de bras ce plan d'action. Une majorité d'intervenants de ce bord politique ont, de plus, saisi cette opportunité pour régler leurs comptes avec l'opposition. En effet, ils n'ont pas manqué de mettre en exergue la victoire écrasante du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux élections présidentielles du 17 avril dernier. Dans leurs interventions, et comme pour narguer leurs pairs de l'opposition ils se sont félicités du vote populaire en faveur du Président qui a, pour rappel, remporté cette élection avec plus de 80% des suffrages. Tout porte à croire que ces députés n'ont fait qu'obéir à des instructions de leurs partis politiques. En agissant de la sorte, les partis du FLN et du RND ont certainement voulu discréditer, une fois de plus, l'opposition qui a, dans sa majorité, boycotté les élections. Les députés de l'opposition ont eux aussi voulu porter le débat sur le terrain politique. A cet effet, de nombreux intervenants ont épinglé le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, pour n'avoir pas presenté devant l'assemblée la déclaration de politique générale du gouvernement. Sellal devait en effet, conformément aux dispositions de la Constitution, présenter la déclaration de politique générale avant de présenter le plan d'action du gouvernement. Selon la Constitution, le gouvernement est obligé, chaque année, de présenter la déclaration de politique générale qui est, en quelque sorte, un bilan annuel de son activité. Or Sellal, qui a été reconduit au poste de Premier ministre, n'a pas souscrit à cette obligation constitutionnelle. Les députés de l'opposition ont aussi attaqué le gouvernement sur le thème de l'exploitation du gaz de schiste. Beaucoup a été dit sur cette question. Il a ainsi été reproché au gouvernement de faire peu cas des incidences sur l'environnement et, notamment , sur la nappe phréatique qui risque d'être , fortement polluée. Certains députés de l'opposition ont même accusé le gouvernement d'avoir cédé aux pressions des multinationales et notamment des entreprises françaises au moment où l'exploitation du gaz de schiste est interdite en France. Les députés de la majorité ont défendu cette option du gouvernement et ont, à l'unisson, repris à leur compte les arguments présentés par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Ce dernier, qui a tout d'abord exclu toute exploitation du gaz de schiste a moyen terme, a indiqué que cela est indispensable du fait que l'Algérie risque, à l'horizon 2030, d'exporter juste une petite quantité d'hydrocarbures. En somme le gaz de schiste serait le substitut aux hydrocarbures. Cette bataille entre députés de la majorité et ceux de l'opposition a trouvé son point d'orgue avec le clash entre les élus du FLN et ceux du Parti des travailleurs. La revendication de la dissolution de l'APN a suscité, en effet, le courroux des élus du vieux parti. Cette passe d'armes entre les députés des deux bord politiques reflète en tout cas la tension qui règne entre les deux camps alors que le projet de révision constitutionnelle est sujet à discorde.