Le gouvernement malien a affirmé avoir pris acte de la signature à Alger de la déclaration conjointe par trois mouvements armés du nord du Mali, tout en remerciant le président Bouteflika pour les efforts de facilitation de l'Algérie. Le gouvernement malien a affirmé avoir pris acte de la signature à Alger de la déclaration conjointe par trois mouvements armés du nord du Mali, tout en remerciant le président Bouteflika pour les efforts de facilitation de l'Algérie. "Le gouvernement de la République du Mali prend acte de la signature, le 9 juin 2014 à Alger, d'une déclaration conjointe par trois mouvements armés du nord du Mali", indique un communiqué du gouvernement. Le gouvernement malien a saisi cette occasion pour "remercier le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le gouvernement et le peuple algériens pour les efforts de facilitation du dialogue inclusif inter-malien en vue d'un règlement global et durable de la crise au nord du Mali", conclut le communiqué. Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA) ont signé, lundi dernier à Alger, la "Déclaration d'Alger", à travers laquelle ils ont réaffirmé leur volonté d'oeuvrer à la "consolidation de la dynamique d'apaisement en cours" et de s'engager dans le dialogue inter-malien "inclusif". Par cette déclaration, les trois mouvements (le MNLA, le HCUA et le MAA) réaffirment leur volonté d'oeuvrer, "de bonne foi", à la "consolidation de la dynamique d'apaisement en cours" et de s'engager dans le dialogue inter-malien "inclusif tant réclamé par les Maliens eux-mêmes que par la communauté internationale". Un dialogue qui vise, selon un communiqué diffusé à l'issue de la rencontre, à trouver une solution "définitive" à la crise que connaissent les régions Nord du pays à travers "la prise en charge des revendications légitimes de la population locale dans le plein respect de l'intégrité territoriale et de l'unité nationale du Mali". L'Algérie s'est attelée, depuis l'éclatement du conflit au Mali, à déployer tous les efforts pour réunir les conditions nécessaires à un dialogue "inclusif" entre les différents mouvements du Nord et le gouvernement malien, en vue de rétablir la paix et la sécurité dans ce pays. Le président malien, Ibrahim Boubacar Keita, avait demandé, lors de sa visite à Alger, en janvier dernier, au président Bouteflika, l'aide de l'Algérie pour un "dénouement heureux" de la crise malienne. Il avait affirmé, en mai dernier, en recevant le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, alors en tournée dans la région, que les liens unissant l'Algérie et le Mali sont "tellement profonds" qu'aucune conjoncture "ne pourrait les remettre en cause", soulignant que l'Algérie avait "le souci permanent de refonder le tissu d'un Mali déchiré et lardé". "Le gouvernement de la République du Mali prend acte de la signature, le 9 juin 2014 à Alger, d'une déclaration conjointe par trois mouvements armés du nord du Mali", indique un communiqué du gouvernement. Le gouvernement malien a saisi cette occasion pour "remercier le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le gouvernement et le peuple algériens pour les efforts de facilitation du dialogue inclusif inter-malien en vue d'un règlement global et durable de la crise au nord du Mali", conclut le communiqué. Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (MAA) ont signé, lundi dernier à Alger, la "Déclaration d'Alger", à travers laquelle ils ont réaffirmé leur volonté d'oeuvrer à la "consolidation de la dynamique d'apaisement en cours" et de s'engager dans le dialogue inter-malien "inclusif". Par cette déclaration, les trois mouvements (le MNLA, le HCUA et le MAA) réaffirment leur volonté d'oeuvrer, "de bonne foi", à la "consolidation de la dynamique d'apaisement en cours" et de s'engager dans le dialogue inter-malien "inclusif tant réclamé par les Maliens eux-mêmes que par la communauté internationale". Un dialogue qui vise, selon un communiqué diffusé à l'issue de la rencontre, à trouver une solution "définitive" à la crise que connaissent les régions Nord du pays à travers "la prise en charge des revendications légitimes de la population locale dans le plein respect de l'intégrité territoriale et de l'unité nationale du Mali". L'Algérie s'est attelée, depuis l'éclatement du conflit au Mali, à déployer tous les efforts pour réunir les conditions nécessaires à un dialogue "inclusif" entre les différents mouvements du Nord et le gouvernement malien, en vue de rétablir la paix et la sécurité dans ce pays. Le président malien, Ibrahim Boubacar Keita, avait demandé, lors de sa visite à Alger, en janvier dernier, au président Bouteflika, l'aide de l'Algérie pour un "dénouement heureux" de la crise malienne. Il avait affirmé, en mai dernier, en recevant le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, alors en tournée dans la région, que les liens unissant l'Algérie et le Mali sont "tellement profonds" qu'aucune conjoncture "ne pourrait les remettre en cause", soulignant que l'Algérie avait "le souci permanent de refonder le tissu d'un Mali déchiré et lardé".