Un important arsenal de guerre a été saisi par les éléments de la Gendarmerie nationale au niveau des frontières. Il s'agit de dizaines de grenades, des roquettes, des lance-roquettes, des rampes de lance grenades, de 24 armes de différents calibres, 10.000 balles et 10 bombes artisanales et conventionnelles à usage militaire. Un important arsenal de guerre a été saisi par les éléments de la Gendarmerie nationale au niveau des frontières. Il s'agit de dizaines de grenades, des roquettes, des lance-roquettes, des rampes de lance grenades, de 24 armes de différents calibres, 10.000 balles et 10 bombes artisanales et conventionnelles à usage militaire. Plusieurs réseaux spécialisés dans le trafic d'armes ont été ainsi mis hors d'état de nuire par les gendarmes. Au total 20 terroristes ont été abattus alors que 20 autres, 2 Tunisiens et 18 Libyens, toujours en activité, sont activement recherchés par les services de sécurité. La situation sécuritaire en Tunisie, en Libye et au Sahel pousse l'Algérie à plus de vigilance. Les gardes frontières sont sur le qui-vive. Les groupements de ces unités de la Gendarmerie nationale sont en état d'alerte maximum. Des moyens modernes plus appropriés à la « nouvelle menace terroriste » sont mis à leur disposition. A l'est du pays, 16 nouveaux postes avancés ont été créés et mis en service par le GGF, uniquement sur le tracé frontalier de la wilaya de Tébessa. Une wilaya située à proximité du mont Chaâmbi, sur le territoire tunisien. Théatre de plusieurs actes terroristes ces derniers temps. Le ministère de la Défense nationale ne lésine pas sur les moyens, ces postes sont équipés de caméras de surveillance thermiques de haute technologie, et de moyens roulants dont la mission principale est la surveillance et l'intervention rapide. Une unité de surveillance aérienne, composée de trois hélicoptères modernes de types « Augusta » embarquant des caméras de surveillances à infrarouge, sillonnera le tracé frontalier de jour comme de nuit. Le plan sécuritaire prévoit aussi le renforcement des groupements et escadrons du GGF par les unités relevant des Groupements d'intervention rapide (GIR) appuyés par le contrôle régulier des unités territoriales et des SSI. Un dispositif qui se veut la première ceinture de sécurité du pays. Le plan sécuritaire, mis en place aux frontières, a été révélé par la Gendarmerie nationale à l'occasion de la visite du général-major Ahmed Boustila dans la wilaya de Tébessa où il a visité les postes avancés de Bouchabka et El Aounet. Au cours de sa visite Ahmed Boustila a inspecté le déploiement du dispositif sécuritaire mis en place et a tenu à être renseigné sur les méthodes de coordination entre les différents services de la Gendarmerie nationale concernés. Boustila a également manifesté son contentement face au retard accusé dans l'avancement de certains projets. Il est à rappeler qu'en plus de la sécurisation des frontières, la Gendarmerie nationale continue d'assurer ses missions habituelles. Durant les six premiers mois de l'année en cours 21 tonnes de kif traité, 500.000 litres de carburant, 2 425 têtes de cheptel et 245 véhicules utilisés dans le transport des marchandises illicites ont été saisis. Plusieurs réseaux spécialisés dans le trafic d'armes ont été ainsi mis hors d'état de nuire par les gendarmes. Au total 20 terroristes ont été abattus alors que 20 autres, 2 Tunisiens et 18 Libyens, toujours en activité, sont activement recherchés par les services de sécurité. La situation sécuritaire en Tunisie, en Libye et au Sahel pousse l'Algérie à plus de vigilance. Les gardes frontières sont sur le qui-vive. Les groupements de ces unités de la Gendarmerie nationale sont en état d'alerte maximum. Des moyens modernes plus appropriés à la « nouvelle menace terroriste » sont mis à leur disposition. A l'est du pays, 16 nouveaux postes avancés ont été créés et mis en service par le GGF, uniquement sur le tracé frontalier de la wilaya de Tébessa. Une wilaya située à proximité du mont Chaâmbi, sur le territoire tunisien. Théatre de plusieurs actes terroristes ces derniers temps. Le ministère de la Défense nationale ne lésine pas sur les moyens, ces postes sont équipés de caméras de surveillance thermiques de haute technologie, et de moyens roulants dont la mission principale est la surveillance et l'intervention rapide. Une unité de surveillance aérienne, composée de trois hélicoptères modernes de types « Augusta » embarquant des caméras de surveillances à infrarouge, sillonnera le tracé frontalier de jour comme de nuit. Le plan sécuritaire prévoit aussi le renforcement des groupements et escadrons du GGF par les unités relevant des Groupements d'intervention rapide (GIR) appuyés par le contrôle régulier des unités territoriales et des SSI. Un dispositif qui se veut la première ceinture de sécurité du pays. Le plan sécuritaire, mis en place aux frontières, a été révélé par la Gendarmerie nationale à l'occasion de la visite du général-major Ahmed Boustila dans la wilaya de Tébessa où il a visité les postes avancés de Bouchabka et El Aounet. Au cours de sa visite Ahmed Boustila a inspecté le déploiement du dispositif sécuritaire mis en place et a tenu à être renseigné sur les méthodes de coordination entre les différents services de la Gendarmerie nationale concernés. Boustila a également manifesté son contentement face au retard accusé dans l'avancement de certains projets. Il est à rappeler qu'en plus de la sécurisation des frontières, la Gendarmerie nationale continue d'assurer ses missions habituelles. Durant les six premiers mois de l'année en cours 21 tonnes de kif traité, 500.000 litres de carburant, 2 425 têtes de cheptel et 245 véhicules utilisés dans le transport des marchandises illicites ont été saisis.