Des dizaines de citoyens, dont les noms ne figuraient pas dans la liste des pré-bénéficiaires de 114 logements sociaux à Souk-El-Had dans la wilaya de Boumerdès, ont exprimé, hier, leur colère contre ce qu'ils qualifient d'exclusion. Des dizaines de citoyens, dont les noms ne figuraient pas dans la liste des pré-bénéficiaires de 114 logements sociaux à Souk-El-Had dans la wilaya de Boumerdès, ont exprimé, hier, leur colère contre ce qu'ils qualifient d'exclusion. Ils ont fermé le siège de l‘APC et enpêché l‘accès à toute personne, y compris au personnel. Le siège de l‘APC est donc fermé pour le deuxième jour consécutif par les manifestants qui réclament depuis plusieurs années des logements. « Nous ne comprenons pas les raisons de notre exclusion alors que nous méritons un logement social », s‘interroge un habitant du centre-ville qui avoue vivoter dans une maison précaire. Cette localité fait face à une demande accrue en matière de logements. Ladite pression est provoquée par l‘absence de programmes de logements fiables, notamment d‘habitat rural qui connait d‘énormes retards. Les pouvoirs publics n‘ont pas affecté de programme de logements sous toutes formules pour la localité. En plus, des programmes de réalisation de logements connaissent des retards dans leur achèvement. À titre d‘exemple, les 50 logements RHP inscrit dans le programme de 2009, ont mis beaucoup de temps pour leur lancement. En sus de cela, le projet de 60 logements sociaux n‘est toujours pas entamé tandis que celui des 100 logements est en cours de lancement. Avec la fermeture du siège de l‘APC les citoyens de la localité n‘ont pas pu se faire délivrer leurs documents administratifs. Ils ont fermé le siège de l‘APC et enpêché l‘accès à toute personne, y compris au personnel. Le siège de l‘APC est donc fermé pour le deuxième jour consécutif par les manifestants qui réclament depuis plusieurs années des logements. « Nous ne comprenons pas les raisons de notre exclusion alors que nous méritons un logement social », s‘interroge un habitant du centre-ville qui avoue vivoter dans une maison précaire. Cette localité fait face à une demande accrue en matière de logements. Ladite pression est provoquée par l‘absence de programmes de logements fiables, notamment d‘habitat rural qui connait d‘énormes retards. Les pouvoirs publics n‘ont pas affecté de programme de logements sous toutes formules pour la localité. En plus, des programmes de réalisation de logements connaissent des retards dans leur achèvement. À titre d‘exemple, les 50 logements RHP inscrit dans le programme de 2009, ont mis beaucoup de temps pour leur lancement. En sus de cela, le projet de 60 logements sociaux n‘est toujours pas entamé tandis que celui des 100 logements est en cours de lancement. Avec la fermeture du siège de l‘APC les citoyens de la localité n‘ont pas pu se faire délivrer leurs documents administratifs.