Les malades chronique bénéficieront désormais d'un système qui leur permettra de consultations chez les médecins privés dans le cadre de la contractualisation. Un soulagement pour ces malades qui souffrent pour décrocher des rendez-vous dans les hopitaux. Les malades chronique bénéficieront désormais d'un système qui leur permettra de consultations chez les médecins privés dans le cadre de la contractualisation. Un soulagement pour ces malades qui souffrent pour décrocher des rendez-vous dans les hopitaux. C'est le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, qui a communiqué cette information en réponse à une question d'un membre du Conseil de la nation lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales. Il a indiqué à ce propos que "l'élargissement du système de contractualisation avec les médecins privés touchera dans une première étape les malades chroniques et englobera ensuite tous les assurés sociaux". M. El Ghazi a affirmé que cette démarche s'inscrivait dans le cadre "du développement du système du tiers payant et son élargissement aux prestations médicales fondamentales prodiguées par les professionnels privés de la santé en tant qu'outil d'appui à la gratuité des soins dans le secteur public". Pour ce faire il sera procédé à "l'actualisation de la nomenclature des actes médicaux et des tarifs de remboursement pratiqués dans ce cadre", a précisé le ministre. Il a souligné dans ce sens "la promotion du principe de médecin de famille qui permet un meilleur suivi médical des assurés et des ayants droit", outre "la création d'un réseau entre les médecins et la sécurité sociale en vue de promouvoir la prévention et la qualité des soins ainsi que la rationalisation du coût des soins". Le ministère a procédé au cours des dernières années au lancement progressif du système de contractualisation entre les caisses de la sécurité sociale et les professionnels de la santé (pharmacie et médecin traitant) au profit des différentes catégories d'assurés sociaux dans le cadre du système du tiers payant. Le système de contractualisation permet aux assurés sociaux concernés de bénéficier d'une couverture préalable des frais de soins médicaux et des prestations médicales en général. Il vise également à jeter les bases d'un véritable partenariat entre les médecins et les assurés sociaux et les caisses d'assurances sociale pour une meilleure exploitation des moyens matériels et l'amélioration de l'assurance sur les soins. Evoquant certaines prestations sanitaires qui incombent aux caisses d'assurances sociales, le ministre a cité "l'hémodialyse qui s'effectue au niveaux de 130 centres privés et la chirurgie cardio-vasculaire au niveau 13 cliniques privées dans le cadre de la contractualisation". Il a également cité les appareillages et autres dispositifs fournis par l'Office national d'appareillages et d'accessoires pour les personnes handicapées (ONAAPH). Il s'agit également des consultations médicales au profit des contractuels et des ayants droit assurés par 2.800 médecins contractuels, des frais de déplacement pour des soins assurés par 264 établissements spécialisés accrédités et contractuels et des lunettes médicales assurés par 337 opticiens contractuels avec la caisse de la sécurité sociale au profit des élèves scolarisés issus de familles à revenus limités qui souffrent d'une baisse de la vue. Par ailleurs, le ministre a indiqué que les dépenses de la sécurité sociale à travers la contribution forfaitaire au budget des hôpitaux "sont passées de 19 milliards de dinars en 1999 à près de 58 milliards en 2014, soit une hausse de 191%". C'est le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, qui a communiqué cette information en réponse à une question d'un membre du Conseil de la nation lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales. Il a indiqué à ce propos que "l'élargissement du système de contractualisation avec les médecins privés touchera dans une première étape les malades chroniques et englobera ensuite tous les assurés sociaux". M. El Ghazi a affirmé que cette démarche s'inscrivait dans le cadre "du développement du système du tiers payant et son élargissement aux prestations médicales fondamentales prodiguées par les professionnels privés de la santé en tant qu'outil d'appui à la gratuité des soins dans le secteur public". Pour ce faire il sera procédé à "l'actualisation de la nomenclature des actes médicaux et des tarifs de remboursement pratiqués dans ce cadre", a précisé le ministre. Il a souligné dans ce sens "la promotion du principe de médecin de famille qui permet un meilleur suivi médical des assurés et des ayants droit", outre "la création d'un réseau entre les médecins et la sécurité sociale en vue de promouvoir la prévention et la qualité des soins ainsi que la rationalisation du coût des soins". Le ministère a procédé au cours des dernières années au lancement progressif du système de contractualisation entre les caisses de la sécurité sociale et les professionnels de la santé (pharmacie et médecin traitant) au profit des différentes catégories d'assurés sociaux dans le cadre du système du tiers payant. Le système de contractualisation permet aux assurés sociaux concernés de bénéficier d'une couverture préalable des frais de soins médicaux et des prestations médicales en général. Il vise également à jeter les bases d'un véritable partenariat entre les médecins et les assurés sociaux et les caisses d'assurances sociale pour une meilleure exploitation des moyens matériels et l'amélioration de l'assurance sur les soins. Evoquant certaines prestations sanitaires qui incombent aux caisses d'assurances sociales, le ministre a cité "l'hémodialyse qui s'effectue au niveaux de 130 centres privés et la chirurgie cardio-vasculaire au niveau 13 cliniques privées dans le cadre de la contractualisation". Il a également cité les appareillages et autres dispositifs fournis par l'Office national d'appareillages et d'accessoires pour les personnes handicapées (ONAAPH). Il s'agit également des consultations médicales au profit des contractuels et des ayants droit assurés par 2.800 médecins contractuels, des frais de déplacement pour des soins assurés par 264 établissements spécialisés accrédités et contractuels et des lunettes médicales assurés par 337 opticiens contractuels avec la caisse de la sécurité sociale au profit des élèves scolarisés issus de familles à revenus limités qui souffrent d'une baisse de la vue. Par ailleurs, le ministre a indiqué que les dépenses de la sécurité sociale à travers la contribution forfaitaire au budget des hôpitaux "sont passées de 19 milliards de dinars en 1999 à près de 58 milliards en 2014, soit une hausse de 191%".