La Nasa (Administration de l'aéronautique et de l'espace) américaine a lancé mardi son premier satellite dédié à la mesure des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, le principal gaz à effet de serre participant au réchauffement climatique. La Nasa (Administration de l'aéronautique et de l'espace) américaine a lancé mardi son premier satellite dédié à la mesure des niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, le principal gaz à effet de serre participant au réchauffement climatique. Le satellite en question, Orbiting Carbon Observatory-2 (OCO-2), similaire à l'OCO-1, détruit lors de son lancement en février 2009, permettra de fournir une image plus complète et plus globale des émissions humaines et naturelles de CO2, ainsi que des puits de carbone comme les océans et les forêts qui absorbent et capturent ce gaz, dont le niveau dans l'atmosphère est le plus élevé depuis au moins 800.000 ans. "Le dioxyde de carbone dans l'atmosphère joue un rôle essentiel dans l'équilibre énergétique de notre planète et est un facteur clé pour comprendre comment notre climat change", avait expliqué Michael Freilich, directeur de la division science de la Terre de la Nasa lors d'une conférence de presse début juin. "Avec la mission OCO-2, la Nasa va apporter une contribution importante aux nouvelles observations du globe pour relever le défi scientifique d'une meilleure compréhension de notre planète et de son devenir", avait-il ajouté. OCO-2 deviendra le principal observatoire d'une flotte de cinq autres satellites internationaux, qui tournera autour de la Terre toutes les 99 minutes pour effectuer un ensemble d'observations quasi simultanées. La mission doit durer au moins deux ans pour effectuer des mesures d'échantillons des sources d'émission de CO2 et des puits de carbone sur l'ensemble du globe, pour permettre aux scientifiques de mieux étudier les changements du climat. En avril, les concentrations mensuelles de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ont dépassé 400 parties par million (ppm) dans tout l'hémisphère Nord, soit le plus haut niveau depuis au moins 800.000 ans, avait relevé la Nasa. En effet, la combustion des carburants fossiles (hydrocarbure, gaz naturel et charbon) et les autres activités humaines émettent près de 40 milliards de tonnes de CO2 dans l'atmosphère chaque année,produisant une accumulation sans précédent de ce gaz à effet de serre Le satellite en question, Orbiting Carbon Observatory-2 (OCO-2), similaire à l'OCO-1, détruit lors de son lancement en février 2009, permettra de fournir une image plus complète et plus globale des émissions humaines et naturelles de CO2, ainsi que des puits de carbone comme les océans et les forêts qui absorbent et capturent ce gaz, dont le niveau dans l'atmosphère est le plus élevé depuis au moins 800.000 ans. "Le dioxyde de carbone dans l'atmosphère joue un rôle essentiel dans l'équilibre énergétique de notre planète et est un facteur clé pour comprendre comment notre climat change", avait expliqué Michael Freilich, directeur de la division science de la Terre de la Nasa lors d'une conférence de presse début juin. "Avec la mission OCO-2, la Nasa va apporter une contribution importante aux nouvelles observations du globe pour relever le défi scientifique d'une meilleure compréhension de notre planète et de son devenir", avait-il ajouté. OCO-2 deviendra le principal observatoire d'une flotte de cinq autres satellites internationaux, qui tournera autour de la Terre toutes les 99 minutes pour effectuer un ensemble d'observations quasi simultanées. La mission doit durer au moins deux ans pour effectuer des mesures d'échantillons des sources d'émission de CO2 et des puits de carbone sur l'ensemble du globe, pour permettre aux scientifiques de mieux étudier les changements du climat. En avril, les concentrations mensuelles de dioxyde de carbone dans l'atmosphère ont dépassé 400 parties par million (ppm) dans tout l'hémisphère Nord, soit le plus haut niveau depuis au moins 800.000 ans, avait relevé la Nasa. En effet, la combustion des carburants fossiles (hydrocarbure, gaz naturel et charbon) et les autres activités humaines émettent près de 40 milliards de tonnes de CO2 dans l'atmosphère chaque année,produisant une accumulation sans précédent de ce gaz à effet de serre