Depuis le début du mois de Ramadhan, le département de la Solidarité nationale a annoncé le lancement de plusieurs plans nationaux relevant du secteur. Depuis le début du mois de Ramadhan, le département de la Solidarité nationale a annoncé le lancement de plusieurs plans nationaux relevant du secteur. Un autre plan a été annoncé par la première responsable du secteur. C'est un plan d'action portant notamment sur les dispositifs de coordination entre le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme et d'autres secteurs. Celui-ci sera rendu public prochainement, a annoncé, à Aïn Defla, Mounia Meslem Si Amer. La ministre de la Solidarité, qui animait un point de presse à l'issue d'une visite de travail dans la wilaya, a indiqué que "la mise en place de ce plan permettra de tracer une politique nationale de solidarité qui s'étalera sur les 40 prochaines années". "Pour une plus grande efficience de notre action, et pour pouvoir arriver à des résultats probants en matière de solidarité, il est nécessaire qu'un travail de complémentarité soit effectué avec les autres secteurs", a-t-elle précisé. Relevant que l'Etat a consacré des moyens matériels et humains "considérables" pour la solidarité, la ministre a mis en exergue le fait que "la stratégie du programme du gouvernement en matière de solidarité s'appuie sur la lutte contre la pauvreté et la marginalisation." Elle a, toutefois, fait remarquer que "contrairement à ce que d'aucuns pensent, la solidarité ne se limite pas seulement aux aides octroyées aux familles démunies durant le mois de ramadhan, mais doit englober toutes les actions en direction des franges vulnérables de la société." Au cours de sa visite, la ministre s'est rendue dans la commune de Khemis Miliana où elle a inauguré un centre spécialisé de la sauvegarde de la jeunesse. A Miliana, Mme Meslem a visité l'école Larbi-Tebessi servant au comité local du Croissant-Rouge algérien de lieu de restauration au profit des démunis et personnes de passage. La ministre s'est enquis des conditions de préparation des repas et de conservation des aliments. Au niveau de la cité Sidi M'Djahed, commune de Benallel, la ministre s'est rendue au centre psychopédagogique pour enfants handicapés mentaux hébergeant une soixantaine de pensionnaires. Relevant la présence de handicapés mentaux adultes, la ministre a émis le souhait de voir ce centre recouvrer sa fonction originelle consistant en la prise en charge "exclusive" des enfants handicapés mentaux. Dans la commune de Bourached, la ministre s'est rendue au lycée Bouchareb- Tahar où un restaurant servant des repas chauds aux démunis et nécessiteux a été ouvert à l'occasion du mois de Ramadhan. Se félicitant des efforts déployés par le personnel, elle a fait remarquer que cette action de solidarité "ancestrale " témoigne de l'intérêt porté aux démunis et au souci de leur venir en aide. A la fin de sa visite, la ministre s'est rendue au centre psychopédagogique des enfants handicapés mentaux, situé au chef-lieu de wilaya. A la lumière des explications fournies par le responsable de ce centre, doté d'une capacité de 120 enfants, cette structure rencontre un certain nombre de difficultés dont notamment l'insuffisance du personnel de soutien et l'absence de terrain de jeux. Un autre plan a été annoncé par la première responsable du secteur. C'est un plan d'action portant notamment sur les dispositifs de coordination entre le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme et d'autres secteurs. Celui-ci sera rendu public prochainement, a annoncé, à Aïn Defla, Mounia Meslem Si Amer. La ministre de la Solidarité, qui animait un point de presse à l'issue d'une visite de travail dans la wilaya, a indiqué que "la mise en place de ce plan permettra de tracer une politique nationale de solidarité qui s'étalera sur les 40 prochaines années". "Pour une plus grande efficience de notre action, et pour pouvoir arriver à des résultats probants en matière de solidarité, il est nécessaire qu'un travail de complémentarité soit effectué avec les autres secteurs", a-t-elle précisé. Relevant que l'Etat a consacré des moyens matériels et humains "considérables" pour la solidarité, la ministre a mis en exergue le fait que "la stratégie du programme du gouvernement en matière de solidarité s'appuie sur la lutte contre la pauvreté et la marginalisation." Elle a, toutefois, fait remarquer que "contrairement à ce que d'aucuns pensent, la solidarité ne se limite pas seulement aux aides octroyées aux familles démunies durant le mois de ramadhan, mais doit englober toutes les actions en direction des franges vulnérables de la société." Au cours de sa visite, la ministre s'est rendue dans la commune de Khemis Miliana où elle a inauguré un centre spécialisé de la sauvegarde de la jeunesse. A Miliana, Mme Meslem a visité l'école Larbi-Tebessi servant au comité local du Croissant-Rouge algérien de lieu de restauration au profit des démunis et personnes de passage. La ministre s'est enquis des conditions de préparation des repas et de conservation des aliments. Au niveau de la cité Sidi M'Djahed, commune de Benallel, la ministre s'est rendue au centre psychopédagogique pour enfants handicapés mentaux hébergeant une soixantaine de pensionnaires. Relevant la présence de handicapés mentaux adultes, la ministre a émis le souhait de voir ce centre recouvrer sa fonction originelle consistant en la prise en charge "exclusive" des enfants handicapés mentaux. Dans la commune de Bourached, la ministre s'est rendue au lycée Bouchareb- Tahar où un restaurant servant des repas chauds aux démunis et nécessiteux a été ouvert à l'occasion du mois de Ramadhan. Se félicitant des efforts déployés par le personnel, elle a fait remarquer que cette action de solidarité "ancestrale " témoigne de l'intérêt porté aux démunis et au souci de leur venir en aide. A la fin de sa visite, la ministre s'est rendue au centre psychopédagogique des enfants handicapés mentaux, situé au chef-lieu de wilaya. A la lumière des explications fournies par le responsable de ce centre, doté d'une capacité de 120 enfants, cette structure rencontre un certain nombre de difficultés dont notamment l'insuffisance du personnel de soutien et l'absence de terrain de jeux.