Le Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a rappelé vendredi, à l'occasion de la Journée internationale Nelson Mandela, que l'an dernier, le monde avait perdu l'un de ses plus grands dirigeants.Le jour de son anniversaire, le 18 juillet, est l'occasion de nous remémorer ce qu'il nous a légué. Nelson Mandela et l'ONU ont eu un long passé en commun. Peu après sa sortie de prison, il était venu au siège. Le Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a rappelé vendredi, à l'occasion de la Journée internationale Nelson Mandela, que l'an dernier, le monde avait perdu l'un de ses plus grands dirigeants.Le jour de son anniversaire, le 18 juillet, est l'occasion de nous remémorer ce qu'il nous a légué. Nelson Mandela et l'ONU ont eu un long passé en commun. Peu après sa sortie de prison, il était venu au siège. Ce fut un grand moment, a souligné M. Ban dans son message pour la Journée. La présence de Nelson Mandela dans la salle de l'Assemblée générale avait prouvé, selon le chef de l'ONU, que les résolutions, les sanctions et la solidarité des Nations unies pouvaient l'emporter face à la violence et à l'injustice. La compassion extraordinaire dont avait fait preuve M. Mandela, après 27 années d'emprisonnement, avait montré que les droits de l'homme et l'égalité étaient plus forts que la discrimination et la haine. Ce jour-là, en 1990, il (Nelson Mandela) avait déclaré que l'humanité aurait toujours à assumer le fait qu'il ait fallu tant de temps avant que nous disions tous "trop c'est trop". L'apartheid n'existe plus grâce à Nelson Mandela, à un nombre incalculable d'autres individus et à l'intervention de l'ONU dont nous sommes fiers. Cependant, notre planète et ses habitants doivent toujours faire face à de terribles menaces : pauvreté, discrimination, changement climatique, conflits, et plus encore, a indiqué M. Ban. Ce fut un grand moment, a souligné M. Ban dans son message pour la Journée. La présence de Nelson Mandela dans la salle de l'Assemblée générale avait prouvé, selon le chef de l'ONU, que les résolutions, les sanctions et la solidarité des Nations unies pouvaient l'emporter face à la violence et à l'injustice. La compassion extraordinaire dont avait fait preuve M. Mandela, après 27 années d'emprisonnement, avait montré que les droits de l'homme et l'égalité étaient plus forts que la discrimination et la haine. Ce jour-là, en 1990, il (Nelson Mandela) avait déclaré que l'humanité aurait toujours à assumer le fait qu'il ait fallu tant de temps avant que nous disions tous "trop c'est trop". L'apartheid n'existe plus grâce à Nelson Mandela, à un nombre incalculable d'autres individus et à l'intervention de l'ONU dont nous sommes fiers. Cependant, notre planète et ses habitants doivent toujours faire face à de terribles menaces : pauvreté, discrimination, changement climatique, conflits, et plus encore, a indiqué M. Ban.