La communauté internationale continue de réclamer l'arrêt des agressions israéliennes sur la bande de Ghaza qui ont tué près de 600 Palestiniens en deux semaines, alors que les manifestations de protestations se poursuivent à travers le monde pour dénoncer les massacres sionistes. La communauté internationale continue de réclamer l'arrêt des agressions israéliennes sur la bande de Ghaza qui ont tué près de 600 Palestiniens en deux semaines, alors que les manifestations de protestations se poursuivent à travers le monde pour dénoncer les massacres sionistes. L'Algérie, par la voix du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait auparavant exhorté dimanche le secrétaire général de l'ONU à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin "immédiatement" à l'agression israélienne "effrénée" contre le peuple palestinien. Un appel à un cessez-lefeu a été également lancé par la Russie qui a également réclamé une "action concertée immédiate de la communauté internationale", selon son ministère des Affaires étrangères. En tournée dans la région du Proche-Orient, le secrétaire général de l'ONU Ban Kimoon tente d'obtenir, à travers une série de contacts, un cessez-le-feu immédiat alors que le bilan de l'agression israélienne ne cesse de s'alourdir atteignant, selon les secours palestiniens, 583 morts et 3.640 blessés, en grande majorité des civils, au 15e jour de l'offensive. Dans la capitale égyptienne, Le Caire, M. Ban a rencontré lundi soir le secrétaire d'Etat américain John Kerry qui s'est dit "profondément inquiet" du sort des civils de la bande de Ghaza à qui il a promis 47 millions de dollars d'aide. Pour sa part, M. Ban a réaffirmé que "la violence doit cesser immédiatement". "Ce que nous avons vu ces derniers jours est inacceptable", a-t-il martelé peu avant son départ pour les territoires palestiniens occupés. Dans le cadre des contacts visant à faire cesser les agressions israéliennes qui ont provoqué également le déplacement, selon l'ONU, de quelque 100.000 habitants de Ghaza, le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du mouvement Hamas Khaled Mechaal ont appelé, lors d'une rencontre à Doha (Qatar), à la fin de l'agression israélienne contre l'enclave palestinienne et la levée du blocus mis en place depuis 2006. "Il doit d'abord y avoir un cessez-le-feu puis nous continuerons les discussions avec l'Egypte et toutes les parties régionales et internationales jusqu'à ce que nous concrétisions le contenu d'un accord de paix final", a expliqué le négociateur du mouvement Fatah, Azzam al-Ahmad, à l'issue de la rencontre entre MM. Abbas et Mechaal. Le Koweït où M. Ban s'était rendu dimanche dans le cadre de son périple régional, a lui aussi appelé le secrétaire général onusien à "mobiliser la communauté internationale" pour mettre fin à la "dangereuse" agression d'Israël contre Ghaza . Par ailleurs, le président français François Hollande a déclaré lundi que "tout doit être fait pour mettre un terme immédiat à la souffrance des populations civiles à Ghaza", à l'issue d'un entretien téléphonique avec Ban Ki-Moon, selon un communiqué de l'Elysée. Au cours de cet entretien portant sur la situation à Ghaza, M. Ban a fait part au président français "en détail des efforts qu'il déploie actuellement au Proche-Orient avec l'ensemble des partenaires (...) pour parvenir le plus rapidement possible à un cessez-le-feu, puis à un règlement de la crise", d'après la même source. Manifestations de solidarité avec le peuple palestinien Face à la poursuite sans répit des agressions israéliennes, des milliers de personnes ont manifesté notamment dans plusieurs capitales européennes contre l'offensive israélienne. A Vienne, environ 11.000 manifestants ont défilé dimanche pour protester contre "le crime et l'oppression en Palestine", tout comme à Amsterdam et à Stockholm, où respectivement quelque 3.000 et un millier de personnes ont défilé contre les attaques israéliennes. Aux Pays-Bas, des milliers de personnes, scandant "Libérez la Palestine", ont manifesté à Amsterdam , dénoncant la mort notamment d'enfants innocents. Des milliers de manifestants s'étaient rassemblés lundi à Paris à l'appel d'un parti de la gauche radicale et d'associations pro-palestiniennes au lendemain d'une manifestation dans la capitale française qui a dégénéré en heures d'affrontements entre policiers et jeunes. De nouvelles manifestations sont prévues mercredi et samedi prochain à Paris. A Alger, les Scouts musulmans algériens (SMA) ont organisé une rencontre de solidarité avec le peuple palestinien à laquelle ont assisté l'ambassadeur de Palestine à Alger, Louay Aïssa, des personnalités nationales et organisations de la société civile. Dans un geste de solidarité à l'égard du peuple palestinien, les autorités turques ont déclaré lundi trois jours de deuil en hommage aux victimes palestiniennes, qualifiant de "massacre" l'opération militaire israélienne Emirats : aide de 41 millions de dollars pour la reconstruction de Ghaza Les Emirats arabes unis ont annoncé lundi dernier une aide de près de 41 millions de dollars pour la reconstruction des habitations touchées par l'offensive militaire israélienne dans la bande de Ghaza. Cette aide de 150 millions de dirhams a fait l'objet d'un accord conclu à Abou Dhabi entre le Croissant rouge émirati (CRE) et l'Office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), selon un communiqué du CRE. Cette initiative porte sur "la reconstruction des maisons endommagées et la réhabilitation des établissements hospitaliers, d'éducation et de services", a indiqué le président du CRE, cheikh Hamdane Ben Zayed Al-Nahyane, cité dans le communiqué. Les Emirats arabes unis avaient déjà annoncé une aide humanitaire de 52 millions de dollars aux Palestiniens de la bande de Gaza, aux premiers jours de l'offensive israélienne. L'Algérie, par la voix du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, avait auparavant exhorté dimanche le secrétaire général de l'ONU à prendre toutes les mesures nécessaires pour mettre fin "immédiatement" à l'agression israélienne "effrénée" contre le peuple palestinien. Un appel à un cessez-lefeu a été également lancé par la Russie qui a également réclamé une "action concertée immédiate de la communauté internationale", selon son ministère des Affaires étrangères. En tournée dans la région du Proche-Orient, le secrétaire général de l'ONU Ban Kimoon tente d'obtenir, à travers une série de contacts, un cessez-le-feu immédiat alors que le bilan de l'agression israélienne ne cesse de s'alourdir atteignant, selon les secours palestiniens, 583 morts et 3.640 blessés, en grande majorité des civils, au 15e jour de l'offensive. Dans la capitale égyptienne, Le Caire, M. Ban a rencontré lundi soir le secrétaire d'Etat américain John Kerry qui s'est dit "profondément inquiet" du sort des civils de la bande de Ghaza à qui il a promis 47 millions de dollars d'aide. Pour sa part, M. Ban a réaffirmé que "la violence doit cesser immédiatement". "Ce que nous avons vu ces derniers jours est inacceptable", a-t-il martelé peu avant son départ pour les territoires palestiniens occupés. Dans le cadre des contacts visant à faire cesser les agressions israéliennes qui ont provoqué également le déplacement, selon l'ONU, de quelque 100.000 habitants de Ghaza, le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du mouvement Hamas Khaled Mechaal ont appelé, lors d'une rencontre à Doha (Qatar), à la fin de l'agression israélienne contre l'enclave palestinienne et la levée du blocus mis en place depuis 2006. "Il doit d'abord y avoir un cessez-le-feu puis nous continuerons les discussions avec l'Egypte et toutes les parties régionales et internationales jusqu'à ce que nous concrétisions le contenu d'un accord de paix final", a expliqué le négociateur du mouvement Fatah, Azzam al-Ahmad, à l'issue de la rencontre entre MM. Abbas et Mechaal. Le Koweït où M. Ban s'était rendu dimanche dans le cadre de son périple régional, a lui aussi appelé le secrétaire général onusien à "mobiliser la communauté internationale" pour mettre fin à la "dangereuse" agression d'Israël contre Ghaza . Par ailleurs, le président français François Hollande a déclaré lundi que "tout doit être fait pour mettre un terme immédiat à la souffrance des populations civiles à Ghaza", à l'issue d'un entretien téléphonique avec Ban Ki-Moon, selon un communiqué de l'Elysée. Au cours de cet entretien portant sur la situation à Ghaza, M. Ban a fait part au président français "en détail des efforts qu'il déploie actuellement au Proche-Orient avec l'ensemble des partenaires (...) pour parvenir le plus rapidement possible à un cessez-le-feu, puis à un règlement de la crise", d'après la même source. Manifestations de solidarité avec le peuple palestinien Face à la poursuite sans répit des agressions israéliennes, des milliers de personnes ont manifesté notamment dans plusieurs capitales européennes contre l'offensive israélienne. A Vienne, environ 11.000 manifestants ont défilé dimanche pour protester contre "le crime et l'oppression en Palestine", tout comme à Amsterdam et à Stockholm, où respectivement quelque 3.000 et un millier de personnes ont défilé contre les attaques israéliennes. Aux Pays-Bas, des milliers de personnes, scandant "Libérez la Palestine", ont manifesté à Amsterdam , dénoncant la mort notamment d'enfants innocents. Des milliers de manifestants s'étaient rassemblés lundi à Paris à l'appel d'un parti de la gauche radicale et d'associations pro-palestiniennes au lendemain d'une manifestation dans la capitale française qui a dégénéré en heures d'affrontements entre policiers et jeunes. De nouvelles manifestations sont prévues mercredi et samedi prochain à Paris. A Alger, les Scouts musulmans algériens (SMA) ont organisé une rencontre de solidarité avec le peuple palestinien à laquelle ont assisté l'ambassadeur de Palestine à Alger, Louay Aïssa, des personnalités nationales et organisations de la société civile. Dans un geste de solidarité à l'égard du peuple palestinien, les autorités turques ont déclaré lundi trois jours de deuil en hommage aux victimes palestiniennes, qualifiant de "massacre" l'opération militaire israélienne Emirats : aide de 41 millions de dollars pour la reconstruction de Ghaza Les Emirats arabes unis ont annoncé lundi dernier une aide de près de 41 millions de dollars pour la reconstruction des habitations touchées par l'offensive militaire israélienne dans la bande de Ghaza. Cette aide de 150 millions de dirhams a fait l'objet d'un accord conclu à Abou Dhabi entre le Croissant rouge émirati (CRE) et l'Office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), selon un communiqué du CRE. Cette initiative porte sur "la reconstruction des maisons endommagées et la réhabilitation des établissements hospitaliers, d'éducation et de services", a indiqué le président du CRE, cheikh Hamdane Ben Zayed Al-Nahyane, cité dans le communiqué. Les Emirats arabes unis avaient déjà annoncé une aide humanitaire de 52 millions de dollars aux Palestiniens de la bande de Gaza, aux premiers jours de l'offensive israélienne.