Apparemment le jeu préféré du makhzen est de constamment critiquer la politique de l'Algérie. Le Royaume du Maroc reprend pour la énième fois ses provocations et ses insultes envers son voisin. Au moins d'un mois, le makhzen revient à la charge en attaquant son voisin de l'Est par une autre déclaration et cela dans le même objectif : fuir ses responsabilités et les véritables questions de l'actualité politique. Apparemment le jeu préféré du makhzen est de constamment critiquer la politique de l'Algérie. Le Royaume du Maroc reprend pour la énième fois ses provocations et ses insultes envers son voisin. Au moins d'un mois, le makhzen revient à la charge en attaquant son voisin de l'Est par une autre déclaration et cela dans le même objectif : fuir ses responsabilités et les véritables questions de l'actualité politique. Les provocations du Maroc à l'égard de l'Algérie sont devenues monnaie courante puisqu'il ne se passe pas un mois où le makhzen n'ait pas tenté d'envenimer les relations avec son voisin. Avant-hier, la ministre déléguée aux Affaires étrangères du Royaume, Mbarka Bouaida, a affirmé à Rabat qu'Alger assume la responsabilité dans le non-règlement du dossier des Marocains expulsés d'Algérie. Selon le site Atlas.info, Mme Bouaida a déploré devant la Chambre des représentants que « l'Algérie ne se soit pas montrée prête à examiner ce dossier ». Outre le dossier des expulsés, Mme Bouaida reproche à l'Algérie de chercher à créer des problèmes avec le Royaume. La ministre marocaine cite « les manoeuvres d'Alger pour faire obstruction à la participation du Maroc à toutes les conférences et réunions politiques relatives à la sécurité régionale, recours volontaire à baisser son niveau de représentation lors des réunions tenues au Maroc, et sa décision d'évacuer 70 citoyens syriens vers le Maroc, outre l'incident des tirs à balles réelles en direction des frontières maroco-algériennes par des éléments de l'armée algérienne. » Le 10 juillet, le ministre des Affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar, avait qualifié de «minable» l'attitude de l'Algérie sur la question du Sahara occidental. Deux jours après, Alger réagissait en qualifiant ces propos d' «irresponsables ». Les propos "outrageants" tenus par un membre du gouvernement marocain contre l'Algérie constituent une "dérive" et dénotent une "frilosité qui ne sied pas aux relations entre les deux pays frères et voisins", a affirmé le porteparole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. "Les propos irresponsables contre l'Algérie de hauts dirigeants gouvernementaux marocains renouent avec une pratique bien connue de fuite en avant que la partie marocaine remet au goût du jour à chaque fois que le processus du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental enregistre une avancée", a indiqué M. Benali Cherif dans une déclaration à l'APS. Les provocations du Maroc à l'égard de l'Algérie sont devenues monnaie courante puisqu'il ne se passe pas un mois où le makhzen n'ait pas tenté d'envenimer les relations avec son voisin. Avant-hier, la ministre déléguée aux Affaires étrangères du Royaume, Mbarka Bouaida, a affirmé à Rabat qu'Alger assume la responsabilité dans le non-règlement du dossier des Marocains expulsés d'Algérie. Selon le site Atlas.info, Mme Bouaida a déploré devant la Chambre des représentants que « l'Algérie ne se soit pas montrée prête à examiner ce dossier ». Outre le dossier des expulsés, Mme Bouaida reproche à l'Algérie de chercher à créer des problèmes avec le Royaume. La ministre marocaine cite « les manoeuvres d'Alger pour faire obstruction à la participation du Maroc à toutes les conférences et réunions politiques relatives à la sécurité régionale, recours volontaire à baisser son niveau de représentation lors des réunions tenues au Maroc, et sa décision d'évacuer 70 citoyens syriens vers le Maroc, outre l'incident des tirs à balles réelles en direction des frontières maroco-algériennes par des éléments de l'armée algérienne. » Le 10 juillet, le ministre des Affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar, avait qualifié de «minable» l'attitude de l'Algérie sur la question du Sahara occidental. Deux jours après, Alger réagissait en qualifiant ces propos d' «irresponsables ». Les propos "outrageants" tenus par un membre du gouvernement marocain contre l'Algérie constituent une "dérive" et dénotent une "frilosité qui ne sied pas aux relations entre les deux pays frères et voisins", a affirmé le porteparole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif. "Les propos irresponsables contre l'Algérie de hauts dirigeants gouvernementaux marocains renouent avec une pratique bien connue de fuite en avant que la partie marocaine remet au goût du jour à chaque fois que le processus du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental enregistre une avancée", a indiqué M. Benali Cherif dans une déclaration à l'APS.