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Comment s'alimenter durant le jeûne ?
Publié dans Le Midi Libre le 26 - 07 - 2014

Le repas de l'aube doit être léger : éviter l'huile, les graisses, le beurre, les oeufs, la patte d'arachide et, préférer les aliments légers comme la bouillie de mil, un morceau de pain plus une tasse de lait, etc. Au moment de la rupture, commencer par une tisane chaude : lait, etc...
Le repas de l'aube doit être léger : éviter l'huile, les graisses, le beurre, les oeufs, la patte d'arachide et, préférer les aliments légers comme la bouillie de mil, un morceau de pain plus une tasse de lait, etc. Au moment de la rupture, commencer par une tisane chaude : lait, etc...
Prendre votre repas de résistance un peu plus tard ? Entre temps faire quelques minutes de marche. Mangez toujours doucement ! Nous devons toujours éviter de manger lorsqu'on a trop faim car, la sensation de faim ne s'épuise qu'après s'être nourri. Ainsi vous risquez de manger beaucoup plus que ce dont votre organisme a besoin. La grande règle serait de s'alimenter après que la sensation de faim ait été surmontée.
Et, le meilleur moyen d'y arriver est de manger un sucre d'assimilation rapide. Un petit met en céréales fera largement l'affaire. Si vous n'aimez pas les céréales, pensez alors à un stimulant comme une tasse de café par exemple. Essayez et vous verrez ! Un petit quart d'heure suffira pour réduire votre sensation de faim. Le but est de réussir à manger la tête reposée et donc, d'éviter les troubles digestifs comme les ballonnements et les douleurs gastriques.
Comment sortir du jeûne ?
Reprendre progressivement son alimentation pour une durée au moins égale au nombre de jours jeûnés : éviter les pattes comme le pain, les excitants et consommez des fruits, des légumes, des céréales.
Comment notre corps réagit-il au jeûne ?
Au cours du jeûne, la personne commence par consommer le sucre présent dans son corps : le sucre du foie puis celui des muscles et ensuite l'organisme passe aux graisses. Ces derniers vont être utilisés comme source d'énergie et donc, fondre jusqu'à ce que la personne puisse s'alimenter à nouveau. On distingue deux phases dans le jeûne : une phase d'adaptation, et une autre d'équilibre. La première dure à peu près 10 jours. C'est généralement celle qui est susceptible de poser des problèmes.
Normal, car notre organisme passe brusquement de son régime habituel à un régime de rigueur ! Mais franchi ce cap, notre corps s'habitue. D'une certaine façon, il s'équilibre automatiquement. La conséquence est une perte de poids inévitable qui découle du processus de nettoyage de l'organisme. Ne vous inquiétez pas, elle n'est pas dangereuse. En fait, elle ne se produit pas au dépend des tissus vitaux.
Seules les substances superflues sont brûlées par notre organisme. Notamment les graisses et les déchets. L'adaptation du corps s'effectue sur le tissu adipeux, autrement dit, sur le tissu gras. Ce dernier constitue la réserve d'énergie de l'organisme. Il va donc s'adapter en fonction des besoins de la journée.
Quelle est la conséquence de la forte consommation de sucre pendant le jeûne ? Contrairement à une idée reçue de très longue date, il n'y a aucun lien de cause à effet entre la consommation de glucides en général et de sucre (saccharose) en particulier, et la survenue d'un diabète de type2, dit aussi diabète non insulinodépendant. Lorsque l'on est diabétique, rappelons-le, cela signifie que notre organisme assimile mal le glucose. Celui-ci se retrouve alors en excès dans le sang.
La raison en est bien souvent les surplus alimentaires, la prise de poids, le manque d'exercice et une prédisposition génétique. Le diabète de type2 n'est pas plus fréquent dans les pays à forte production et consommation de sucre que dans les autres. En général, l'apport en glucide de notre alimentation est inférieur aux recommandations des nutritionnistes. Pour être en forme, nous avons absolument besoin d'une alimentation comportant au moins 55% de l'énergie sous forme de glucides. Notons ainsi qu'une consommation excessive de sucre ne peut pas, à elle seule, provoquer un diabète.
A l'origine de cette idée reçue, l'amalgame de deux vérités : le diabète est caractérisé par une concentration trop élevée de sucre dans le sang (hyperglycémie) d'une part, et toute ingestion d'aliments sucrés entraîne une augmentation de la glycémie d'autre part. Mais, chez le sujet sain, cette augmentation est normale et temporaire : l'insuline contrôle précisément la quantité de sucre circulant dans le sang.
Elle est la clé qui ouvre au sucre (glucose) la porte des différentes cellules de l'organisme, dont il est le carburant. En cas de surpoids, les cellules « obéissent » moins bien à l'insuline. Les portes restent fermées au glucose qui s'accumule dans le sang. Le pancréas tente de forcer les portes, en sécrétant davantage d'insuline, mais il finit par s'épuiser au fil des ans chez les sujets génétiquement prédisposés :
c'est alors que le diabète de type2 s'installe chez 30% des personnes en surpoids. Attention ! L'alimentation est le plus souvent à base de glucides d'absorption rapide et de graisses saturées : ce mode alimentaire est à l'origine d'une prise de poids de 5 à 6 kg au mois de ramadan, ce qui peut causer une résistance à l'insuline, à l'hypertension artérielle et au diabète.
Prendre votre repas de résistance un peu plus tard ? Entre temps faire quelques minutes de marche. Mangez toujours doucement ! Nous devons toujours éviter de manger lorsqu'on a trop faim car, la sensation de faim ne s'épuise qu'après s'être nourri. Ainsi vous risquez de manger beaucoup plus que ce dont votre organisme a besoin. La grande règle serait de s'alimenter après que la sensation de faim ait été surmontée.
Et, le meilleur moyen d'y arriver est de manger un sucre d'assimilation rapide. Un petit met en céréales fera largement l'affaire. Si vous n'aimez pas les céréales, pensez alors à un stimulant comme une tasse de café par exemple. Essayez et vous verrez ! Un petit quart d'heure suffira pour réduire votre sensation de faim. Le but est de réussir à manger la tête reposée et donc, d'éviter les troubles digestifs comme les ballonnements et les douleurs gastriques.
Comment sortir du jeûne ?
Reprendre progressivement son alimentation pour une durée au moins égale au nombre de jours jeûnés : éviter les pattes comme le pain, les excitants et consommez des fruits, des légumes, des céréales.
Comment notre corps réagit-il au jeûne ?
Au cours du jeûne, la personne commence par consommer le sucre présent dans son corps : le sucre du foie puis celui des muscles et ensuite l'organisme passe aux graisses. Ces derniers vont être utilisés comme source d'énergie et donc, fondre jusqu'à ce que la personne puisse s'alimenter à nouveau. On distingue deux phases dans le jeûne : une phase d'adaptation, et une autre d'équilibre. La première dure à peu près 10 jours. C'est généralement celle qui est susceptible de poser des problèmes.
Normal, car notre organisme passe brusquement de son régime habituel à un régime de rigueur ! Mais franchi ce cap, notre corps s'habitue. D'une certaine façon, il s'équilibre automatiquement. La conséquence est une perte de poids inévitable qui découle du processus de nettoyage de l'organisme. Ne vous inquiétez pas, elle n'est pas dangereuse. En fait, elle ne se produit pas au dépend des tissus vitaux.
Seules les substances superflues sont brûlées par notre organisme. Notamment les graisses et les déchets. L'adaptation du corps s'effectue sur le tissu adipeux, autrement dit, sur le tissu gras. Ce dernier constitue la réserve d'énergie de l'organisme. Il va donc s'adapter en fonction des besoins de la journée.
Quelle est la conséquence de la forte consommation de sucre pendant le jeûne ? Contrairement à une idée reçue de très longue date, il n'y a aucun lien de cause à effet entre la consommation de glucides en général et de sucre (saccharose) en particulier, et la survenue d'un diabète de type2, dit aussi diabète non insulinodépendant. Lorsque l'on est diabétique, rappelons-le, cela signifie que notre organisme assimile mal le glucose. Celui-ci se retrouve alors en excès dans le sang.
La raison en est bien souvent les surplus alimentaires, la prise de poids, le manque d'exercice et une prédisposition génétique. Le diabète de type2 n'est pas plus fréquent dans les pays à forte production et consommation de sucre que dans les autres. En général, l'apport en glucide de notre alimentation est inférieur aux recommandations des nutritionnistes. Pour être en forme, nous avons absolument besoin d'une alimentation comportant au moins 55% de l'énergie sous forme de glucides. Notons ainsi qu'une consommation excessive de sucre ne peut pas, à elle seule, provoquer un diabète.
A l'origine de cette idée reçue, l'amalgame de deux vérités : le diabète est caractérisé par une concentration trop élevée de sucre dans le sang (hyperglycémie) d'une part, et toute ingestion d'aliments sucrés entraîne une augmentation de la glycémie d'autre part. Mais, chez le sujet sain, cette augmentation est normale et temporaire : l'insuline contrôle précisément la quantité de sucre circulant dans le sang.
Elle est la clé qui ouvre au sucre (glucose) la porte des différentes cellules de l'organisme, dont il est le carburant. En cas de surpoids, les cellules « obéissent » moins bien à l'insuline. Les portes restent fermées au glucose qui s'accumule dans le sang. Le pancréas tente de forcer les portes, en sécrétant davantage d'insuline, mais il finit par s'épuiser au fil des ans chez les sujets génétiquement prédisposés :
c'est alors que le diabète de type2 s'installe chez 30% des personnes en surpoids. Attention ! L'alimentation est le plus souvent à base de glucides d'absorption rapide et de graisses saturées : ce mode alimentaire est à l'origine d'une prise de poids de 5 à 6 kg au mois de ramadan, ce qui peut causer une résistance à l'insuline, à l'hypertension artérielle et au diabète.


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