Les forces ukrainiennes se sont lancées lundi à l'assaut de points stratégiques tenus par les insurgés prorusses près du site au-dessus duquel a été abattu l'avion malaisien, livrant d'intenses combats qui ont empêché les experts néerlandais et malaisiens d'accéder aux débris de l'appareil. Les forces ukrainiennes se sont lancées lundi à l'assaut de points stratégiques tenus par les insurgés prorusses près du site au-dessus duquel a été abattu l'avion malaisien, livrant d'intenses combats qui ont empêché les experts néerlandais et malaisiens d'accéder aux débris de l'appareil. L'ONU a réclamé une enquête "rapide, minutieuse, efficace et indépendante" sur la destruction du Boeing de Malaysia Airlines qui a fait 298 morts et qui selon elle s'apparente à "un crime de guerre". Signe que l'escalade se poursuit au niveau international, les dirigeants français François Hollande, américain Barack Obama, allemand Angela Merkel, britannique David Cameron et italien Matteo Renzi ont réaffirmé leur "intention d'adopter de nouvelles mesures" contre la Russie. Ils se sont dits favorables à des "sanctions coordonnées" contre la Russie, accusée de "continuer à livrer des armes" aux séparatistes dans l'est de l'Ukraine. L'UE devrait adopter mardi pour la première fois des sanctions économiques d'envergure : accès aux marchés financiers, ventes d'armes, technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et biens à double usage militaire et civil. L'ambassadeur russe aux Nations unies Vitali Tchourkine a accusé l'Ukraine de violer la résolution 2166 du Conseil de sécurité en menant une campagne destinée à prendre le contrôle de la zone dans laquelle l'avion s'est écrasé. Onze jours après le drame, l'intensification des combats à proximité immédiate rend encore plus difficile l'arrivée d'experts étrangers sur les lieux du drame que contrôlent les séparatistes prorusses où il reste toujours des débris de l'appareil ainsi que des fragments de corps. L'ONU a réclamé une enquête "rapide, minutieuse, efficace et indépendante" sur la destruction du Boeing de Malaysia Airlines qui a fait 298 morts et qui selon elle s'apparente à "un crime de guerre". Signe que l'escalade se poursuit au niveau international, les dirigeants français François Hollande, américain Barack Obama, allemand Angela Merkel, britannique David Cameron et italien Matteo Renzi ont réaffirmé leur "intention d'adopter de nouvelles mesures" contre la Russie. Ils se sont dits favorables à des "sanctions coordonnées" contre la Russie, accusée de "continuer à livrer des armes" aux séparatistes dans l'est de l'Ukraine. L'UE devrait adopter mardi pour la première fois des sanctions économiques d'envergure : accès aux marchés financiers, ventes d'armes, technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et biens à double usage militaire et civil. L'ambassadeur russe aux Nations unies Vitali Tchourkine a accusé l'Ukraine de violer la résolution 2166 du Conseil de sécurité en menant une campagne destinée à prendre le contrôle de la zone dans laquelle l'avion s'est écrasé. Onze jours après le drame, l'intensification des combats à proximité immédiate rend encore plus difficile l'arrivée d'experts étrangers sur les lieux du drame que contrôlent les séparatistes prorusses où il reste toujours des débris de l'appareil ainsi que des fragments de corps.