Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Ghaza, victime d'une agression israéliénne, établissant le bilan plus de 1.296 Palestiniens tués et 7.200 blessés, dont des femmes et des enfants. Parmi les 67 personnes tuées dans l'enclave palestinienne, 16 ont péri notamment dans le camp de réfugiés de Jabaliya, quand deux obus de char ont frappé de plein fouet deux salles de classe d'une école de l'ONU où s'étaient réfugiés des habitants chassés de chez eux par les bombardements israéliens, selon les secours. Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Ghaza, victime d'une agression israéliénne, établissant le bilan plus de 1.296 Palestiniens tués et 7.200 blessés, dont des femmes et des enfants. Parmi les 67 personnes tuées dans l'enclave palestinienne, 16 ont péri notamment dans le camp de réfugiés de Jabaliya, quand deux obus de char ont frappé de plein fouet deux salles de classe d'une école de l'ONU où s'étaient réfugiés des habitants chassés de chez eux par les bombardements israéliens, selon les secours. ATouffah, une banlieue du nordest de la ville de Ghaza, six Palestiniens, dont trois enfants, ont été tués dans un raid de chars israéliens. Et dans le sud de l‘enclave, à Khan Younès, au moins 13 Palestiniens dont sept membres d‘une même famille ont péri sous les obus israéliens, a déclaré Achraf al-Qodra, le porte-parole des services de secours à Ghaza. Trois autres Palestiniens avaient auparavant été tués dans cette localité et un autre Palestinien a été tué à Deir al- Balah (centre).Selon l‘ONU, les civils comptent pour trois-quarts du nombre de morts palestiniens depuis le début de ce conflit le 8 juillet. Tirs meurtriers sur une école à Gaza : une agence de l‘ONU accuse ouvertement Israël l‘Algérie discute avec le Qatar et l‘Egypte pour une "action arabe commune" Le président algérien Abdelaziz Bouteflika s‘est entretenu mercredi avec ses homologues égyptien et qatari sur "les voies et moyens d‘une action arabe commune pour un arrêt des agressions sur Gaza", selon un communiqué de la présidence. M. Bouteflika a discuté avec Abdel Fattah al-Sissi et cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani "des voies et moyens d‘une action arabe commune plus intense en vue d‘amener la communauté internationale à obtenir un arrêt urgent de l‘agression israélienne à Gaza ainsi que pour une solidarité arabe accrue aux côtés de la population palestinienne à Gaza", précise un communiqué de la présidence diffusé par l‘agence APS. Le président algérien a également décidé d‘une "aide financière urgente de 25 millions de dollars au profit de la Palestine" et notamment de Gaza, selon la même source. Par ailleurs, une minute de silence sera observée dans l‘ensemble du pays jeudi à 12H00 (11H00GMT) en hommage aux victimes palestiniennes, a rapporté l‘agence APS. Au moins 70 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Gaza où l‘armée israélienne a intensifié son offensive contre le Hamas, portant à plus de 1.300 le bilan des victimes depuis le début de l‘opération "bordure protectrice" le 8 juillet. Une trêve de quatre heures observée hier L‘armée israélienne annonce la suspension des bombardements de la bande de Gaza entre 14h et 18h, heure de Paris. L‘armée israélienne annonce qu‘une trêve humanitaire sera observée ce mercredi de 15h00 à 19h00, heure locale (14h-18h, heure de Paris). Les bombardements ne faiblissent pas dans l‘enclave palestinienne. Un tir israélien a par ailleurs touché une école de l‘Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens dans le camp de Jabaliya, provoquant la mort de 16 Palestiniens. Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi. Le bilan total, selon les secours locaux, serait de plus de 1296 Palestiniens tués et 7200 blessés. "L‘armée a autorisé une trêve temporaire dans la bande de Gaza. Cette trêve s‘appliquera de 15h00 à 19h00 (heure locale) et ne s‘appliquera pas aux zones où les soldats sont actuellement engagés dans des opérations", a indiqué un communiqué militaire. L‘armée israélienne a commis de "graves violations du droit international" L‘armée d‘occupation israélienne a commis de "graves violations du droit international" dans la bande de Ghaza, a affirmé l‘Agence de l‘ONU pour l‘Aide aux réfugiés palestiniens (UNWRA), appelant à mettre un terme "immédiat au carnage en cours". "Je condamne dans les termes les plus fermes possibles cette grave violation du droit international par les forces israéliennes", après un tir qui a tuémercredi 16 Palestiniens dans une de ses écoles dans la bande de Ghaza, a déclaré dans un communiqué Pierre Krahenbühl, chef de l‘UNWRA. "J‘appelle la communauté internationale à engager une action politique déterminée pour mettre un terme immédiat au carnage en cours". "La nuit dernière, des enfants ont été tués alors qu‘ils dormaient à côté de leurs parents sur le sol d‘une salle de classe, dans un refuge désigné comme tel à Ghaza. C‘est un affront pour chacun d‘entre nous, une source de honte internationale", a dit Pierre Krahenbühl. "Nous nous sommes rendus sur le site et avons rassemblé des preuves. Nous avons analysé des débris, des cratères et d‘autres dégâts. Selon nos premières conclusions, c‘est l‘artillerie israélienne qui a frappé notre école où 3.300 personnes avaient trouvé refuge", a poursuivi le responsable onusien. "Il est trop tôt pour fournir un bilan définitif des morts. Mais nous savons qu‘il y a de nombreux civils tués et blessés, y compris des femmes et des enfants, et le gardien de l‘UNWRA qui tentait de protéger le site", a poursuivi Pierre Krahenbühl. "Il s‘agit de gens à qui l‘armée israélienne avait ordonné de quitter leurs maisons". "La localisation précise" de l‘école et "le fait qu‘elle accueillait des milliers de personnes déplacées sont des informations qui ont été transmises 17 fois à l‘armée israélienne afin de s‘assurer de leur sécurité, la dernière fois à 22H00 (mardi) soir, quelques heures avant le bombardement meurtrier", a poursuivi le responsable. "C‘est la sixième fois que l‘une de nos écoles est frappée. Nos employés, ces gens qui mènent l‘action humanitaire sont tués. Nos refuges sont surpeuplés", a-t-il encore dénoncé. "Nous ne sommes plus uniquement dans le domaine de l‘action humanitaire. Nous sommes arrivés au point où il faut que des comptes soient rendus", a réclamé Pierre Krahenbühl. Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Ghaza, victime d‘une agression israéliénne, établissant le bilan plus de 1.296 Palestiniens tués et 7.200 blessés, dont des femmes et des enfants. Lourdes pertes pour l‘armée israélienne L‘armée israélienne a affirmé avoir tué plus de 300 combattants du Hamas et frappé près de 3900 «sites terroristes» depuis le début du conflit, qui s‘est étendu le 17 juillet à une opération terrestre. Mais l‘objectif affiché d‘obtenir une «démilitarisation de Gaza» et de détruire l‘arsenal de roquettes et les tunnels d‘attaque du Hamas est loin d‘être atteint. Dans cette guerre asymétrique, le Hamas et ses alliés du Jihad islamique, qui s‘étaient visiblement préparés à une offensive israélienne, parviennent à faire mal à leur adversaire. Les sirènes d‘alarme continuent de retentir dans les villes israéliennes, au rythme des tirs sporadiques de roquettes. Et dix soldats sont tombés ces dernières 24 heures dans des attaques revendiquées par le Hamas, dont cinq dans des combats avec un commando qui avait émergé d‘un des tunnels du Hamas près du kibboutz de Nahal Oz (sud). «Au nom de l‘humanité, la violence doit s‘arrêter» Cette opération «Bordure protectrice» a déjà duré aussi longtemps que «Plomb Durci» en 2008/2009, qui était aussi destinée à faire cesser les tirs de roquettes du Hamas et fut pour les Palestiniens (1 440 morts) la plus meurtrière des quatre confrontations majeures depuis le retrait israélien de Gaza en 2005. Et rien ni personne ne semblent pouvoir l‘arrêter. «Au nom de l‘humanité, la violence doit s‘arrêter», a lancé dans une énième exhortation le secrétaire général de l‘ONU Ban Ki-moon. Le président américain Barack Obama avait exigé dimanche en vain un cessez-feu ATouffah, une banlieue du nordest de la ville de Ghaza, six Palestiniens, dont trois enfants, ont été tués dans un raid de chars israéliens. Et dans le sud de l‘enclave, à Khan Younès, au moins 13 Palestiniens dont sept membres d‘une même famille ont péri sous les obus israéliens, a déclaré Achraf al-Qodra, le porte-parole des services de secours à Ghaza. Trois autres Palestiniens avaient auparavant été tués dans cette localité et un autre Palestinien a été tué à Deir al- Balah (centre).Selon l‘ONU, les civils comptent pour trois-quarts du nombre de morts palestiniens depuis le début de ce conflit le 8 juillet. Tirs meurtriers sur une école à Gaza : une agence de l‘ONU accuse ouvertement Israël l‘Algérie discute avec le Qatar et l‘Egypte pour une "action arabe commune" Le président algérien Abdelaziz Bouteflika s‘est entretenu mercredi avec ses homologues égyptien et qatari sur "les voies et moyens d‘une action arabe commune pour un arrêt des agressions sur Gaza", selon un communiqué de la présidence. M. Bouteflika a discuté avec Abdel Fattah al-Sissi et cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani "des voies et moyens d‘une action arabe commune plus intense en vue d‘amener la communauté internationale à obtenir un arrêt urgent de l‘agression israélienne à Gaza ainsi que pour une solidarité arabe accrue aux côtés de la population palestinienne à Gaza", précise un communiqué de la présidence diffusé par l‘agence APS. Le président algérien a également décidé d‘une "aide financière urgente de 25 millions de dollars au profit de la Palestine" et notamment de Gaza, selon la même source. Par ailleurs, une minute de silence sera observée dans l‘ensemble du pays jeudi à 12H00 (11H00GMT) en hommage aux victimes palestiniennes, a rapporté l‘agence APS. Au moins 70 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Gaza où l‘armée israélienne a intensifié son offensive contre le Hamas, portant à plus de 1.300 le bilan des victimes depuis le début de l‘opération "bordure protectrice" le 8 juillet. Une trêve de quatre heures observée hier L‘armée israélienne annonce la suspension des bombardements de la bande de Gaza entre 14h et 18h, heure de Paris. L‘armée israélienne annonce qu‘une trêve humanitaire sera observée ce mercredi de 15h00 à 19h00, heure locale (14h-18h, heure de Paris). Les bombardements ne faiblissent pas dans l‘enclave palestinienne. Un tir israélien a par ailleurs touché une école de l‘Agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens dans le camp de Jabaliya, provoquant la mort de 16 Palestiniens. Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi. Le bilan total, selon les secours locaux, serait de plus de 1296 Palestiniens tués et 7200 blessés. "L‘armée a autorisé une trêve temporaire dans la bande de Gaza. Cette trêve s‘appliquera de 15h00 à 19h00 (heure locale) et ne s‘appliquera pas aux zones où les soldats sont actuellement engagés dans des opérations", a indiqué un communiqué militaire. L‘armée israélienne a commis de "graves violations du droit international" L‘armée d‘occupation israélienne a commis de "graves violations du droit international" dans la bande de Ghaza, a affirmé l‘Agence de l‘ONU pour l‘Aide aux réfugiés palestiniens (UNWRA), appelant à mettre un terme "immédiat au carnage en cours". "Je condamne dans les termes les plus fermes possibles cette grave violation du droit international par les forces israéliennes", après un tir qui a tuémercredi 16 Palestiniens dans une de ses écoles dans la bande de Ghaza, a déclaré dans un communiqué Pierre Krahenbühl, chef de l‘UNWRA. "J‘appelle la communauté internationale à engager une action politique déterminée pour mettre un terme immédiat au carnage en cours". "La nuit dernière, des enfants ont été tués alors qu‘ils dormaient à côté de leurs parents sur le sol d‘une salle de classe, dans un refuge désigné comme tel à Ghaza. C‘est un affront pour chacun d‘entre nous, une source de honte internationale", a dit Pierre Krahenbühl. "Nous nous sommes rendus sur le site et avons rassemblé des preuves. Nous avons analysé des débris, des cratères et d‘autres dégâts. Selon nos premières conclusions, c‘est l‘artillerie israélienne qui a frappé notre école où 3.300 personnes avaient trouvé refuge", a poursuivi le responsable onusien. "Il est trop tôt pour fournir un bilan définitif des morts. Mais nous savons qu‘il y a de nombreux civils tués et blessés, y compris des femmes et des enfants, et le gardien de l‘UNWRA qui tentait de protéger le site", a poursuivi Pierre Krahenbühl. "Il s‘agit de gens à qui l‘armée israélienne avait ordonné de quitter leurs maisons". "La localisation précise" de l‘école et "le fait qu‘elle accueillait des milliers de personnes déplacées sont des informations qui ont été transmises 17 fois à l‘armée israélienne afin de s‘assurer de leur sécurité, la dernière fois à 22H00 (mardi) soir, quelques heures avant le bombardement meurtrier", a poursuivi le responsable. "C‘est la sixième fois que l‘une de nos écoles est frappée. Nos employés, ces gens qui mènent l‘action humanitaire sont tués. Nos refuges sont surpeuplés", a-t-il encore dénoncé. "Nous ne sommes plus uniquement dans le domaine de l‘action humanitaire. Nous sommes arrivés au point où il faut que des comptes soient rendus", a réclamé Pierre Krahenbühl. Au moins 67 Palestiniens ont été tués mercredi dans la bande de Ghaza, victime d‘une agression israéliénne, établissant le bilan plus de 1.296 Palestiniens tués et 7.200 blessés, dont des femmes et des enfants. Lourdes pertes pour l‘armée israélienne L‘armée israélienne a affirmé avoir tué plus de 300 combattants du Hamas et frappé près de 3900 «sites terroristes» depuis le début du conflit, qui s‘est étendu le 17 juillet à une opération terrestre. Mais l‘objectif affiché d‘obtenir une «démilitarisation de Gaza» et de détruire l‘arsenal de roquettes et les tunnels d‘attaque du Hamas est loin d‘être atteint. Dans cette guerre asymétrique, le Hamas et ses alliés du Jihad islamique, qui s‘étaient visiblement préparés à une offensive israélienne, parviennent à faire mal à leur adversaire. Les sirènes d‘alarme continuent de retentir dans les villes israéliennes, au rythme des tirs sporadiques de roquettes. Et dix soldats sont tombés ces dernières 24 heures dans des attaques revendiquées par le Hamas, dont cinq dans des combats avec un commando qui avait émergé d‘un des tunnels du Hamas près du kibboutz de Nahal Oz (sud). «Au nom de l‘humanité, la violence doit s‘arrêter» Cette opération «Bordure protectrice» a déjà duré aussi longtemps que «Plomb Durci» en 2008/2009, qui était aussi destinée à faire cesser les tirs de roquettes du Hamas et fut pour les Palestiniens (1 440 morts) la plus meurtrière des quatre confrontations majeures depuis le retrait israélien de Gaza en 2005. Et rien ni personne ne semblent pouvoir l‘arrêter. «Au nom de l‘humanité, la violence doit s‘arrêter», a lancé dans une énième exhortation le secrétaire général de l‘ONU Ban Ki-moon. Le président américain Barack Obama avait exigé dimanche en vain un cessez-feu