Plus de 500 cadres du Front Polisario et de la République sahraouie (RASD) ainsi que des membres du corps diplomatique accrédités à Alger, des représentants de formations politiques et de mouvements associatifs ont pris part, hier, à la cérémonie d'ouverture de la 5e université d'été de la RASD baptisée Gdim Izik, du nom d'un camp sahraoui ayant fait l'objet, il y a deux ans, d'une violente répression de la part des forces de sécurité marocaines. Plus de 500 cadres du Front Polisario et de la République sahraouie (RASD) ainsi que des membres du corps diplomatique accrédités à Alger, des représentants de formations politiques et de mouvements associatifs ont pris part, hier, à la cérémonie d'ouverture de la 5e université d'été de la RASD baptisée Gdim Izik, du nom d'un camp sahraoui ayant fait l'objet, il y a deux ans, d'une violente répression de la part des forces de sécurité marocaines. Les travaux de cette université se tiendront du 3 au 23 août à la salle de conférence de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès où des personnalités politiques nationales et sahraouies ainsi que des chercheurs débattront de thèmes divers ayant une relation avec la lutte du front Polisario pour le recouvrement de l'indépendance de l'ex-colonie espagnole. Lors de l'ouverture d'hier, plusieurs responsables notamment Ibrahim Ghali, ambassadeur de la RASD à Alger et Saïd Ayachi, président du CNASPS, ont pris la parole pour dénoncer la barbarie marocaine qui continue de s'abattre sur les Sahraouis dans les territoires occupés. Le président de la CNASPS a qualifié les revendications du peuple sahraoui de légitimes totalement confortées par le droit international et entièrement reconnues par la communauté internationale. « Le droit à l'autodétermination des Sahraouis, est un droit inaliénable, aujourd'hui soutenu par l'ONU, l'UA et l'UE et par plus de 80 pays dans le monde », a-t-il affirmé. « La répression sauvage de l'administration coloniale, les violations massives des droits de l'homme et la spoliation des ressources naturelles dans les territoires occupés, n'entailleront pas la farouche détermination des Sahraouis dans leur lutte de libération », a précisé Saïd Ayachi qui a considéré que l'université d'été est une épreuve de soutien de l'Algérie à la cause sahraouie tout en réclamant leur droit à l'autodétermination. Par ailleurs, l'orateur s'est félicité des dernières évolutions en faveur de la cause sahraouie notamment celle relative à la décision du Conseil de sécurité d'améliorer les droits de l'homme au Sahara occidental sans pour autant y installer un mécanisme de contrôle sur terrain. Les travaux de cette université se tiendront du 3 au 23 août à la salle de conférence de l'université M'hamed-Bouguerra de Boumerdès où des personnalités politiques nationales et sahraouies ainsi que des chercheurs débattront de thèmes divers ayant une relation avec la lutte du front Polisario pour le recouvrement de l'indépendance de l'ex-colonie espagnole. Lors de l'ouverture d'hier, plusieurs responsables notamment Ibrahim Ghali, ambassadeur de la RASD à Alger et Saïd Ayachi, président du CNASPS, ont pris la parole pour dénoncer la barbarie marocaine qui continue de s'abattre sur les Sahraouis dans les territoires occupés. Le président de la CNASPS a qualifié les revendications du peuple sahraoui de légitimes totalement confortées par le droit international et entièrement reconnues par la communauté internationale. « Le droit à l'autodétermination des Sahraouis, est un droit inaliénable, aujourd'hui soutenu par l'ONU, l'UA et l'UE et par plus de 80 pays dans le monde », a-t-il affirmé. « La répression sauvage de l'administration coloniale, les violations massives des droits de l'homme et la spoliation des ressources naturelles dans les territoires occupés, n'entailleront pas la farouche détermination des Sahraouis dans leur lutte de libération », a précisé Saïd Ayachi qui a considéré que l'université d'été est une épreuve de soutien de l'Algérie à la cause sahraouie tout en réclamant leur droit à l'autodétermination. Par ailleurs, l'orateur s'est félicité des dernières évolutions en faveur de la cause sahraouie notamment celle relative à la décision du Conseil de sécurité d'améliorer les droits de l'homme au Sahara occidental sans pour autant y installer un mécanisme de contrôle sur terrain.