Le ministre des Ressources en eau a annoncé une augmentation de 100 % de la superficie irriguée du pays d'ici à 2019. Le ministre des Ressources en eau a annoncé une augmentation de 100 % de la superficie irriguée du pays d'ici à 2019. Dans le but d'améliorer la sécurité alimentaire et de développer une économie agricole moins dépendante des hydrocarbures, le gouvernement algérien vient d'approuver une augmentation de la superficie des terres irriguées de 1.000.000 d'hectares d'ici à 2019, ce qui représente le double de surface irriguée par rapport à aujourd'hui, indique une source du ministère des Ressources en eau. Dans une interview accordée au cabinet de recherche et de conseil, Oxford business group (OBG), le ministre des Ressources en eau, Necib Hocine, a réaffirmé le besoin de développer les infrastructures de l'eau. "Pour faire face au défi d'avoir suffisamment d'eau, nous sommes en train de développer une plus grande infrastructure. Cela permettra de donner plus d'importance aux régions intérieures de l'Algérie et de créer des opportunités en dehors des grandes villes côtières". Certaines régions du pays, qui sont riches en potentiel agricole et industriel, souffrent cependant d'une menace constante de sécheresse, ce qui empêche les domaines agricoles de se développer. Le gouvernement algérien veut, entre autres, résoudre le problème d'insécurité d'eau dans la région des Hauts-Plateaux de l'Est. Pour cela, il a mis en place un grand projet de transfert d'eau depuis la wilaya d'El Tarf, qui dispose de trois barrages. Un quatrième barrage sera par ailleurs construit dans la période 2015- 2019. "De cette manière, les zones les plus touchées par la sécheresse auront accès à l'eau", a expliqué Necib Hocine à OBG. L'autre projet étudié par le ministère des Ressources en eau pour améliorer l'accès à l'eau est le dessalement. A ce propos, le ministre considère que c'est "une bonne option pas trop coûteuse étant donné que l'Algérie est riche en gaz". L'un des objectifs de ce programme est aussi la modernisation du service public. L'Algérienne des eaux (ADE) et l'Office national d'iassainissement travaillent pour améliorer le niveau de professionnalisme et le savoir-faire dans la gestion de l'eau. Plusieurs projets sont déjà lancés avec des entreprises étrangères telles que Suez environnement ou Eau de Marseille, dans les villes d'Oran, Alger, Constantine ou Annaba. Dans le but d'améliorer la sécurité alimentaire et de développer une économie agricole moins dépendante des hydrocarbures, le gouvernement algérien vient d'approuver une augmentation de la superficie des terres irriguées de 1.000.000 d'hectares d'ici à 2019, ce qui représente le double de surface irriguée par rapport à aujourd'hui, indique une source du ministère des Ressources en eau. Dans une interview accordée au cabinet de recherche et de conseil, Oxford business group (OBG), le ministre des Ressources en eau, Necib Hocine, a réaffirmé le besoin de développer les infrastructures de l'eau. "Pour faire face au défi d'avoir suffisamment d'eau, nous sommes en train de développer une plus grande infrastructure. Cela permettra de donner plus d'importance aux régions intérieures de l'Algérie et de créer des opportunités en dehors des grandes villes côtières". Certaines régions du pays, qui sont riches en potentiel agricole et industriel, souffrent cependant d'une menace constante de sécheresse, ce qui empêche les domaines agricoles de se développer. Le gouvernement algérien veut, entre autres, résoudre le problème d'insécurité d'eau dans la région des Hauts-Plateaux de l'Est. Pour cela, il a mis en place un grand projet de transfert d'eau depuis la wilaya d'El Tarf, qui dispose de trois barrages. Un quatrième barrage sera par ailleurs construit dans la période 2015- 2019. "De cette manière, les zones les plus touchées par la sécheresse auront accès à l'eau", a expliqué Necib Hocine à OBG. L'autre projet étudié par le ministère des Ressources en eau pour améliorer l'accès à l'eau est le dessalement. A ce propos, le ministre considère que c'est "une bonne option pas trop coûteuse étant donné que l'Algérie est riche en gaz". L'un des objectifs de ce programme est aussi la modernisation du service public. L'Algérienne des eaux (ADE) et l'Office national d'iassainissement travaillent pour améliorer le niveau de professionnalisme et le savoir-faire dans la gestion de l'eau. Plusieurs projets sont déjà lancés avec des entreprises étrangères telles que Suez environnement ou Eau de Marseille, dans les villes d'Oran, Alger, Constantine ou Annaba.