La prouesse est signée Sanofi. Le groupe pharmaceutique sera le seul à commercialiser de l'insuline à inhaler. La prouesse est signée Sanofi. Le groupe pharmaceutique sera le seul à commercialiser de l'insuline à inhaler. Avec l'inhalateur d'insuline, finies les piqûres désagréables. Les patients diabétiques devraient bientôt pouvoir bénéficier d'un nouveau mode d'administration de l'insuline. Le laboratoire pharmaceutique Sanofi se lance le défi d'être le premier et le seul à mettre au point de l'insuline à inhaler. L'appareil, baptisé Afrezza, est sur le point d'être développé par Sanofi en collaboration avec la société de biotechnologies américaine Mannkind. Le challenge est de taille : 691 millions d'euros. Cette poudre à inhaler est attendue sur le marché américain à l'horizon 2015. Aucune date n'est encore avancée pour la France. Outre l'enjeu financier, ce nouveau concept pourrait bien révolutionner le quotidien des diabétiques insulino-dépendants (diabétiques de type 1). Ces personnes sont incapables de fabriquer de l'insuline et doit être donc artificiellement apporté à l'organisme. Les diabétiques de type 2 peuvent aussi, à un certain stade de la maladie, nécessiter des injections d'insuline. Jusqu'ici les moyens à disposition étaient limités : soit des injections d'insuline via une seringue ou un stylo, soit une pompe à insuline, un appareil portable qui administre l'insuline en continu. Gageons que d'ici quelque temps, les patients auront une nouvelle alternative, plus pratique et moins contraignante que les seringues, les pompes ou les stylos. Avec l'inhalateur d'insuline, finies les piqûres désagréables. Les patients diabétiques devraient bientôt pouvoir bénéficier d'un nouveau mode d'administration de l'insuline. Le laboratoire pharmaceutique Sanofi se lance le défi d'être le premier et le seul à mettre au point de l'insuline à inhaler. L'appareil, baptisé Afrezza, est sur le point d'être développé par Sanofi en collaboration avec la société de biotechnologies américaine Mannkind. Le challenge est de taille : 691 millions d'euros. Cette poudre à inhaler est attendue sur le marché américain à l'horizon 2015. Aucune date n'est encore avancée pour la France. Outre l'enjeu financier, ce nouveau concept pourrait bien révolutionner le quotidien des diabétiques insulino-dépendants (diabétiques de type 1). Ces personnes sont incapables de fabriquer de l'insuline et doit être donc artificiellement apporté à l'organisme. Les diabétiques de type 2 peuvent aussi, à un certain stade de la maladie, nécessiter des injections d'insuline. Jusqu'ici les moyens à disposition étaient limités : soit des injections d'insuline via une seringue ou un stylo, soit une pompe à insuline, un appareil portable qui administre l'insuline en continu. Gageons que d'ici quelque temps, les patients auront une nouvelle alternative, plus pratique et moins contraignante que les seringues, les pompes ou les stylos.