Le virus Ebola continue de s'étendre en Afrique de l'Ouest, poussant le Kenya à fermer partiellement ses frontières, samedi 16 août, tandis qu'un cas suspect a été détecté enEspagne. Le virus Ebola continue de s'étendre en Afrique de l'Ouest, poussant le Kenya à fermer partiellement ses frontières, samedi 16 août, tandis qu'un cas suspect a été détecté enEspagne. Une personne qui pourrait avoir contracté le virus d'Ebola, premier cas possible en Espagne après la mort du missionnaire espagnol rapatrié à Madrid le 7 août, a été placée en isolement dans un hôpital spécialisé à Alicante, ont annoncé samedi soir les autorités sanitaires. Des examens ont été menés sur le patient mais « nous n'aurons pas les résultats avant la semaine prochaine, peut-être lundi », a précisé une source hospitalière. D'autres cas suspects ont été détectés en Espagne depuis le début de l'épidémie d'Ebola, mais aucun n'a été confirmé dans le pays. Mercredi, plusieurs centaines de personnes ont rendu hommage aux victimes du virus, lors des obsèques à Madrid du prêtre espagnol Miguel Pajares, premier mort européen de cette épidémie. Le missionnaire de 75 ans avait été rapatrié du Liberia à Madrid quelques jours auparavant et traité en vain avec un sérum américain expérimental qui semble avoir eu des résultats positifs sur deux Américains. Le corps du prêtre, qui avait contracté le virus au Liberia où il travaillait dans un hôpital religieux, a été incinéré sans autopsie et sa chambre désinfectée pour éviter toute propagation du virus à fort taux de mortalité et pour lequel il n'existe aucun vaccin. Le Kenya a annoncé samedi interdire l'entrée sur son territoire, à compter de mercredi, aux voyageurs venant de Guinée, du Liberia et de Sierra Leone, principaux foyers de l'épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola. Une personne qui pourrait avoir contracté le virus d'Ebola, premier cas possible en Espagne après la mort du missionnaire espagnol rapatrié à Madrid le 7 août, a été placée en isolement dans un hôpital spécialisé à Alicante, ont annoncé samedi soir les autorités sanitaires. Des examens ont été menés sur le patient mais « nous n'aurons pas les résultats avant la semaine prochaine, peut-être lundi », a précisé une source hospitalière. D'autres cas suspects ont été détectés en Espagne depuis le début de l'épidémie d'Ebola, mais aucun n'a été confirmé dans le pays. Mercredi, plusieurs centaines de personnes ont rendu hommage aux victimes du virus, lors des obsèques à Madrid du prêtre espagnol Miguel Pajares, premier mort européen de cette épidémie. Le missionnaire de 75 ans avait été rapatrié du Liberia à Madrid quelques jours auparavant et traité en vain avec un sérum américain expérimental qui semble avoir eu des résultats positifs sur deux Américains. Le corps du prêtre, qui avait contracté le virus au Liberia où il travaillait dans un hôpital religieux, a été incinéré sans autopsie et sa chambre désinfectée pour éviter toute propagation du virus à fort taux de mortalité et pour lequel il n'existe aucun vaccin. Le Kenya a annoncé samedi interdire l'entrée sur son territoire, à compter de mercredi, aux voyageurs venant de Guinée, du Liberia et de Sierra Leone, principaux foyers de l'épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola.