Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra a rencontré hier à Alger le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU et chef de la Minusma, Albert Gérard Bert Koenders, le haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel, Pierre Buyoya et le représentant spécial de la Cédéao au Mali, Aboudou Cheaka. Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra a rencontré hier à Alger le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU et chef de la Minusma, Albert Gérard Bert Koenders, le haut représentant de l'UA pour le Mali et le Sahel, Pierre Buyoya et le représentant spécial de la Cédéao au Mali, Aboudou Cheaka. La séance de travail entre le chef de la diplomatie algérienne et les représentants de l'ONU, l'UA et la CEDEAO a concerné la seconde phase du dialogue intermalien, prévue lundi à Alger. de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident). Le dialogue doit reprendre aujourd'hui pour trouver une solution globale et négociée au problème des régions au nord du Mali.La phase initiale de ce dialogue, qui avait eu lieu du 17 au 24 juillet à Alger, avait été couronnée par la signature par le gouvernement du Mali et six mouvements politico-militaires du nord de ce pays de deux documents comportant "la feuille de route pour les négociations dans le cadre du processus d'Alger" et une "déclaration de cessation des hostilités". L'Algérie, en sa qualité de chef de file de la médiation, a fixé au 1er septembre le lancement de ces négociations dans le cadre du Processus d'Alger, afin de réunir "l'ensemble des conditions susceptibles de favoriser leur tenue dans un climat serein et constructif" et ce à la demande de parties maliennes qui "ont souhaité disposer de temps suffisant pour la consolidation et le parachèvement de leurs consultations et préparations", selon le ministère des Affaires étrangères. Cette seconde phase qui consiste en un dialogue de "fond" se tiendra "dans le cadre du respect de la souveraineté de l'Etat et du peuple maliens et avec la participation d'acteurs régionaux et continentaux", avait indiqué le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra en recevant à Alger il y a quelques jours son homologue malien, M. Abdoulaye Diope. Ces pourparlers doivent déboucher sur un plan de règlement qui servira de base à l'élaboration d'un accord de paix. Concernant l'étape de la finalisation de l'accord, elle consistera principalement à mettre en forme le plan de règlement et élaborer, dans les formes juridiques convenues, "un accord de paix global et définitif". Outre l'Algérie, l'équipe de médiation comporte les Nations unies, l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE), la Communauté économique des EtatsKedeiaoEDEAO), l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, La séance de travail entre le chef de la diplomatie algérienne et les représentants de l'ONU, l'UA et la CEDEAO a concerné la seconde phase du dialogue intermalien, prévue lundi à Alger. de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident). Le dialogue doit reprendre aujourd'hui pour trouver une solution globale et négociée au problème des régions au nord du Mali.La phase initiale de ce dialogue, qui avait eu lieu du 17 au 24 juillet à Alger, avait été couronnée par la signature par le gouvernement du Mali et six mouvements politico-militaires du nord de ce pays de deux documents comportant "la feuille de route pour les négociations dans le cadre du processus d'Alger" et une "déclaration de cessation des hostilités". L'Algérie, en sa qualité de chef de file de la médiation, a fixé au 1er septembre le lancement de ces négociations dans le cadre du Processus d'Alger, afin de réunir "l'ensemble des conditions susceptibles de favoriser leur tenue dans un climat serein et constructif" et ce à la demande de parties maliennes qui "ont souhaité disposer de temps suffisant pour la consolidation et le parachèvement de leurs consultations et préparations", selon le ministère des Affaires étrangères. Cette seconde phase qui consiste en un dialogue de "fond" se tiendra "dans le cadre du respect de la souveraineté de l'Etat et du peuple maliens et avec la participation d'acteurs régionaux et continentaux", avait indiqué le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra en recevant à Alger il y a quelques jours son homologue malien, M. Abdoulaye Diope. Ces pourparlers doivent déboucher sur un plan de règlement qui servira de base à l'élaboration d'un accord de paix. Concernant l'étape de la finalisation de l'accord, elle consistera principalement à mettre en forme le plan de règlement et élaborer, dans les formes juridiques convenues, "un accord de paix global et définitif". Outre l'Algérie, l'équipe de médiation comporte les Nations unies, l'Union africaine (UA), l'Union européenne (UE), la Communauté économique des EtatsKedeiaoEDEAO), l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie,