Les 12es Rencontres cinématographiques de Béjaïa se tiendront du 7 au 13 septembre et proposeront la projection d'une quarantaine d'oeuvres cinématographiques, entre documentaires, courts et longs métrages, selon le programme dévoilé mardi à Alger par les organisateurs. Les 12es Rencontres cinématographiques de Béjaïa se tiendront du 7 au 13 septembre et proposeront la projection d'une quarantaine d'oeuvres cinématographiques, entre documentaires, courts et longs métrages, selon le programme dévoilé mardi à Alger par les organisateurs. Portée sur le court métrage et le documentaire, cette édition ne compte que cinq longs métrages de fiction dont El Wahrani (L'Oranais) de Lyes Salem qui sera projeté en ouverture de la manifestation le lendemain de son avant-première nationale à Alger. Loubia Hamra de Narimane Mari, C'est dans la boîte de Djamel Beloucif, Je ne suis pas mort du tunisien Mehdi Ben Attia et Poussière d'empire du vietnamien Lam Lé, constituent le reste des longs métrages proposés au public de la cinémathèque de Béjaïa. Deux séances seront réservées aux courtsmétrages avec la projection des dernières oeuvres algériennes dont Passage à niveau de Anis Djaâd, Iminig de Menad Embarek et Les jours d'avant de Karim Moussaoui plusieurs fois primé. Combodia 2099 du cinéaste franco-cambodgien Davy Chou, Précipices de la Tunisienne Nadia Touijer seront également projetés au public. La catégorie documentaire, la plus étoffée de ces rencontres avec 18 oeuvres au programme, verra la projection de films comme Ramallah de la réalisatrice française Flavie Pintel, Mohamed sauvé des eaux de la Libanaise Safaa Fathy, ainsi que les documentaires algériens El oued el oued (Abdennour Zahzah) et H'na Berra (Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour). Les organisateurs ont également prévu des débats après chaque projection ainsi qu'un Café-ciné pour permettre aux cinéphiles de Béjaïa de rencontrer les réalisateurs participants. Comme chaque année, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa organisent un atelier d'écriture de scénario de court métrage qui "s'ouvrira cette année sur les jeunes cinéastes maghrébins", selon les organisateurs. Crée en 2003 par l'association "Project' Heurts", cet événement a pour objectif d'offrir à la ville un rendez-vous cinématographique annuel ainsi qu'un espace de débat autour du cinéma. En dehors des Rencontres, l'association organise également un ciné-club régulier impliquant un grand nombre de lycéens, ainsi que des ateliers d'"éducation à l'image" pour apprendre à des collégiens à faire des films avec des téléphones portables. Initialement prévues au mois de juin, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa ont été reportées au mois de septembre suite au saccage de la maison de la Culture abritant le siège de l'association en avril dernier dans le sillage de la campagne électorale de l'élection présidentielle. Portée sur le court métrage et le documentaire, cette édition ne compte que cinq longs métrages de fiction dont El Wahrani (L'Oranais) de Lyes Salem qui sera projeté en ouverture de la manifestation le lendemain de son avant-première nationale à Alger. Loubia Hamra de Narimane Mari, C'est dans la boîte de Djamel Beloucif, Je ne suis pas mort du tunisien Mehdi Ben Attia et Poussière d'empire du vietnamien Lam Lé, constituent le reste des longs métrages proposés au public de la cinémathèque de Béjaïa. Deux séances seront réservées aux courtsmétrages avec la projection des dernières oeuvres algériennes dont Passage à niveau de Anis Djaâd, Iminig de Menad Embarek et Les jours d'avant de Karim Moussaoui plusieurs fois primé. Combodia 2099 du cinéaste franco-cambodgien Davy Chou, Précipices de la Tunisienne Nadia Touijer seront également projetés au public. La catégorie documentaire, la plus étoffée de ces rencontres avec 18 oeuvres au programme, verra la projection de films comme Ramallah de la réalisatrice française Flavie Pintel, Mohamed sauvé des eaux de la Libanaise Safaa Fathy, ainsi que les documentaires algériens El oued el oued (Abdennour Zahzah) et H'na Berra (Bahia Bencheikh El Fegoun et Meriem Achour). Les organisateurs ont également prévu des débats après chaque projection ainsi qu'un Café-ciné pour permettre aux cinéphiles de Béjaïa de rencontrer les réalisateurs participants. Comme chaque année, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa organisent un atelier d'écriture de scénario de court métrage qui "s'ouvrira cette année sur les jeunes cinéastes maghrébins", selon les organisateurs. Crée en 2003 par l'association "Project' Heurts", cet événement a pour objectif d'offrir à la ville un rendez-vous cinématographique annuel ainsi qu'un espace de débat autour du cinéma. En dehors des Rencontres, l'association organise également un ciné-club régulier impliquant un grand nombre de lycéens, ainsi que des ateliers d'"éducation à l'image" pour apprendre à des collégiens à faire des films avec des téléphones portables. Initialement prévues au mois de juin, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa ont été reportées au mois de septembre suite au saccage de la maison de la Culture abritant le siège de l'association en avril dernier dans le sillage de la campagne électorale de l'élection présidentielle.