C'est la rentrée scolaire. C'est aussi la rentrée pour Nouria Benghebrit, la ministre de l'Education nationale qui donnera le départ de cette nouvelle année scolaire à partir de Ghardaïa. Une région qui peine à se réconcilier avec elle-même. C'est la rentrée scolaire. C'est aussi la rentrée pour Nouria Benghebrit, la ministre de l'Education nationale qui donnera le départ de cette nouvelle année scolaire à partir de Ghardaïa. Une région qui peine à se réconcilier avec elle-même. Une région qui a connu beaucoup de perturbations au cours de l'année scolaire 2013-2014 en raison des affrontements cycliques intercommunautaires qui n'ont nullement épargnés les élèves ni les infrastructures scolaires. Quelque 8.600.000 élèves des trois paliers scolaires reprendront le chemin de l'école aujourd'hui à travers l'ensemble du territoire national. Comme chaque année en pareil période, le ministère de tutelle assure qu'il a mobilisé tous les moyens matériels et humains nécessaires en vue de garantir une rentrée scolaire normale à tous les élèves à travers le territoire national. Le chemin pour une reprise des cours a été défriaché par la ministre quelques jours avant la date fatidique. Les responsables du secteur ont annoncé que près de 150.000 enseignants et travailleurs du secteur bénéficieront, avant décembre 2014, d'une intégration et d'une promotion dans de nouveaux postes après la suppression des grades en voie de disparition. Une mesure qui ramènera le calme au moins jusqu'à la fin de l'année en cours quand on sait que les syndicats ont, tout au long de l'été, menacé de recourir à la grève si le ministère ne donne pas satisfaction à leur plateforme de revendications. Ceci pour le côté matériel. Il reste que le secteur de l'avis de tous est « sinistré ». La qualité de l'enseignement est en deçà des attentes en dépit d'une réforme entamée depuis 10 années. Une réforme dont les enseignants estiment nécessaire de « revoir un certain nombre de points relatifs à l'aspect pédagogique pour combler les lacunes enregistrées ». Unanimes, ces derniers estiment nécessaire un bilan de la réforme pour « définir les lacunes et trouver les moyens d'aller de l'avant » en réhabilitant la notion de travail dans le secteur, d'éliminer le seuil des examens qui « a fait des ravages » et enfin d'assurer un équilibre entre le volume horaire et le programme de manière à permettre aux enseignants et aux élèves de mieux souffler. C'est toute une vision globale sur lé réforme de la réforme qu'il y a lieu à opérer. Une vision globale que la ministre de l'Education nationale partage en ce en associant tous les partenaires du secteur. « Dialogue et concertation entre tous les partenaires » est le maître mot du premier responsable de l'Education nationale. Elle avait déjà appelé, lors d'un séminaire de formation, des directeurs de wilaya de l'Education, à adopter un système de bonne gouvernance à tous les niveaux de son secteur, à travers une gestion « participative» qui vise à améliorer les résultats de tous les paliers d'enseignement dans le cadre d'une Charte de déontologie. L'amélioration de la gestion au sein de l'établissement éducatif requiert la « généralisation du mode de gestion participative à tous les niveaux en sus de l'adoption d'une politique de communication avec le partenaire social », avait-elle affirmé. Elle avait également appelé à la « mise au point d'une politique de communication favorisant la concertation et le dialogue permanents avec les partenaires sociaux ». C'est donc un vaste chantier qui attend Nouria Benghebrit, « bousculée » de toutes parts par des syndicats parmi les plus revendicatifs du monde du travail, des parents d'élèves soucieux de faire bénéficier leurs progénitures d'un cursus scolaire efficient et des lois de la République qu'il faut respecter. Un écueil qu'il faut dépasser et, en premier lieu, améliorer la situation des enseignants en les dotant d'un « statut social respectable » est à même de contribuer à la réussite de du projet du renouveau du secteur de l'Education nationale. Le problème de la surcharge des classes est aussi une priorité. C'est un problème épineux vu que le nombre d'élèves par classe a atteint 45, voire 50. La suppression du seuil des cours annoncé chaque année à l'approche des examens de fin d'année. La ministre s'y attache. Une « décision courageuse qui, sans doute, rencontrera de la résistance des élèves et peut-être celle de leurs parents » estime Amraoui, précisant que les conséquences de l'application du seuil sont fâcheuses. Certains syndicats recommande « le changement des méthodes d'enseignement et l'instauration de l'approche par compétence, y compris dans le secondaire au même titre que le déroulement des examens qui doit également être revu ». Une région qui a connu beaucoup de perturbations au cours de l'année scolaire 2013-2014 en raison des affrontements cycliques intercommunautaires qui n'ont nullement épargnés les élèves ni les infrastructures scolaires. Quelque 8.600.000 élèves des trois paliers scolaires reprendront le chemin de l'école aujourd'hui à travers l'ensemble du territoire national. Comme chaque année en pareil période, le ministère de tutelle assure qu'il a mobilisé tous les moyens matériels et humains nécessaires en vue de garantir une rentrée scolaire normale à tous les élèves à travers le territoire national. Le chemin pour une reprise des cours a été défriaché par la ministre quelques jours avant la date fatidique. Les responsables du secteur ont annoncé que près de 150.000 enseignants et travailleurs du secteur bénéficieront, avant décembre 2014, d'une intégration et d'une promotion dans de nouveaux postes après la suppression des grades en voie de disparition. Une mesure qui ramènera le calme au moins jusqu'à la fin de l'année en cours quand on sait que les syndicats ont, tout au long de l'été, menacé de recourir à la grève si le ministère ne donne pas satisfaction à leur plateforme de revendications. Ceci pour le côté matériel. Il reste que le secteur de l'avis de tous est « sinistré ». La qualité de l'enseignement est en deçà des attentes en dépit d'une réforme entamée depuis 10 années. Une réforme dont les enseignants estiment nécessaire de « revoir un certain nombre de points relatifs à l'aspect pédagogique pour combler les lacunes enregistrées ». Unanimes, ces derniers estiment nécessaire un bilan de la réforme pour « définir les lacunes et trouver les moyens d'aller de l'avant » en réhabilitant la notion de travail dans le secteur, d'éliminer le seuil des examens qui « a fait des ravages » et enfin d'assurer un équilibre entre le volume horaire et le programme de manière à permettre aux enseignants et aux élèves de mieux souffler. C'est toute une vision globale sur lé réforme de la réforme qu'il y a lieu à opérer. Une vision globale que la ministre de l'Education nationale partage en ce en associant tous les partenaires du secteur. « Dialogue et concertation entre tous les partenaires » est le maître mot du premier responsable de l'Education nationale. Elle avait déjà appelé, lors d'un séminaire de formation, des directeurs de wilaya de l'Education, à adopter un système de bonne gouvernance à tous les niveaux de son secteur, à travers une gestion « participative» qui vise à améliorer les résultats de tous les paliers d'enseignement dans le cadre d'une Charte de déontologie. L'amélioration de la gestion au sein de l'établissement éducatif requiert la « généralisation du mode de gestion participative à tous les niveaux en sus de l'adoption d'une politique de communication avec le partenaire social », avait-elle affirmé. Elle avait également appelé à la « mise au point d'une politique de communication favorisant la concertation et le dialogue permanents avec les partenaires sociaux ». C'est donc un vaste chantier qui attend Nouria Benghebrit, « bousculée » de toutes parts par des syndicats parmi les plus revendicatifs du monde du travail, des parents d'élèves soucieux de faire bénéficier leurs progénitures d'un cursus scolaire efficient et des lois de la République qu'il faut respecter. Un écueil qu'il faut dépasser et, en premier lieu, améliorer la situation des enseignants en les dotant d'un « statut social respectable » est à même de contribuer à la réussite de du projet du renouveau du secteur de l'Education nationale. Le problème de la surcharge des classes est aussi une priorité. C'est un problème épineux vu que le nombre d'élèves par classe a atteint 45, voire 50. La suppression du seuil des cours annoncé chaque année à l'approche des examens de fin d'année. La ministre s'y attache. Une « décision courageuse qui, sans doute, rencontrera de la résistance des élèves et peut-être celle de leurs parents » estime Amraoui, précisant que les conséquences de l'application du seuil sont fâcheuses. Certains syndicats recommande « le changement des méthodes d'enseignement et l'instauration de l'approche par compétence, y compris dans le secondaire au même titre que le déroulement des examens qui doit également être revu ».