Les syndicats du secteur de l'Education nationale ont été unanimes à souligner hier que les efforts visant à mettre fin à la fitna que connaît la wilaya de Ghardaïa devaient être entrepris à partir de l'école en inculquant l'esprit nationaliste et le concept de l'unité nationale aux générations montantes. Les syndicats du secteur de l'Education nationale ont été unanimes à souligner hier que les efforts visant à mettre fin à la fitna que connaît la wilaya de Ghardaïa devaient être entrepris à partir de l'école en inculquant l'esprit nationaliste et le concept de l'unité nationale aux générations montantes. La majorité des syndicats accompagnant la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit dans la wilaya de Ghardaïa d'où le coup d'envoi officiel de la nouvelle rentrée scolaire (2014-2015) a été donné, ont souligné dans une déclaration à l'APS que les efforts visant à mettre fin à la fitna que connaît cette wilaya depuis un certain temps et qui a été à l'origine d'actes de violence touchant différentes catégories doivent être entrepris à partir du premier noyau de la société qui est l'école. Le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Dziri Sadek, a indiqué que le choix de la wilaya de Ghardaïa pour donner le coup d'envoi de la rentrée scolaire avait une "signification particulière" d'autant que le cours inaugural de cette année traite du thème de l'unité nationale. M. Dziri a mis en avant la nécessité de placer l'unité nationale au dessus de toute considération susceptible de la compromettre. Une "conviction" qui a conduit la majorité des syndicats de l'éducation d'exclure Ghardaïa de la dernière grève observée pour revendiquer la prise en charge des préoccupations des enseignants et des travailleurs du secteur. Abondant dans le même sens, le présidant de l'association nationale des parents d'élèves, Ahmed Khaled, a tenu a préciser que "lorsqu'il s'agit de l'unité nationale toutes les données changent et toutes les revendications sont mises de coté, la priorité étant à la consécration de la paix et de la sécurité et au renforcement de l'esprit de fraternité entre les enfants de la même nation". Dans cette optique "nous avons convenu de dispenser les établissements scolaires de la wilaya d'entre dans le mouvement de grève et nous avons donné des instructions à notre bureau de wilaya à l'effet de sensibiliser à l'importance de la préservation de l'acquis d'unité nationale et du rejet de la division", a-t-il ajouté. Le secrétaire général du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) Meziane Meriane a estimé pour sa part que la solution à la situation qui prévaut à Ghardaïa "exigeait en premier lieu une étude psychologique et sociale approfondie portant sur la nature de la région et de ses habitants réputés pour leur esprit de cohabitation". Il est revenu sur l'importance du livre scolaire qui, a-t-il soutenu, "constitue un outil efficient pour conforter l'unité nationale". Il s'agit selon, lui "d'accorder la priorité dans le choix des programmes aux ouvrages d'écrivains algériens et d'éviter les textes qui véhiculent des idéologies étrangères aux principes du citoyen algérien". De son côté le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), Abdelkrim Boudjenah, a considéré que "l'école était le noyau qui concentre les efforts à déployer pour vaincre la fitna qui sévit à Ghardaïa rappelant que sa formation oeuvrait dans ce sens depuis plus d'une année". La majorité des syndicats accompagnant la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit dans la wilaya de Ghardaïa d'où le coup d'envoi officiel de la nouvelle rentrée scolaire (2014-2015) a été donné, ont souligné dans une déclaration à l'APS que les efforts visant à mettre fin à la fitna que connaît cette wilaya depuis un certain temps et qui a été à l'origine d'actes de violence touchant différentes catégories doivent être entrepris à partir du premier noyau de la société qui est l'école. Le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Dziri Sadek, a indiqué que le choix de la wilaya de Ghardaïa pour donner le coup d'envoi de la rentrée scolaire avait une "signification particulière" d'autant que le cours inaugural de cette année traite du thème de l'unité nationale. M. Dziri a mis en avant la nécessité de placer l'unité nationale au dessus de toute considération susceptible de la compromettre. Une "conviction" qui a conduit la majorité des syndicats de l'éducation d'exclure Ghardaïa de la dernière grève observée pour revendiquer la prise en charge des préoccupations des enseignants et des travailleurs du secteur. Abondant dans le même sens, le présidant de l'association nationale des parents d'élèves, Ahmed Khaled, a tenu a préciser que "lorsqu'il s'agit de l'unité nationale toutes les données changent et toutes les revendications sont mises de coté, la priorité étant à la consécration de la paix et de la sécurité et au renforcement de l'esprit de fraternité entre les enfants de la même nation". Dans cette optique "nous avons convenu de dispenser les établissements scolaires de la wilaya d'entre dans le mouvement de grève et nous avons donné des instructions à notre bureau de wilaya à l'effet de sensibiliser à l'importance de la préservation de l'acquis d'unité nationale et du rejet de la division", a-t-il ajouté. Le secrétaire général du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) Meziane Meriane a estimé pour sa part que la solution à la situation qui prévaut à Ghardaïa "exigeait en premier lieu une étude psychologique et sociale approfondie portant sur la nature de la région et de ses habitants réputés pour leur esprit de cohabitation". Il est revenu sur l'importance du livre scolaire qui, a-t-il soutenu, "constitue un outil efficient pour conforter l'unité nationale". Il s'agit selon, lui "d'accorder la priorité dans le choix des programmes aux ouvrages d'écrivains algériens et d'éviter les textes qui véhiculent des idéologies étrangères aux principes du citoyen algérien". De son côté le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), Abdelkrim Boudjenah, a considéré que "l'école était le noyau qui concentre les efforts à déployer pour vaincre la fitna qui sévit à Ghardaïa rappelant que sa formation oeuvrait dans ce sens depuis plus d'une année".