Le gouvernement camerounais a annoncé lundi 8 septembre au soir que son armée avait tué « plus d'une centaine » de combattants de la secte islamiste nigériane Boko Haram lors d'une tentative d'incursion des insurgés en territoire camerounais. Le gouvernement camerounais a annoncé lundi 8 septembre au soir que son armée avait tué « plus d'une centaine » de combattants de la secte islamiste nigériane Boko Haram lors d'une tentative d'incursion des insurgés en territoire camerounais. L'armée camerounaise a infligé un « cinglant revers » à Boko Haram samedi dans le nord du Cameroun, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Issa Tchiroma Bakary, dans un communiqué lu sur les antennes de la radio d'Etat. Il n'était pas possible dans l'immédiat de confirmer cette information de source indépendante. Samedi, « aux environs de 13 h, deux obus ont été tirés par des unités du groupe terroriste Boko Haram sur la localité de Fotokol en territoire camerounais dans la région de l'Extrême-Nord, immédiatement frontalière de celle de Gamboru, située en territoire nigérian », affirme le communiqué. « Aucune victime n'a été enregistrée côté camerounais à la suite de cette attaque. Nos forces de défense ont vigoureusement riposté par des tirs de mortiers dirigés contre les positions tenues par les unités du groupes terroriste Boko Haram à l'origine de l'attaque », rapporte-t-il. Puissante riposte « Le bilan de la riposte camerounaise fait état de plus d'une centaine de morts dans les rangs des agresseurs, parmi lesquels se trouvent deux personnes d'origine touareg, qui ont été clairement identifiées », assure-t-il, sans plus de précision. « La puissance de la riposte camerounaise à cette attaque a été telle que les terroristes de Boko Haram ont dû reculer leurs positions à environ 7 kilomètres de la ville frontalière de Gamboru à l'intérieur du territoire nigérian », poursuit le communiqué. Seul un pont sépare la ville camerounaise de Fotokol de la localité nigériane de Gamboru Ngala, dont les combattants islamistes se sont emparés totalement le 28 août, à l'issue de plusieurs jours de combats contre les forces de sécurité et d'échanges de tirs avec l'armée camerounaise. Depuis plusieurs jours, les habitants des villes récemment conquises par Boko Haram dans le nord-est du Nigeria fuient par milliers en direction du Cameroun, pour échapper aux massacres et exactions du groupe islamiste. L'armée camerounaise a infligé un « cinglant revers » à Boko Haram samedi dans le nord du Cameroun, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Issa Tchiroma Bakary, dans un communiqué lu sur les antennes de la radio d'Etat. Il n'était pas possible dans l'immédiat de confirmer cette information de source indépendante. Samedi, « aux environs de 13 h, deux obus ont été tirés par des unités du groupe terroriste Boko Haram sur la localité de Fotokol en territoire camerounais dans la région de l'Extrême-Nord, immédiatement frontalière de celle de Gamboru, située en territoire nigérian », affirme le communiqué. « Aucune victime n'a été enregistrée côté camerounais à la suite de cette attaque. Nos forces de défense ont vigoureusement riposté par des tirs de mortiers dirigés contre les positions tenues par les unités du groupes terroriste Boko Haram à l'origine de l'attaque », rapporte-t-il. Puissante riposte « Le bilan de la riposte camerounaise fait état de plus d'une centaine de morts dans les rangs des agresseurs, parmi lesquels se trouvent deux personnes d'origine touareg, qui ont été clairement identifiées », assure-t-il, sans plus de précision. « La puissance de la riposte camerounaise à cette attaque a été telle que les terroristes de Boko Haram ont dû reculer leurs positions à environ 7 kilomètres de la ville frontalière de Gamboru à l'intérieur du territoire nigérian », poursuit le communiqué. Seul un pont sépare la ville camerounaise de Fotokol de la localité nigériane de Gamboru Ngala, dont les combattants islamistes se sont emparés totalement le 28 août, à l'issue de plusieurs jours de combats contre les forces de sécurité et d'échanges de tirs avec l'armée camerounaise. Depuis plusieurs jours, les habitants des villes récemment conquises par Boko Haram dans le nord-est du Nigeria fuient par milliers en direction du Cameroun, pour échapper aux massacres et exactions du groupe islamiste.