Le Festival culturel international de musique symphonique s'apprête à rejoindre son espace fétiche, le théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi, à partir de demain vendredi pour accueillir la sixième édition après s'être déroulé sur l'esplanade du palais de la culture Moufdi-Zakaria l'année précédente, a déclaré le commissaire du festival Abdelkder Bouazara, lors d'une conférence de presse organisée au niveau de l'INSM. Le Festival culturel international de musique symphonique s'apprête à rejoindre son espace fétiche, le théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi, à partir de demain vendredi pour accueillir la sixième édition après s'être déroulé sur l'esplanade du palais de la culture Moufdi-Zakaria l'année précédente, a déclaré le commissaire du festival Abdelkder Bouazara, lors d'une conférence de presse organisée au niveau de l'INSM. Pour le premier responsable de cet événement, cette manifestation, à chaque édition, s‘amplifie d‘expériences et de professionnalisme d‘autant plus que "ces expériences constructives ont abouti à se faire une place parmi l‘échiquier culturel international. Il est vrai que durant les soirées, un voyage mystique à chaque fois nous est offert. Ces musiciens de haut niveau vont nous faire voyager dans un univers musical sans frontières. Ils nous promettent, évasion, émotion, aussi sentiments et humanisme. Nos invités étrangers rivaliseront en talent et virtuosité avec nos musiciens nationaux", a confirmé le commissaire. Cette nouvelle édition, qui s‘étalera jusqu‘au 19 du mois en cours, comme les précédentes, verra la participation de diverses formations classiques originaires de 19 pays. Une douzaine de concerts sont au programme de ce festival qui met la Belgique à l‘honneur, cette année, à travers la participation du Septet de l‘Orchestre royal de chambre de Wallonie-Bruxelles, a indiqué Bouazzara Abdelkader, commissaire du festival. Cinq concerts donnés à Tizi-Ouzou, Sidi Bel-Abbès, Oran et Tlemcen ajouteront une touche de délocalisation régionale à ce festival algérois de naissance. La soirée d‘ouverture sera assurée par l‘Orchestre symphonique national (OSN) avec les opéras les plus populaires de Giuseppe Verdi en première partie et la symphonie numéro six de Piotr Ilitch Tchaïkovski en seconde. La soprano d‘origine malgache, Catherine Manandaza, va y interpréter les extraits du compositeur italien déjà "adoré par les foules de son temps" comme l‘a signalé mardi Amine Kouider, maestro de l‘OSN. Aux côtés de formations originaires d‘Europe où la musique symphonique est née, tels que la Russie, l‘Autriche, l‘Ukraine, la France, l‘Italie et la Tchéquie, le public pourra apprécier l‘Orchestre symphonique chinois, un duo mexicain, un quatuor japonais ainsi que les Orchestres symphoniques de Tunisie, de Syrie et d‘Egypte. Au cours de la soirée de clôture, des musiciens issus des différents ensembles interpréteront un programme varié sous la direction des maestro Mats Rondin (Suède) et Amine Kouider. Enfin cette sixième édition, est riche et dense dans les différents genres de musique symphonique. Le public sera satisfait de découvrir et apprécier un panorama de l‘art musical dans toutes ses facettes. Pour ce, le commissaire du festival n‘a pas hésité à leur faire des honneurs en déclarant que "nous sommes fiers de ce cher public que nous avons fidélisé au cours des précédentes éditions et qui vient de plus en plus nombreux Nous lui assurons un programme du même standard international", ajoute le commissaire Abdelkader Bouazara. Lancé en 2009, cette manifestation est "le lieu privilégié pour l‘échange, la symbiose et la paix entre les peuples", soulignent ses organisateurs. Créé en 1992, l‘Orchestre symphonique national a été propulsé par le regretté maestro Abdelwahab Salim, disparu le 26 novembre 1999. Composé actuellement de près de quatre-vingt musiciens, il a donne régulièrement des concerts sous la direction de maestro algérien et étrangers à Alger. Il oeuvre également à la promotion de la musique symphonique, en multipliant les tournées régionales depuis sa création. Pour le premier responsable de cet événement, cette manifestation, à chaque édition, s‘amplifie d‘expériences et de professionnalisme d‘autant plus que "ces expériences constructives ont abouti à se faire une place parmi l‘échiquier culturel international. Il est vrai que durant les soirées, un voyage mystique à chaque fois nous est offert. Ces musiciens de haut niveau vont nous faire voyager dans un univers musical sans frontières. Ils nous promettent, évasion, émotion, aussi sentiments et humanisme. Nos invités étrangers rivaliseront en talent et virtuosité avec nos musiciens nationaux", a confirmé le commissaire. Cette nouvelle édition, qui s‘étalera jusqu‘au 19 du mois en cours, comme les précédentes, verra la participation de diverses formations classiques originaires de 19 pays. Une douzaine de concerts sont au programme de ce festival qui met la Belgique à l‘honneur, cette année, à travers la participation du Septet de l‘Orchestre royal de chambre de Wallonie-Bruxelles, a indiqué Bouazzara Abdelkader, commissaire du festival. Cinq concerts donnés à Tizi-Ouzou, Sidi Bel-Abbès, Oran et Tlemcen ajouteront une touche de délocalisation régionale à ce festival algérois de naissance. La soirée d‘ouverture sera assurée par l‘Orchestre symphonique national (OSN) avec les opéras les plus populaires de Giuseppe Verdi en première partie et la symphonie numéro six de Piotr Ilitch Tchaïkovski en seconde. La soprano d‘origine malgache, Catherine Manandaza, va y interpréter les extraits du compositeur italien déjà "adoré par les foules de son temps" comme l‘a signalé mardi Amine Kouider, maestro de l‘OSN. Aux côtés de formations originaires d‘Europe où la musique symphonique est née, tels que la Russie, l‘Autriche, l‘Ukraine, la France, l‘Italie et la Tchéquie, le public pourra apprécier l‘Orchestre symphonique chinois, un duo mexicain, un quatuor japonais ainsi que les Orchestres symphoniques de Tunisie, de Syrie et d‘Egypte. Au cours de la soirée de clôture, des musiciens issus des différents ensembles interpréteront un programme varié sous la direction des maestro Mats Rondin (Suède) et Amine Kouider. Enfin cette sixième édition, est riche et dense dans les différents genres de musique symphonique. Le public sera satisfait de découvrir et apprécier un panorama de l‘art musical dans toutes ses facettes. Pour ce, le commissaire du festival n‘a pas hésité à leur faire des honneurs en déclarant que "nous sommes fiers de ce cher public que nous avons fidélisé au cours des précédentes éditions et qui vient de plus en plus nombreux Nous lui assurons un programme du même standard international", ajoute le commissaire Abdelkader Bouazara. Lancé en 2009, cette manifestation est "le lieu privilégié pour l‘échange, la symbiose et la paix entre les peuples", soulignent ses organisateurs. Créé en 1992, l‘Orchestre symphonique national a été propulsé par le regretté maestro Abdelwahab Salim, disparu le 26 novembre 1999. Composé actuellement de près de quatre-vingt musiciens, il a donne régulièrement des concerts sous la direction de maestro algérien et étrangers à Alger. Il oeuvre également à la promotion de la musique symphonique, en multipliant les tournées régionales depuis sa création.