Les ministres des Finances des pays du G20, réunis samedi en Australie pour deux jours de débats, sont "déterminés" à faire plus pour l'emploi et la croissance mondiale atone, a annoncé le pays hôte. Les ministres des Finances des pays du G20, réunis samedi en Australie pour deux jours de débats, sont "déterminés" à faire plus pour l'emploi et la croissance mondiale atone, a annoncé le pays hôte. Rassemblés à Cairns, ville de la côte est australienne, les grands argentiers et gouverneurs des banques centrales des pays du G20 doivent examiner notamment leur objectif de croissance pour les cinq prochaines années et des propositions de lutte contre l'optimisation fiscale, un thème cher à la France, représentée par le ministre des Finances, Michel Sapin. "Nous sommes déterminés à rendre le monde meilleur, à développer la croissance de l'économie mondiale, créer plus d'emplois et des emplois mieux payés, construire des infrastructures pour permettre aux enfants d'avoir une eau de meilleure qualité, une éducation et des soins médicaux", a déclaré le trésorier australien Joe Hockey, en ouvrant les débats. L'Australie assure la présidence tournante du G20, dont la réunion de Cairns sera suivie en novembre par un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement à Brisbane, autre ville de la côte est australienne. "Je n'ai aucun doute qu'après le résultat des délibérations de la réunion de ce week-end, suivie du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement à Brisbane, nous aurons l'occasion de changer le destin de l'économie mondiale", a ajouté le trésorier Hockey, équivalent d'un ministre de l'Economie et des Finances. Mais ces bonnes intentions risquent d'être compromises par la situation économique qui s'est détériorée ces derniers mois et menace l'objectif de croissance annoncé par les ministres des Finances du G20 lors d'une précédente réunion en février à Sydney. "Objectif difficile à atteindre" Les grands argentiers s'étaient alors fixé comme objectif d'augmenter la valeur du Produit intérieur brut (PIB) des pays du G20 de 2% supplémentaires d'ici à 2019, ce qui signifie accroître le PIB mondial de plus de 2.000 milliards de dollars A Cairns, le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria, a remis au G20 un projet préconisant des changements radicaux dans la réglementation fiscale internationale, afin de lutter contre les stratégies fiscales sophistiquées d'entreprises qui coûtent des milliards à la collectivité. La régulation financière et la lutte contre la corruption doivent aussi être abordés par les pays du G20. Rassemblés à Cairns, ville de la côte est australienne, les grands argentiers et gouverneurs des banques centrales des pays du G20 doivent examiner notamment leur objectif de croissance pour les cinq prochaines années et des propositions de lutte contre l'optimisation fiscale, un thème cher à la France, représentée par le ministre des Finances, Michel Sapin. "Nous sommes déterminés à rendre le monde meilleur, à développer la croissance de l'économie mondiale, créer plus d'emplois et des emplois mieux payés, construire des infrastructures pour permettre aux enfants d'avoir une eau de meilleure qualité, une éducation et des soins médicaux", a déclaré le trésorier australien Joe Hockey, en ouvrant les débats. L'Australie assure la présidence tournante du G20, dont la réunion de Cairns sera suivie en novembre par un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement à Brisbane, autre ville de la côte est australienne. "Je n'ai aucun doute qu'après le résultat des délibérations de la réunion de ce week-end, suivie du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement à Brisbane, nous aurons l'occasion de changer le destin de l'économie mondiale", a ajouté le trésorier Hockey, équivalent d'un ministre de l'Economie et des Finances. Mais ces bonnes intentions risquent d'être compromises par la situation économique qui s'est détériorée ces derniers mois et menace l'objectif de croissance annoncé par les ministres des Finances du G20 lors d'une précédente réunion en février à Sydney. "Objectif difficile à atteindre" Les grands argentiers s'étaient alors fixé comme objectif d'augmenter la valeur du Produit intérieur brut (PIB) des pays du G20 de 2% supplémentaires d'ici à 2019, ce qui signifie accroître le PIB mondial de plus de 2.000 milliards de dollars A Cairns, le secrétaire général de l'OCDE, Angel Gurria, a remis au G20 un projet préconisant des changements radicaux dans la réglementation fiscale internationale, afin de lutter contre les stratégies fiscales sophistiquées d'entreprises qui coûtent des milliards à la collectivité. La régulation financière et la lutte contre la corruption doivent aussi être abordés par les pays du G20.