Le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement vise, à travers son plan d'action, d'atteindre un taux de plus de 40 % à partir de 2016, en termes de recyclage des déchets, au lieu de 25 % pour l'année 2015, afin de réussir "le passage du statut de déchet à celui de produit", c'est ce qu'a indiqué le département ministériel. Le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'environnement vise, à travers son plan d'action, d'atteindre un taux de plus de 40 % à partir de 2016, en termes de recyclage des déchets, au lieu de 25 % pour l'année 2015, afin de réussir "le passage du statut de déchet à celui de produit", c'est ce qu'a indiqué le département ministériel. A travers le plan d'action mis en place, l'objectif est d'améliorer le recyclage matière afin de passer d'un taux de 25 % en 2015 à 40 % voir plus, à partir de 2016, rapporte l'APS. La nouvelle stratégie de gestion des déchets vise à développer une véritable "économie verte", indique la même source qui précise que l'année 2014 constitue une année charnière pour "une gestion qualitative des déchets". En effet, durant cette année une attention particulière est accordée à la collecte sélective à travers la mise en place de déchetteries et de centres de tri déjà opérationnels qui permettront à cette industrie de récupération et de valorisation des déchets de se mettre en place progressivement à l'échelle nationale. Selon le ministère de l'Environnement, cette nouvelle approche, la mieux indiquée pour résoudre, autant que faire se peut, la problématique de gestion des déchets permettra le passage de centre de coût (gestion classique des déchets) à centre de profit économique, environnemental et social. Il s'agit d'après ce département, d'exploiter un gisement qui "aura des impacts positifs sur toute la chaîne de gestion des déchets et qui génèrera des ressources et de nouveaux postes d'emploi", sachant que de par leur nature et leur composition, les déchets urbains solides constituent une matière première pour diverses activités, agricoles, industrielles et artisanales. Le ministère rappelle que des dispositifs ont été mis en place pour le développement de l'activité dont des subventions, une réforme réglementaire, la conclusion d'accords avec les industriels concernés par l'économie verte ainsi que le lancement d'actions de sensibilisation, de communication et de formation pour assurer la viabilité économique de la filière déchets. Toutefois, "l'organisation des filières de la récupération qui impliquent de nombreux acteurs publics et privés notamment pour le papier, le plastique, le verre et le métal constitue un défi", note le ministère, ajoutant que l'"extension à de nouveaux flux de déchets tels que les produits électriques et électroniques (piles et batteries), textiles, pneumatiques, est en cours". Concernant la formation, outre le travail fourni par le Conservatoire national des formations aux métiers de l'environnement , qui met à la disposition des recycleurs une expertise et un support informatif ainsi que des formations de mise à jour ou de développement de qualités, le ministère prévoit d'engager des formations de formateurs dans le domaine de l'économie verte, en partenariat avec le Programme des Nations unies de développement. A travers le plan d'action mis en place, l'objectif est d'améliorer le recyclage matière afin de passer d'un taux de 25 % en 2015 à 40 % voir plus, à partir de 2016, rapporte l'APS. La nouvelle stratégie de gestion des déchets vise à développer une véritable "économie verte", indique la même source qui précise que l'année 2014 constitue une année charnière pour "une gestion qualitative des déchets". En effet, durant cette année une attention particulière est accordée à la collecte sélective à travers la mise en place de déchetteries et de centres de tri déjà opérationnels qui permettront à cette industrie de récupération et de valorisation des déchets de se mettre en place progressivement à l'échelle nationale. Selon le ministère de l'Environnement, cette nouvelle approche, la mieux indiquée pour résoudre, autant que faire se peut, la problématique de gestion des déchets permettra le passage de centre de coût (gestion classique des déchets) à centre de profit économique, environnemental et social. Il s'agit d'après ce département, d'exploiter un gisement qui "aura des impacts positifs sur toute la chaîne de gestion des déchets et qui génèrera des ressources et de nouveaux postes d'emploi", sachant que de par leur nature et leur composition, les déchets urbains solides constituent une matière première pour diverses activités, agricoles, industrielles et artisanales. Le ministère rappelle que des dispositifs ont été mis en place pour le développement de l'activité dont des subventions, une réforme réglementaire, la conclusion d'accords avec les industriels concernés par l'économie verte ainsi que le lancement d'actions de sensibilisation, de communication et de formation pour assurer la viabilité économique de la filière déchets. Toutefois, "l'organisation des filières de la récupération qui impliquent de nombreux acteurs publics et privés notamment pour le papier, le plastique, le verre et le métal constitue un défi", note le ministère, ajoutant que l'"extension à de nouveaux flux de déchets tels que les produits électriques et électroniques (piles et batteries), textiles, pneumatiques, est en cours". Concernant la formation, outre le travail fourni par le Conservatoire national des formations aux métiers de l'environnement , qui met à la disposition des recycleurs une expertise et un support informatif ainsi que des formations de mise à jour ou de développement de qualités, le ministère prévoit d'engager des formations de formateurs dans le domaine de l'économie verte, en partenariat avec le Programme des Nations unies de développement.