Un groupe criminel, composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens), a été arrêté près de la frontière algéro-nigérienne. Un groupe criminel, composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens), a été arrêté près de la frontière algéro-nigérienne. Une opération "Tiguentourine bis" était-elle dans la feuille de route de ce groupe ? Il reste que ce groupe "multinational" avait des visées malveillantes. Sa composante et sa logistique sont révélatrices de son projet. Les tentatives d'infiltrations des terroristes à partir du territoire libyen se multiplient. Des groupes armés ou ceux versés dans le trafic en tous genres sont neutralisés par les éléments de l'Armée nationale populaire au niveau des frontières avec ce pays. Les mailles du filet dressé par les services de sécurité le long des frontières avec la Tunisie et la Libye se sont avérés très serrées pour permettre le passage et l'infiltration aux groupes armés ou des narcotrafiquants en territoire algérien. Les groupes armés ou ceux versés dans le trafic et le crime organisé ont jeté leur dévolu sur des points de la frontière situés plus au sud-est de l'Algérie c'est à dire les frontières avec le Niger où la situation sécuritaire était redevenue « calme » après le rapt des employés de Ereva, compagnie française exploitant les mines d'uranium dans ce pays. Une tentative d'infiltration opérée à partir des frontières nigériennes a échoué grâce à la vigilance des éléments de l'ANP stationnés dans cette région. L'armée algérienne annonce, lundi 6 octobre, avoir arrêté « un groupe criminel composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens) dans la zone de Tiririne » près des frontières algéro-nigériennes. Cette opération, qui s'inscrit « dans le cadre de la lutte contre la contrebande et le crime organisé », a « permis de saisir deux véhicules tout-terrains et six motos », précise le communiqué du ministère de la Défense nationale. Quelques jours plus tôt, lundi 28 septembre, le ministère de la Défense avait annoncé l'arrestation de 35 personnes de nationalité algérienne et 7 autres de nationalité malienne à Bordj Badji Mokhtar, près de la frontière malienne. Les groupes d'individus arrêtés ont été qualifiés par l'ANP de groupes « criminels » que l'on peut comprendre des groupes prêts à tout sachant la connexion qui existe entre groupes terroristes et narcotrafiquants quand ce n'est pas un même groupe qui s'autofinance en liant les deux activités criminelles. Est-ce une tentative d'infiltration d'éléments du Daech ? Il est trop tôt pour le dire ! La composante du groupe arrêté dans la zone de Tiririne et la logistique qu'ils ont utilisée pour tenter de passer les frontières du groupe arrêté dans la zone de Tiririne permet de le penser. Comme il est permis de penser que le Niger « abrite » des bases arrières de groupes armés en veille et qui n'ont pas encore prêté allégeance à la nébuleuse Daech qui déploie ses tentacules à travers les pays subsahariens et en Lybie, pays devenu incontrôlable où les institutions sont en faillite et où règnent en maître les milices de divers horizons idéologiques. Il est aussi permis de penser que le groupe projetait de perpétrer des actions malveillantes en territoire algérien, une opération à forte résonance médiatique, type Tiguentourine pour « crédibiliser » l'implantation de ce mouvement en Algérie. Ce qui se passe en Libye le confirme. Selon plusieurs médias libyens, des terroristes des groupes armés basés dans la ville libyenne de Derna, dont Ansar Charia (Tunisie) ont fait, avant-hier lundi, une démonstration de force à travers un défilé militaire couronné par l'allégeance à l'Etat Islamique (EI) ou Daech, rapportent plusieurs médias libyens. Les partisans d'Ansar Charia, ainsi que ceux des autres groupes armés de la nébuleuse terroriste, se sont rassemblés, lundi, à la place Sahaba, à Derna, pour annoncer leur ralliement à Daech. Cette annonce a été faite au terme d'un défilé militaire et d'un cortège de véhicules portant le logo « Police de l'islam », l'objectif étant de montrer la force des milices islamistes armées et d'impressionner les habitants. Selon ces mêmes médias, la ville côtière de Derna compte plusieurs camps d'entraînement des djihadistes, qui sont ensuite envoyés en Irak, Syrie et vers d'autres fronts du djihad. Le Tunisien Seifallah Ben Hassin, alias Abou Iyadh, chef de l'organisation terroriste Ansar Charia, ainsi que d'autres individus recherchés pour des attentats et des assassinats en Tunisie, se trouvent actuellement à Derna. Il faut savoir que selon diverses sources, plus de 3.000 soldats supplémentaires auraient été dépêchés au niveau des frontières avec la Tunisie et la Libye, suite aux informations faisant état de projets d'attaques terroristes contre des cibles stratégiques du pays, notamment les champs pétroliers dans le Grand Sud algérien. Est-ce pour desserrer la pression sur le « front » de la frontière algérotunisienne que ce groupe a tenté de s'infiltrer en territoire algérien ? Est-ce une tentative de diversion à la faveur d'une opération en territoire algérien pour attirer plus de soldats de l'ANP dans la zone frontalière algéro-nigérienne et donner ainsi un répit aux djihadistes dans les monts tunisiens qui longent la frontière algérienne, traqués par l'armée tunisienne ? Toutes les suppositions sont permises à la lumière de la décision du Daech de s'attaquer aux citoyens de tous les pays qui ont formé la coalition internationale mise en place pour combattre le Daech en Irak et en Syrie. Une opération "Tiguentourine bis" était-elle dans la feuille de route de ce groupe ? Il reste que ce groupe "multinational" avait des visées malveillantes. Sa composante et sa logistique sont révélatrices de son projet. Les tentatives d'infiltrations des terroristes à partir du territoire libyen se multiplient. Des groupes armés ou ceux versés dans le trafic en tous genres sont neutralisés par les éléments de l'Armée nationale populaire au niveau des frontières avec ce pays. Les mailles du filet dressé par les services de sécurité le long des frontières avec la Tunisie et la Libye se sont avérés très serrées pour permettre le passage et l'infiltration aux groupes armés ou des narcotrafiquants en territoire algérien. Les groupes armés ou ceux versés dans le trafic et le crime organisé ont jeté leur dévolu sur des points de la frontière situés plus au sud-est de l'Algérie c'est à dire les frontières avec le Niger où la situation sécuritaire était redevenue « calme » après le rapt des employés de Ereva, compagnie française exploitant les mines d'uranium dans ce pays. Une tentative d'infiltration opérée à partir des frontières nigériennes a échoué grâce à la vigilance des éléments de l'ANP stationnés dans cette région. L'armée algérienne annonce, lundi 6 octobre, avoir arrêté « un groupe criminel composé de vingt personnes de nationalités étrangères (12 Soudanais et 8 Tchadiens) dans la zone de Tiririne » près des frontières algéro-nigériennes. Cette opération, qui s'inscrit « dans le cadre de la lutte contre la contrebande et le crime organisé », a « permis de saisir deux véhicules tout-terrains et six motos », précise le communiqué du ministère de la Défense nationale. Quelques jours plus tôt, lundi 28 septembre, le ministère de la Défense avait annoncé l'arrestation de 35 personnes de nationalité algérienne et 7 autres de nationalité malienne à Bordj Badji Mokhtar, près de la frontière malienne. Les groupes d'individus arrêtés ont été qualifiés par l'ANP de groupes « criminels » que l'on peut comprendre des groupes prêts à tout sachant la connexion qui existe entre groupes terroristes et narcotrafiquants quand ce n'est pas un même groupe qui s'autofinance en liant les deux activités criminelles. Est-ce une tentative d'infiltration d'éléments du Daech ? Il est trop tôt pour le dire ! La composante du groupe arrêté dans la zone de Tiririne et la logistique qu'ils ont utilisée pour tenter de passer les frontières du groupe arrêté dans la zone de Tiririne permet de le penser. Comme il est permis de penser que le Niger « abrite » des bases arrières de groupes armés en veille et qui n'ont pas encore prêté allégeance à la nébuleuse Daech qui déploie ses tentacules à travers les pays subsahariens et en Lybie, pays devenu incontrôlable où les institutions sont en faillite et où règnent en maître les milices de divers horizons idéologiques. Il est aussi permis de penser que le groupe projetait de perpétrer des actions malveillantes en territoire algérien, une opération à forte résonance médiatique, type Tiguentourine pour « crédibiliser » l'implantation de ce mouvement en Algérie. Ce qui se passe en Libye le confirme. Selon plusieurs médias libyens, des terroristes des groupes armés basés dans la ville libyenne de Derna, dont Ansar Charia (Tunisie) ont fait, avant-hier lundi, une démonstration de force à travers un défilé militaire couronné par l'allégeance à l'Etat Islamique (EI) ou Daech, rapportent plusieurs médias libyens. Les partisans d'Ansar Charia, ainsi que ceux des autres groupes armés de la nébuleuse terroriste, se sont rassemblés, lundi, à la place Sahaba, à Derna, pour annoncer leur ralliement à Daech. Cette annonce a été faite au terme d'un défilé militaire et d'un cortège de véhicules portant le logo « Police de l'islam », l'objectif étant de montrer la force des milices islamistes armées et d'impressionner les habitants. Selon ces mêmes médias, la ville côtière de Derna compte plusieurs camps d'entraînement des djihadistes, qui sont ensuite envoyés en Irak, Syrie et vers d'autres fronts du djihad. Le Tunisien Seifallah Ben Hassin, alias Abou Iyadh, chef de l'organisation terroriste Ansar Charia, ainsi que d'autres individus recherchés pour des attentats et des assassinats en Tunisie, se trouvent actuellement à Derna. Il faut savoir que selon diverses sources, plus de 3.000 soldats supplémentaires auraient été dépêchés au niveau des frontières avec la Tunisie et la Libye, suite aux informations faisant état de projets d'attaques terroristes contre des cibles stratégiques du pays, notamment les champs pétroliers dans le Grand Sud algérien. Est-ce pour desserrer la pression sur le « front » de la frontière algérotunisienne que ce groupe a tenté de s'infiltrer en territoire algérien ? Est-ce une tentative de diversion à la faveur d'une opération en territoire algérien pour attirer plus de soldats de l'ANP dans la zone frontalière algéro-nigérienne et donner ainsi un répit aux djihadistes dans les monts tunisiens qui longent la frontière algérienne, traqués par l'armée tunisienne ? Toutes les suppositions sont permises à la lumière de la décision du Daech de s'attaquer aux citoyens de tous les pays qui ont formé la coalition internationale mise en place pour combattre le Daech en Irak et en Syrie.