Un jeune Algérien, employé dans une grosse société nationale, détenteur d'un visa en bonne et due forme se faisait une joie mardi 8 octobre 2014 de partir à la découverte de Paris et de ses lumières pour trois jours seulement puis de se rendre chez sa tante paternelle à Toulouse... Un jeune Algérien, employé dans une grosse société nationale, détenteur d'un visa en bonne et due forme se faisait une joie mardi 8 octobre 2014 de partir à la découverte de Paris et de ses lumières pour trois jours seulement puis de se rendre chez sa tante paternelle à Toulouse... Billet en poche il atterrit à Orly où il se présente aux guichets de la police des airs et frontières. Là, son enthousiasme se transformera en cauchemar. Après avoir présenté son passeport, on lui demandera de présenter les documents qui ont servi à la demande de visa, jusque-là tout est normal car sur l'imprimé il est bien expliqué que les services de la PAF sont en droit de demander les documents justificatifs qui ont servi à la demande de visa. Le couac s'est situé au niveau de la réservation qui n'était que pour trois jours alors que le billet de retour mentionnait la date du 24 octobre. L'intéressé a expliqué qu'il voulait rester trois jours sur Paris puis devait se rendre à Toulouse chez sa tante paternelle. Niet pour les autorités de l'aéroport d'Orly qui avait déjà en tête de le refouler. Ces dernières pour se donner bonne conscience lui ont demandé de produire une nouvelle réservation tout en demandant de signer un papier dans lequel il était stipulé qu'il prenait connaissance de son expulsion à 18 h. Ce n'est pas le règlement que l'on conteste loin s'en faut, mais c'est la manière arrogante de ce « black pafiste » que l'on remet en cause car tout voyageur a droit au respect de la dignité humaine. Le jeune en question, que les services de la PAF ont sans doute assimilé à un Mohamed Merah en puissance, a téléphoné à sa famille qui a tout de suite contacté l'hôtel où il avait réservé initialement. Mais c'était peine perdue car il ne lui a pas été possible d'avoir un numéro de fax ! La Paf n'a pas daigné communiquer un numéro où il aurait pu recevoir ce sésame, pis, on lui a intimé l'ordre de ne pas adresser la parole aux agents de la Paf en s'adressant à lui à la deuxième personne du singulier : « Ne me parle pas » sans oublier la fouille minutieuse au corps. Dès lors, le jeune a été pratiquement « assigné à résidence surveillée » dans l'enceinte de l'aéroport dans une petite pièce de 10 h du matin jusqu'à 18 h. Il ne manquait plus que l'étiquette : « Cet homme est dangereux » Epuisé d'être resté sur une chaise, il aurait demandé à boire un peu d'eau sur quoi on lui aurait rétorqué qu'il n'avait qu'à boire l'eau du robinet des toilettes. Une attitude avilissante pour ce jeune Algérien qui aura goûté, bien malgré lui, au plat du racisme latent de la France. Des attitudes, le moins qu'on puisse dire, qui feraient le lit d'un futur djihadiste. Des djihadistes pardonnez-moi que la France enfante, pas l'Algérie ! La France sous le régime socialiste ne vaut pas mieux que celle sous l'UMP. Elle a tout du Front national. En conclusion la PAF a mis sa menace à exécution et le jeune, pourtant bon chic bon genre, s'est vu reconduire manu militari, encadré comme un malpropre par deux policiers, sans esclandre dans l'avion qui le ramenait en Algérie. PITOYABLE ! Oui Messieurs de la Paf vous êtes pitoyables de mettre tout le monde dans le même panier et vous confondez « vitesse et précipitation ». Billet en poche il atterrit à Orly où il se présente aux guichets de la police des airs et frontières. Là, son enthousiasme se transformera en cauchemar. Après avoir présenté son passeport, on lui demandera de présenter les documents qui ont servi à la demande de visa, jusque-là tout est normal car sur l'imprimé il est bien expliqué que les services de la PAF sont en droit de demander les documents justificatifs qui ont servi à la demande de visa. Le couac s'est situé au niveau de la réservation qui n'était que pour trois jours alors que le billet de retour mentionnait la date du 24 octobre. L'intéressé a expliqué qu'il voulait rester trois jours sur Paris puis devait se rendre à Toulouse chez sa tante paternelle. Niet pour les autorités de l'aéroport d'Orly qui avait déjà en tête de le refouler. Ces dernières pour se donner bonne conscience lui ont demandé de produire une nouvelle réservation tout en demandant de signer un papier dans lequel il était stipulé qu'il prenait connaissance de son expulsion à 18 h. Ce n'est pas le règlement que l'on conteste loin s'en faut, mais c'est la manière arrogante de ce « black pafiste » que l'on remet en cause car tout voyageur a droit au respect de la dignité humaine. Le jeune en question, que les services de la PAF ont sans doute assimilé à un Mohamed Merah en puissance, a téléphoné à sa famille qui a tout de suite contacté l'hôtel où il avait réservé initialement. Mais c'était peine perdue car il ne lui a pas été possible d'avoir un numéro de fax ! La Paf n'a pas daigné communiquer un numéro où il aurait pu recevoir ce sésame, pis, on lui a intimé l'ordre de ne pas adresser la parole aux agents de la Paf en s'adressant à lui à la deuxième personne du singulier : « Ne me parle pas » sans oublier la fouille minutieuse au corps. Dès lors, le jeune a été pratiquement « assigné à résidence surveillée » dans l'enceinte de l'aéroport dans une petite pièce de 10 h du matin jusqu'à 18 h. Il ne manquait plus que l'étiquette : « Cet homme est dangereux » Epuisé d'être resté sur une chaise, il aurait demandé à boire un peu d'eau sur quoi on lui aurait rétorqué qu'il n'avait qu'à boire l'eau du robinet des toilettes. Une attitude avilissante pour ce jeune Algérien qui aura goûté, bien malgré lui, au plat du racisme latent de la France. Des attitudes, le moins qu'on puisse dire, qui feraient le lit d'un futur djihadiste. Des djihadistes pardonnez-moi que la France enfante, pas l'Algérie ! La France sous le régime socialiste ne vaut pas mieux que celle sous l'UMP. Elle a tout du Front national. En conclusion la PAF a mis sa menace à exécution et le jeune, pourtant bon chic bon genre, s'est vu reconduire manu militari, encadré comme un malpropre par deux policiers, sans esclandre dans l'avion qui le ramenait en Algérie. PITOYABLE ! Oui Messieurs de la Paf vous êtes pitoyables de mettre tout le monde dans le même panier et vous confondez « vitesse et précipitation ».