Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a appelé, à Paris, à un partenariat algéro-français "novateur et équilibré" ainsi qu'à des relations "respectueuses des attentes réciproques". Le ministre de l'Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a appelé, à Paris, à un partenariat algéro-français "novateur et équilibré" ainsi qu'à des relations "respectueuses des attentes réciproques". "Il est nécessaire de porter nos relations économiques à un niveau qualitatif supérieur, dépassant les simples relations commerciales pour faire émerger un partenariat de type nouveau ouvrant des perspectives stratégiques inédites à nos entreprises", a préconisé le ministre lors du colloque tenu dans la capitale française sur le thème "Algérie-France: quel avenir industriel commun ?" Bouchouareb a expliqué qu'à la faveur d'un partenariat qui agira fortement sur la compétitivité des systèmes industriels des deux pays, "la France bénéficiera de l'expérience algérienne dans le domaine énergétique et de l'expertise industrielle, de son potentiel en ressources énergétiques ainsi que du dynamisme de son marché". Il a également soutenu que grâce à "un partenariat stratégique avec la France dont l'excellence technologique est reconnue, l'industrie algérienne pourra donner une impulsion décisive à son développement industriel et technologique". Plus concrètement, il a rappelé qu'entre l'Algérie et la France, des "projets sont en cours dans le domaine de la construction d'embarcations de pêche, tandis que dans les secteurs des industries manufacturières, de mécanique, électrique et de la construction, plusieurs autres projets sont en maturation". La formation a aussi été évoquée par M. Bouchouareb qui n'a pas manqué de noter le projet de création de quatre grandes écoles en partenariat avec de "prestigieuses" institutions universitaires françaises. En fait, il a évoqué la "riche expérience" de partenariat industriel avec la France que l'Algérie veut approfondir pour ouvrir des perspectives stratégiques fortes pour les entreprises des deux pays. Devant les hommes d'affaires des deux pays, le ministre a exprimé sa satisfaction pour le projet de construction automobile avec le groupe Renault, estimant qu'il ouvre des perspectives réelles de développement industriel et technologique dans ce domaine et celui de la sous-traitance en Algérie. Il a encouragé, en outre, les entreprises françaises du secteur du BTP à porter leur intérêt pour le marché algérien "très porteur", notamment en construisant des partenariats stratégiques avec leurs homologues algériennes. Rappelant que l'Algérie a engagé d'importantes réformes pour relancer son développement industriel, il a expliqué que cette démarche vise à moderniser le tissu industriel, à encourager la production nationale, à agir en profondeur sur la gouvernance des entreprises et à la mise en place des instruments et modes de financements adéquats pour soutenir l'investissement. S'agissant du foncier industriel, le ministre a relevé que l'Algérie était en train de mettre au point les dispositions nécessaires pour apporter toutes les facilités aux investisseurs en ce sens. Qualifiant la PME de l'élément le "plus dynamique" dans toute stratégie industrielle, M. Bouchouareb a fait part de la révision de la loi d'orientation de la PME et d'une réforme des agences chargées de soutenir les PME, l'ANDPME et l'ANDI afin de stimuler la compétitivité des PME. L'amélioration du climat des affaires a été l'autre point relevé par M.Bouchouareb qui l'a considéré comme "un objectif d'importance" dont l'Algérie prend toute la mesure et pour lequel les pouvoirs publics "sont résolus à agir efficacement". D'autre part, il a affirmé que le gouvernement algérien avait engagé la réforme du Code des investissements qui est une "pièce maîtresse" perçue comme un "levier de repeuplement industriel". Il a, toutefois, souligné que le principe du 51/49 % n'était pas remis en cause mais élargi au commerce de gros et de détail et qu'il était inutile de le faire figurer dans le Code des investissements mais qu'il serait pris en charge dans le cadre de la réglementation des activités. L'Algérie et la France ont convenu d'un commun accord de tenir la réunion de la Haute commission mixte de coopération bilatérale le 4 décembre prochain à Paris. "Il est nécessaire de porter nos relations économiques à un niveau qualitatif supérieur, dépassant les simples relations commerciales pour faire émerger un partenariat de type nouveau ouvrant des perspectives stratégiques inédites à nos entreprises", a préconisé le ministre lors du colloque tenu dans la capitale française sur le thème "Algérie-France: quel avenir industriel commun ?" Bouchouareb a expliqué qu'à la faveur d'un partenariat qui agira fortement sur la compétitivité des systèmes industriels des deux pays, "la France bénéficiera de l'expérience algérienne dans le domaine énergétique et de l'expertise industrielle, de son potentiel en ressources énergétiques ainsi que du dynamisme de son marché". Il a également soutenu que grâce à "un partenariat stratégique avec la France dont l'excellence technologique est reconnue, l'industrie algérienne pourra donner une impulsion décisive à son développement industriel et technologique". Plus concrètement, il a rappelé qu'entre l'Algérie et la France, des "projets sont en cours dans le domaine de la construction d'embarcations de pêche, tandis que dans les secteurs des industries manufacturières, de mécanique, électrique et de la construction, plusieurs autres projets sont en maturation". La formation a aussi été évoquée par M. Bouchouareb qui n'a pas manqué de noter le projet de création de quatre grandes écoles en partenariat avec de "prestigieuses" institutions universitaires françaises. En fait, il a évoqué la "riche expérience" de partenariat industriel avec la France que l'Algérie veut approfondir pour ouvrir des perspectives stratégiques fortes pour les entreprises des deux pays. Devant les hommes d'affaires des deux pays, le ministre a exprimé sa satisfaction pour le projet de construction automobile avec le groupe Renault, estimant qu'il ouvre des perspectives réelles de développement industriel et technologique dans ce domaine et celui de la sous-traitance en Algérie. Il a encouragé, en outre, les entreprises françaises du secteur du BTP à porter leur intérêt pour le marché algérien "très porteur", notamment en construisant des partenariats stratégiques avec leurs homologues algériennes. Rappelant que l'Algérie a engagé d'importantes réformes pour relancer son développement industriel, il a expliqué que cette démarche vise à moderniser le tissu industriel, à encourager la production nationale, à agir en profondeur sur la gouvernance des entreprises et à la mise en place des instruments et modes de financements adéquats pour soutenir l'investissement. S'agissant du foncier industriel, le ministre a relevé que l'Algérie était en train de mettre au point les dispositions nécessaires pour apporter toutes les facilités aux investisseurs en ce sens. Qualifiant la PME de l'élément le "plus dynamique" dans toute stratégie industrielle, M. Bouchouareb a fait part de la révision de la loi d'orientation de la PME et d'une réforme des agences chargées de soutenir les PME, l'ANDPME et l'ANDI afin de stimuler la compétitivité des PME. L'amélioration du climat des affaires a été l'autre point relevé par M.Bouchouareb qui l'a considéré comme "un objectif d'importance" dont l'Algérie prend toute la mesure et pour lequel les pouvoirs publics "sont résolus à agir efficacement". D'autre part, il a affirmé que le gouvernement algérien avait engagé la réforme du Code des investissements qui est une "pièce maîtresse" perçue comme un "levier de repeuplement industriel". Il a, toutefois, souligné que le principe du 51/49 % n'était pas remis en cause mais élargi au commerce de gros et de détail et qu'il était inutile de le faire figurer dans le Code des investissements mais qu'il serait pris en charge dans le cadre de la réglementation des activités. L'Algérie et la France ont convenu d'un commun accord de tenir la réunion de la Haute commission mixte de coopération bilatérale le 4 décembre prochain à Paris.