Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a annoncé, dimanche soir à Oran, que les premières cartes nationales de journaliste professionnel seront remises à leurs bénéficiaires "ce 22 octobre", date coïncidant avec la journée nationale de la presse, décrétée en mai 2013 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a annoncé, dimanche soir à Oran, que les premières cartes nationales de journaliste professionnel seront remises à leurs bénéficiaires "ce 22 octobre", date coïncidant avec la journée nationale de la presse, décrétée en mai 2013 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le ministre a indiqué, en marge d'une visite dans la wilaya d'Oran, que la remise de ces premières cartes, au nombre de dix, "est une grande victoire pour le secteur de la presse et de la communication". Il a estimé que pour mettre en place l'autorité de régulation et le conseil de déontologie, il est nécessaire de recenser tous les journalistes et de distinguer celui qui est professionnel de celui qui ne l'est pas. "Nous comptons actuellement près de 4.000 journalistes", a-t-il précisé. Dans ce sens, Hamid Grine a expliqué qu'après le recensement des journalistes, il sera procédé à l'élection des membres de l'Autorité de régulation de la presse comprenant 7 membres élus par les journalistes et 7 autres membres désignés par les autorités. "Par contre, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel est composé de 9 membres dont 7 désignés par le président de la République", a-t-il rappelé. Evoquant la situation socioprofessionnelle des journalistes relevant de la presse privée, le ministre a estimé que "la première démarche à entreprendre par cette corporation est d'obtenir la carte nationale de journaliste professionnel". Avec ce document, "le journaliste pourra défendre ses intérêts", a-t-il souligné, ajoutant qu'il ne peut s'ingérer dans la gestion de ces journaux. "Pour défendre la dignité de la corporation, nous avons demandé aux responsables de ces titres d'octroyer des salaires qui respectent la dignité des journalistes", a encore précisé le ministre. Sur un autre chapitre, Grine a indiqué que les créances détenues sur les titres de presse doivent impérativement être recouvrées. "Il faut récupérer les créances qui sont détenues sur les titres de presse en leur établissant un échéancier de un à deux ans pour pouvoir équilibrer les comptes de gestion de l'entreprise", a-t-il instruit le directeur général de la société d'impression d'Oran (SIO), lors de sa visite du siège de cette société détenue en totalité par l'Etat. La SIO, qui assure l'impression de 55 quotidiens d'information et de 14 hebdomadaires, détient près de 800 millions DA de créances, a indiqué son directeur général, Mohamed Abdelkader. Pour ce qui est du problème du brouillage et des interférences des fréquences que connaissent les radios locales, notamment celles des régions frontalières, le ministre a indiqué qu'il "sera réglé en 2016" . Dans une déclaration à la presse, en marge de sa visite de travail dans la wilaya d'Oran, Hamid Grine a assuré que "les moyens sont disponibles et qu'une nouvelle stratégie a été élaborée pour régler définitivement ce problème en 2016". Concernant le nouveau siège de la radio d'Oran, dont le chantier a été lancé en 2013, le ministre a indiqué que cette infrastructure sera prête "au plus tard en juin prochain". Selon les explications données sur place, le nouveau siège occupera une superficie de 6.715 mètres carrés et disposera de nombreuses infrastructures dont une salle de conférences de 125 places, des salles de rédaction et de production, des archives ainsi que trois studios dotés d'équipements sophistiqués. A la station régionale de la télévision nationale, le ministre a visité plusieurs infrastructures dont l'ancien studio, construit en 1963, ainsi que la régie de contrôle. Il s'est informé des conditions de travail à la radio locale, de sa grille des programmes visant notamment à mettre en exergue les spécificités de la région et les efforts de développement socio-économique local . Le ministre a indiqué, en marge d'une visite dans la wilaya d'Oran, que la remise de ces premières cartes, au nombre de dix, "est une grande victoire pour le secteur de la presse et de la communication". Il a estimé que pour mettre en place l'autorité de régulation et le conseil de déontologie, il est nécessaire de recenser tous les journalistes et de distinguer celui qui est professionnel de celui qui ne l'est pas. "Nous comptons actuellement près de 4.000 journalistes", a-t-il précisé. Dans ce sens, Hamid Grine a expliqué qu'après le recensement des journalistes, il sera procédé à l'élection des membres de l'Autorité de régulation de la presse comprenant 7 membres élus par les journalistes et 7 autres membres désignés par les autorités. "Par contre, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel est composé de 9 membres dont 7 désignés par le président de la République", a-t-il rappelé. Evoquant la situation socioprofessionnelle des journalistes relevant de la presse privée, le ministre a estimé que "la première démarche à entreprendre par cette corporation est d'obtenir la carte nationale de journaliste professionnel". Avec ce document, "le journaliste pourra défendre ses intérêts", a-t-il souligné, ajoutant qu'il ne peut s'ingérer dans la gestion de ces journaux. "Pour défendre la dignité de la corporation, nous avons demandé aux responsables de ces titres d'octroyer des salaires qui respectent la dignité des journalistes", a encore précisé le ministre. Sur un autre chapitre, Grine a indiqué que les créances détenues sur les titres de presse doivent impérativement être recouvrées. "Il faut récupérer les créances qui sont détenues sur les titres de presse en leur établissant un échéancier de un à deux ans pour pouvoir équilibrer les comptes de gestion de l'entreprise", a-t-il instruit le directeur général de la société d'impression d'Oran (SIO), lors de sa visite du siège de cette société détenue en totalité par l'Etat. La SIO, qui assure l'impression de 55 quotidiens d'information et de 14 hebdomadaires, détient près de 800 millions DA de créances, a indiqué son directeur général, Mohamed Abdelkader. Pour ce qui est du problème du brouillage et des interférences des fréquences que connaissent les radios locales, notamment celles des régions frontalières, le ministre a indiqué qu'il "sera réglé en 2016" . Dans une déclaration à la presse, en marge de sa visite de travail dans la wilaya d'Oran, Hamid Grine a assuré que "les moyens sont disponibles et qu'une nouvelle stratégie a été élaborée pour régler définitivement ce problème en 2016". Concernant le nouveau siège de la radio d'Oran, dont le chantier a été lancé en 2013, le ministre a indiqué que cette infrastructure sera prête "au plus tard en juin prochain". Selon les explications données sur place, le nouveau siège occupera une superficie de 6.715 mètres carrés et disposera de nombreuses infrastructures dont une salle de conférences de 125 places, des salles de rédaction et de production, des archives ainsi que trois studios dotés d'équipements sophistiqués. A la station régionale de la télévision nationale, le ministre a visité plusieurs infrastructures dont l'ancien studio, construit en 1963, ainsi que la régie de contrôle. Il s'est informé des conditions de travail à la radio locale, de sa grille des programmes visant notamment à mettre en exergue les spécificités de la région et les efforts de développement socio-économique local .