Dans une communication adressée à la presse nationale, la direction générale de la protection civile dément les informations faisant allusion à un mouvement de protestation de ses éléments durant la première semaine du mois de novembre. Dans une communication adressée à la presse nationale, la direction générale de la protection civile dément les informations faisant allusion à un mouvement de protestation de ses éléments durant la première semaine du mois de novembre. La protection civile crie au complot et à la manipulation et appelle ses éléments à la vigilance. la DGPC précise que le document déposé auprès de quelques journaux "par le dénommé Tchikou Mourad, ne représente pas le corps. (...) Le sus-nommé fait l'objet d'une décision de suspension depuis 2004 en raison de plusieurs affaires pendantes auprès des instances judiciaires, dont une auprès de la Cour suprême, cela après avoir comparu devant les commissions paritaires compétentes de la protection civile. L'intéressé se revendique comme président du bureau national du syndicat Snapap alors que ce dernier n'a jamais existé dans les rangs de la protection civile en tant que partenaire social", ajoute le document confirmant que "depuis les années 2003 et 2004, l'administration a fait montre d'ouverture à l'égard de la représentation syndicale au sein de la protection civile. L'UGTA qui a pu réunir une représentativité suffisante à travers le territoire national est le seul partenaire social de la Protection civile. Ledit représentant de la Snapap au regard du droit syndical n'a jamais pu réunir les conditions édictées par la réglementation régissant l'activité syndicale". La DGPC tient aussi à signaler à titre d'exemple, qu'il "ne dispose d'aucune structure ou bureau, ni de représentativité. L'intéressé n'a jamais pu recueillir d'adhésions au niveau national et aucune liste d'adhérents à son syndicat n'a à ce jour été déposée". La DGPC précise que "la représentation syndicale auprès de la protection civile a pris l'initiative à travers son bureau national d'appeler l'ensemble de ses adhérents sur les 48 wilayas à la vigilance contre toute manipulation visant la déstabilisation de l'institution de la protection civile". Par ailleurs, "le dialogue a toujours été maintenu ouvert avec le partenaire social à travers des réunions périodiques avec les délégués syndicaux aux niveaux central et local dans le respect des lois et règlements", précise le communiqué. La protection civile crie au complot et à la manipulation et appelle ses éléments à la vigilance. la DGPC précise que le document déposé auprès de quelques journaux "par le dénommé Tchikou Mourad, ne représente pas le corps. (...) Le sus-nommé fait l'objet d'une décision de suspension depuis 2004 en raison de plusieurs affaires pendantes auprès des instances judiciaires, dont une auprès de la Cour suprême, cela après avoir comparu devant les commissions paritaires compétentes de la protection civile. L'intéressé se revendique comme président du bureau national du syndicat Snapap alors que ce dernier n'a jamais existé dans les rangs de la protection civile en tant que partenaire social", ajoute le document confirmant que "depuis les années 2003 et 2004, l'administration a fait montre d'ouverture à l'égard de la représentation syndicale au sein de la protection civile. L'UGTA qui a pu réunir une représentativité suffisante à travers le territoire national est le seul partenaire social de la Protection civile. Ledit représentant de la Snapap au regard du droit syndical n'a jamais pu réunir les conditions édictées par la réglementation régissant l'activité syndicale". La DGPC tient aussi à signaler à titre d'exemple, qu'il "ne dispose d'aucune structure ou bureau, ni de représentativité. L'intéressé n'a jamais pu recueillir d'adhésions au niveau national et aucune liste d'adhérents à son syndicat n'a à ce jour été déposée". La DGPC précise que "la représentation syndicale auprès de la protection civile a pris l'initiative à travers son bureau national d'appeler l'ensemble de ses adhérents sur les 48 wilayas à la vigilance contre toute manipulation visant la déstabilisation de l'institution de la protection civile". Par ailleurs, "le dialogue a toujours été maintenu ouvert avec le partenaire social à travers des réunions périodiques avec les délégués syndicaux aux niveaux central et local dans le respect des lois et règlements", précise le communiqué.