Un projet de décret fixant les seuils d'utilisation des contaminants tolérés dans les denrées alimentaires a été élaboré par le ministère du Commerce pour réduire les proportions de ces résidus nocifs à la santé des consommateurs, selon un haut responsable de ce ministère. Un projet de décret fixant les seuils d'utilisation des contaminants tolérés dans les denrées alimentaires a été élaboré par le ministère du Commerce pour réduire les proportions de ces résidus nocifs à la santé des consommateurs, selon un haut responsable de ce ministère. Ce nouveau texte, soumis au gouvernement pour approbation, fixe les listes de substances qui vont faire l'objet de réduction, voire d'interdiction de leur utilisation dans les produits destinés à la consommation, indique la même source. En application de ce dispositif, deux listes seront élaborées : la première fixera les limites maximales de résidus (LMR) pour chaque famille de contaminants alors que la deuxième concernera les substances interdites à l'utilisation dans la fabrication des denrées alimentaires. Ce projet de texte découle de la loi 09-03 relative à la protection du consommateur et à la répression des fraudes dont, précisément, son article 5 fixant les conditions et les modalités applicables en matière de contaminants tolérés dans les denrées alimentaires. L'article stipule que "la mise à la consommation des denrées alimentaires contenant une quantité inacceptable du point de vue de la santé humaine et animale et, en particulier, sur le plan toxicologique, d'un contaminant est interdite". Ce qui signifie qu'il est interdit de mettre sur le marché des denrées alimentaires contenant une quantité inacceptable de substances résiduelles. Ainsi, la réglementation algérienne en matière du taux de contaminants toléré dans les aliments devrait être conforme aux standards internationaux. Les contaminants alimentaires sont des substances qui peuvent être présents dans certaines denrées alimentaires à la suite soit d'une contamination du milieu ambiant, de pratique culturale ou de procédés de production. Mais au-delà d'un certain seuil, ils peuvent constituer une menace pour la santé humaine. Le nouveau règlement devrait aussi fixer les LMR admissibles pour les pesticides, les médicaments vétérinaires et les auxiliaires technologiques. Ce nouveau texte, soumis au gouvernement pour approbation, fixe les listes de substances qui vont faire l'objet de réduction, voire d'interdiction de leur utilisation dans les produits destinés à la consommation, indique la même source. En application de ce dispositif, deux listes seront élaborées : la première fixera les limites maximales de résidus (LMR) pour chaque famille de contaminants alors que la deuxième concernera les substances interdites à l'utilisation dans la fabrication des denrées alimentaires. Ce projet de texte découle de la loi 09-03 relative à la protection du consommateur et à la répression des fraudes dont, précisément, son article 5 fixant les conditions et les modalités applicables en matière de contaminants tolérés dans les denrées alimentaires. L'article stipule que "la mise à la consommation des denrées alimentaires contenant une quantité inacceptable du point de vue de la santé humaine et animale et, en particulier, sur le plan toxicologique, d'un contaminant est interdite". Ce qui signifie qu'il est interdit de mettre sur le marché des denrées alimentaires contenant une quantité inacceptable de substances résiduelles. Ainsi, la réglementation algérienne en matière du taux de contaminants toléré dans les aliments devrait être conforme aux standards internationaux. Les contaminants alimentaires sont des substances qui peuvent être présents dans certaines denrées alimentaires à la suite soit d'une contamination du milieu ambiant, de pratique culturale ou de procédés de production. Mais au-delà d'un certain seuil, ils peuvent constituer une menace pour la santé humaine. Le nouveau règlement devrait aussi fixer les LMR admissibles pour les pesticides, les médicaments vétérinaires et les auxiliaires technologiques.