Cent soixante-cinq (165) affaires, dont 19 liées au terrorisme, seront traitées à partir du 30 novembre prochain par le tribunal criminel près la cour d'Alger, selon la liste des affaires criminelles inscrites au rôle du tribunal pour sa deuxième session de l'année 2014. Parmi les mis en cause poursuivis dans différentes affaires criminelles, 307 sont en détention, 107 libres et 23 en fuite. Cent soixante-cinq (165) affaires, dont 19 liées au terrorisme, seront traitées à partir du 30 novembre prochain par le tribunal criminel près la cour d'Alger, selon la liste des affaires criminelles inscrites au rôle du tribunal pour sa deuxième session de l'année 2014. Parmi les mis en cause poursuivis dans différentes affaires criminelles, 307 sont en détention, 107 libres et 23 en fuite. Parmi les affaires liées au terrorisme, programmées pour le 29 décembre figure celle de Kobbi Hocine, à l'origine du démantèlement du noyau du GIA et accusé, ainsi que 6 autres personnes, d'appartenance à un groupe terroriste ayant semé la terreur, durant les années 90, et mené des attentat à l'explosif dans des lieux publics, faisant plusieurs morts et blessés outre les cas de viol et d'enlèvement. Le tribunal criminel examinera le 30 décembre une nouvelle affaire impliquant Mokhtar Belmokhtar et un autre mis en cause pour appartenance à un groupe terroriste activant à l'étranger et dans le pays. Il aura également à se prononcer sur l'affaire liée aux complices (11) du terroriste (abattu) Ghedir Mohamed, dit Abdelhamid Abou Zeid qui dirigeait le groupe terroriste activant dans le Sahara algérien et les pays du Sahel, pour appartenance à un "groupe terroriste international" spécialisé dans l'enlèvement de touristes étrangers dans le Sahara algérien. Le tribunal criminel avait prononcé, en 2012, des peines allant de 10 ans de prison à la perpétuité à l'encontre de 12 accusés, dont Abdelhamid Abou Zeid, abattu en 2013 après les événements du complexe gazier de Tiguentourine. Concernant les anciens détenus à Guantanamo, la même juridiction a renvoyé au 8 décembre l'affaire d'Ahmed Belbacha, condamné en 2009 par contumace à 20 ans de prison ferme. Parmi les affaires complexes enrôlée lors de cette session, le tribunal examinera l'affaire Kechniti Redouane le 2 décembre, poursuivi pour tentative de meurtre et auditionné par un juge d'instruction français pour détention d'informations importantes sur l'affaire des moines de Tibéhirine, selon une source judiciaire. Le tribunal criminel aura à trancher également le 31 décembre prochain l'affaire liée au trafic de migrants par un groupe criminel organisé dans laquelle sont impliqués neuf individus. Le rôle du tribunal criminel comporte d'autres affaires de droit commun essentiellement liées au trafic de drogue, à l'homicide volontaire, à l'atteinte à la pudeur, à l'inceste, au faux et usage de faux et au vol. Parmi les affaires liées au terrorisme, programmées pour le 29 décembre figure celle de Kobbi Hocine, à l'origine du démantèlement du noyau du GIA et accusé, ainsi que 6 autres personnes, d'appartenance à un groupe terroriste ayant semé la terreur, durant les années 90, et mené des attentat à l'explosif dans des lieux publics, faisant plusieurs morts et blessés outre les cas de viol et d'enlèvement. Le tribunal criminel examinera le 30 décembre une nouvelle affaire impliquant Mokhtar Belmokhtar et un autre mis en cause pour appartenance à un groupe terroriste activant à l'étranger et dans le pays. Il aura également à se prononcer sur l'affaire liée aux complices (11) du terroriste (abattu) Ghedir Mohamed, dit Abdelhamid Abou Zeid qui dirigeait le groupe terroriste activant dans le Sahara algérien et les pays du Sahel, pour appartenance à un "groupe terroriste international" spécialisé dans l'enlèvement de touristes étrangers dans le Sahara algérien. Le tribunal criminel avait prononcé, en 2012, des peines allant de 10 ans de prison à la perpétuité à l'encontre de 12 accusés, dont Abdelhamid Abou Zeid, abattu en 2013 après les événements du complexe gazier de Tiguentourine. Concernant les anciens détenus à Guantanamo, la même juridiction a renvoyé au 8 décembre l'affaire d'Ahmed Belbacha, condamné en 2009 par contumace à 20 ans de prison ferme. Parmi les affaires complexes enrôlée lors de cette session, le tribunal examinera l'affaire Kechniti Redouane le 2 décembre, poursuivi pour tentative de meurtre et auditionné par un juge d'instruction français pour détention d'informations importantes sur l'affaire des moines de Tibéhirine, selon une source judiciaire. Le tribunal criminel aura à trancher également le 31 décembre prochain l'affaire liée au trafic de migrants par un groupe criminel organisé dans laquelle sont impliqués neuf individus. Le rôle du tribunal criminel comporte d'autres affaires de droit commun essentiellement liées au trafic de drogue, à l'homicide volontaire, à l'atteinte à la pudeur, à l'inceste, au faux et usage de faux et au vol.