Le public algérois a eu droit à un concert où l'authenticité des rythmes et des mélodies ont fusionné avec des formes esthétiques modernes marquées par des arrangements dans le style jazz. Le public algérois a eu droit à un concert où l'authenticité des rythmes et des mélodies ont fusionné avec des formes esthétiques modernes marquées par des arrangements dans le style jazz. C ' est le groupe "Abavuki" qui s'est chargé de faire la fête à la salle Ibn Khaldoun et de la partager avec un public, venu relativement nombreux. Le public a partagé des moments exceptionnels à travers un florilège de chansons africaines incitant les présents au déhanchement. Le public algérois a eu droit à un concert où l'authenticité des rythmes et des mélodies ont fusionné avec des formes esthétiques modernes marquées par des arrangements dans le style de musique jazz. Lala Moana , première pièce entonnée par le groupe, a mis en exergue les sonorités des instruments africains dominant l'orchestration, avec trois "Marimbas, basse, soprane et ténor" disposés de part et d'autres et au milieu de la scène aux côtés d'autres accessoires de percussion. Tina Sizwé et Baba Mandela, dédiées à Nelson Mandela et son long combat contre l'apartheid, ont suscité une large adhésion de l'assistance, au même titre que les autres pièces représentant chacune, une région du continent africain, à l'instar de M'Bera (Zimbabwe), Lo Mingo (Congo), Nighty Langa (Angola). Les pièces, Lady, hommage au musicien nigérien Fela Kuti, fondateur de l'Afro-Beat, et Djama Djama Labo célèbrant les 20 années de démocratie en Afrique du Sud, ont également été du goût du public qui a apprécié les voix en polyphonie, les montées des cuivres et le groove soutenu dans chaque rythme. Des danses traditionnelles ont été exécutées par les instrumentistes eux-mêmes, mettant de l'énergie dans le mouvement et laissant au corps exprimer ses atavismes, dans un élan festif, en quête de liberté. Le groupe Abavuki, composé de Bongani Ngesi Mkhokheli (Kim), Masala Masala, Jackson Kirya, Thando Sishuba, Mzwamadoda Matsila (Guz), Andile Makubalo (Ndima), Thulani Mtyi Vuyani Sakabula (miyo) et le chef d'orchestre Siyabulela Jiyana (Sabu) s'est surpassé, donnant du plaisir au public. "Nous sommes très heureux d'être à Alger et nous y produire pour la première fois devant un public magnifique", a déclaré Siyabulela Jiyana. L'assistance, honorée par la présence de l'ambassadeur d'Afrique du Sud accrédité à Alger ainsi que quelques membres du corps diplomatique sud-africain en exercice, s'est délecté près de deux heures, savourant dans l'allégresse et la volupté près d'une quinzaine de morceaux, chantées dans différentes langues africaines. Fondé en 2001, le groupe sud-africain Abavuki, dont l'appellation signifie dans une langue locale, Levez-vous hommes matinaux a été créé par un groupe d'amis musiciens issus de la ville de Langa près de Capetown dans le sud du pays. Le groupe a pris part à plusieurs tournées qui l'ont notamment menées en Suède, en Chine et au Sultanat d'Oman. Jusqu'à présent, il compte trois albums à son actif : African Rythmes, Abavuki, Live in China, et Africa Got a Soul. C ' est le groupe "Abavuki" qui s'est chargé de faire la fête à la salle Ibn Khaldoun et de la partager avec un public, venu relativement nombreux. Le public a partagé des moments exceptionnels à travers un florilège de chansons africaines incitant les présents au déhanchement. Le public algérois a eu droit à un concert où l'authenticité des rythmes et des mélodies ont fusionné avec des formes esthétiques modernes marquées par des arrangements dans le style de musique jazz. Lala Moana , première pièce entonnée par le groupe, a mis en exergue les sonorités des instruments africains dominant l'orchestration, avec trois "Marimbas, basse, soprane et ténor" disposés de part et d'autres et au milieu de la scène aux côtés d'autres accessoires de percussion. Tina Sizwé et Baba Mandela, dédiées à Nelson Mandela et son long combat contre l'apartheid, ont suscité une large adhésion de l'assistance, au même titre que les autres pièces représentant chacune, une région du continent africain, à l'instar de M'Bera (Zimbabwe), Lo Mingo (Congo), Nighty Langa (Angola). Les pièces, Lady, hommage au musicien nigérien Fela Kuti, fondateur de l'Afro-Beat, et Djama Djama Labo célèbrant les 20 années de démocratie en Afrique du Sud, ont également été du goût du public qui a apprécié les voix en polyphonie, les montées des cuivres et le groove soutenu dans chaque rythme. Des danses traditionnelles ont été exécutées par les instrumentistes eux-mêmes, mettant de l'énergie dans le mouvement et laissant au corps exprimer ses atavismes, dans un élan festif, en quête de liberté. Le groupe Abavuki, composé de Bongani Ngesi Mkhokheli (Kim), Masala Masala, Jackson Kirya, Thando Sishuba, Mzwamadoda Matsila (Guz), Andile Makubalo (Ndima), Thulani Mtyi Vuyani Sakabula (miyo) et le chef d'orchestre Siyabulela Jiyana (Sabu) s'est surpassé, donnant du plaisir au public. "Nous sommes très heureux d'être à Alger et nous y produire pour la première fois devant un public magnifique", a déclaré Siyabulela Jiyana. L'assistance, honorée par la présence de l'ambassadeur d'Afrique du Sud accrédité à Alger ainsi que quelques membres du corps diplomatique sud-africain en exercice, s'est délecté près de deux heures, savourant dans l'allégresse et la volupté près d'une quinzaine de morceaux, chantées dans différentes langues africaines. Fondé en 2001, le groupe sud-africain Abavuki, dont l'appellation signifie dans une langue locale, Levez-vous hommes matinaux a été créé par un groupe d'amis musiciens issus de la ville de Langa près de Capetown dans le sud du pays. Le groupe a pris part à plusieurs tournées qui l'ont notamment menées en Suède, en Chine et au Sultanat d'Oman. Jusqu'à présent, il compte trois albums à son actif : African Rythmes, Abavuki, Live in China, et Africa Got a Soul.