Des citoyens, habitant, depuis des décennies, dans un bidonville sis à 0ued Aïssi ont fermé à la circulation la RN 12 reliant plusieurs chefs-lieux de daïras au chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. L'action de protestation a été menée dès la première heure de la journée d'hier. Des citoyens, habitant, depuis des décennies, dans un bidonville sis à 0ued Aïssi ont fermé à la circulation la RN 12 reliant plusieurs chefs-lieux de daïras au chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. L'action de protestation a été menée dès la première heure de la journée d'hier. Les habitants dudit bidonville, situé à quelque 5 kilomètres à l'est de la ville de Tizi-Ouzou ont utilisé divers objets pour barrer la route, des deux côtés, car il s'agit d'une autoroute. Les milliers d'automobilistes se sont retrouvés coincés, ne pouvant ni avancer ni faire demi-tour, et ce, pendant des heures. Certains automobilistes, ayant eu vent à l'avance, du blocage de la route, ont essayé de faire un détour par Ouaguenoun mais là aussi, la route était coupée en peu de temps compte tenu de son incapacité à accueillir un tel flux automobile. De ce fait, les voyageurs ont à leur tour, été otages de la même situation. Il y a lieu de noter que les forces de sécurité ne sont pas intervenues. Cette action vise à exiger des autorités locales concernées qu'on mette fin à leur calvaire en leur attribuant des logements. Elle intervient une semaine après celle ayant eu lieu en plein centre-ville à l'initiative des habitants de la cité Mokadem. Ces derniers ont obtenu les clés de leurs appartements le week-end écoulé. Les habitants dudit bidonville, situé à quelque 5 kilomètres à l'est de la ville de Tizi-Ouzou ont utilisé divers objets pour barrer la route, des deux côtés, car il s'agit d'une autoroute. Les milliers d'automobilistes se sont retrouvés coincés, ne pouvant ni avancer ni faire demi-tour, et ce, pendant des heures. Certains automobilistes, ayant eu vent à l'avance, du blocage de la route, ont essayé de faire un détour par Ouaguenoun mais là aussi, la route était coupée en peu de temps compte tenu de son incapacité à accueillir un tel flux automobile. De ce fait, les voyageurs ont à leur tour, été otages de la même situation. Il y a lieu de noter que les forces de sécurité ne sont pas intervenues. Cette action vise à exiger des autorités locales concernées qu'on mette fin à leur calvaire en leur attribuant des logements. Elle intervient une semaine après celle ayant eu lieu en plein centre-ville à l'initiative des habitants de la cité Mokadem. Ces derniers ont obtenu les clés de leurs appartements le week-end écoulé.