Au moins 356 personnes, dont plus de 200 soldats ont été tuées en un mois de violences à Benghazi, dans l'est de la Libye, rapportent des sources médicales dans un nouveau bilan. Un précèdent bilan faisait état de 340 morts. Selon ces sources, les combats, violences et exécutions à Benghazi depuis le 15 octobre ont fait au moins 356 morts, dont plus de 200 soldats. Au moins 356 personnes, dont plus de 200 soldats ont été tuées en un mois de violences à Benghazi, dans l'est de la Libye, rapportent des sources médicales dans un nouveau bilan. Un précèdent bilan faisait état de 340 morts. Selon ces sources, les combats, violences et exécutions à Benghazi depuis le 15 octobre ont fait au moins 356 morts, dont plus de 200 soldats. A la mi-octobre, les forces armées libyennes avaient apporté leur soutien au général à la retraite Khalifa Haftar face aux milices rebelles. Parmi les victimes des violences figurent des civils tués par balles ou dans des bombardements et d'autres ayant pris les armes aux côtés des forces du général Haftar. Ce bilan prend également en compte des éléments des milices rebelles dont les corps ont été déposés dans des hôpitaux de Benghazi. Mais le nombre des morts dans les rangs des miliciens pourrait être plus élevé, les groupes rebelles ne soignant pas en général leurs blessés dans les hôpitaux de la ville. Benghazi est l'une des zones les plus instables de la Libye, un pays dirigé par deux gouvernements et parlements rivaux, et livré aux milices depuis le renversement de Maâmmar El Kheddafi. A la mi-octobre, les forces armées libyennes avaient apporté leur soutien au général à la retraite Khalifa Haftar face aux milices rebelles. Parmi les victimes des violences figurent des civils tués par balles ou dans des bombardements et d'autres ayant pris les armes aux côtés des forces du général Haftar. Ce bilan prend également en compte des éléments des milices rebelles dont les corps ont été déposés dans des hôpitaux de Benghazi. Mais le nombre des morts dans les rangs des miliciens pourrait être plus élevé, les groupes rebelles ne soignant pas en général leurs blessés dans les hôpitaux de la ville. Benghazi est l'une des zones les plus instables de la Libye, un pays dirigé par deux gouvernements et parlements rivaux, et livré aux milices depuis le renversement de Maâmmar El Kheddafi.