Après un suspense temporaire, l'Etat va sévir contre les écoles privées sur la poursuite des cours de soutien. Pour mettre de l'ordre, les autorités du ministère de l'éducation ne souhaitent pas brusquer les choses. Après un suspense temporaire, l'Etat va sévir contre les écoles privées sur la poursuite des cours de soutien. Pour mettre de l'ordre, les autorités du ministère de l'éducation ne souhaitent pas brusquer les choses. Ils vont proposer une méthode qui permettra d'équilibrer les cours de soutien aux élèves. Face au désordre qui règne dans certains établissements scolaires où la surcharge des classes et le manque d'enseignants est ressenti, l'Etat va obliger les écoles privées à se conformer à un cahier de charges qui les obligeraient à définir les barèmes de cours et les nombre d'heures. Des écoles privées qui fleurissent à tout bout de champ proposent des tarifs mensuels aux collégiens et lycéens assez chers si l'on croit certaines associations de parents d'élèves. Ces écoles proposent ainsi des prix allant de 4000 à 12.000 DA par mois sur des matières comme les maths, physique, langue française et anglais dont la plupart des élèves les réclament. Mais ces tarifs, ajoutent des sources, ne sont pas pratiqués de façon homogène. De plus, les enseignants exerçant dans le secteur public sont sollicités après 17 heures après des journées d'activités bien remplies. Des parents d'élèves qui réclament que le ministère de l'éducation soit plus regardant sur la question, souhaitent que écoles se conforment aux conditions d'exercice d'activités scolaires bien précises. Souvent, ces écoles font de la prestation pour plusieurs domaines de formation allant de la pâtisserie, coiffure et esthétique et se transforment le soir en pépinières de cours de soutiens jusqu'à la nuit. Un mélange insupportable pour les uns qui veulent que leurs enfants soient bien encadrés par des enseignants disposant d'une large expérience et d'une méthode pédagogique bien avérée. Rappelons que l'année dernière, une polémique avait surgi suite à l'interdiction des cours particuliers accordés par des enseignants aux établissements privés. Les responsables du secteur se sont ravisés par la suite mais ont tout de même réussi à décréter l'interdiction d'enseigner la même matière par l'enseignant après les heures légales des cours. Ce qui s'est traduit par la mobilité des élèves surtout à l'approche des examens scolaires à opter pour les écoles privées. Seule trouvaille pour l'instant est celle où les élèves auront droit à des cours télévisés à partir de janvier 2015. Ces cours qui se répartiront sur trois heures (samedi, vendredi et mardi) permettront selon la ministre « d'avoir l'égalité d'accès au savoir ». Sans nul doute. Mais il reste que les volumes de cours assez importants et le nombre de matières pour BEM et BAC ne suffiront pas d'alimenter en cours tout le monde. Ailleurs, ce sont carrément des chaines de l'éducation qui toute la journée diffusent plusieurs matières scolaires avec des interventions appropriées de spécialistes en pédagogie. Ils vont proposer une méthode qui permettra d'équilibrer les cours de soutien aux élèves. Face au désordre qui règne dans certains établissements scolaires où la surcharge des classes et le manque d'enseignants est ressenti, l'Etat va obliger les écoles privées à se conformer à un cahier de charges qui les obligeraient à définir les barèmes de cours et les nombre d'heures. Des écoles privées qui fleurissent à tout bout de champ proposent des tarifs mensuels aux collégiens et lycéens assez chers si l'on croit certaines associations de parents d'élèves. Ces écoles proposent ainsi des prix allant de 4000 à 12.000 DA par mois sur des matières comme les maths, physique, langue française et anglais dont la plupart des élèves les réclament. Mais ces tarifs, ajoutent des sources, ne sont pas pratiqués de façon homogène. De plus, les enseignants exerçant dans le secteur public sont sollicités après 17 heures après des journées d'activités bien remplies. Des parents d'élèves qui réclament que le ministère de l'éducation soit plus regardant sur la question, souhaitent que écoles se conforment aux conditions d'exercice d'activités scolaires bien précises. Souvent, ces écoles font de la prestation pour plusieurs domaines de formation allant de la pâtisserie, coiffure et esthétique et se transforment le soir en pépinières de cours de soutiens jusqu'à la nuit. Un mélange insupportable pour les uns qui veulent que leurs enfants soient bien encadrés par des enseignants disposant d'une large expérience et d'une méthode pédagogique bien avérée. Rappelons que l'année dernière, une polémique avait surgi suite à l'interdiction des cours particuliers accordés par des enseignants aux établissements privés. Les responsables du secteur se sont ravisés par la suite mais ont tout de même réussi à décréter l'interdiction d'enseigner la même matière par l'enseignant après les heures légales des cours. Ce qui s'est traduit par la mobilité des élèves surtout à l'approche des examens scolaires à opter pour les écoles privées. Seule trouvaille pour l'instant est celle où les élèves auront droit à des cours télévisés à partir de janvier 2015. Ces cours qui se répartiront sur trois heures (samedi, vendredi et mardi) permettront selon la ministre « d'avoir l'égalité d'accès au savoir ». Sans nul doute. Mais il reste que les volumes de cours assez importants et le nombre de matières pour BEM et BAC ne suffiront pas d'alimenter en cours tout le monde. Ailleurs, ce sont carrément des chaines de l'éducation qui toute la journée diffusent plusieurs matières scolaires avec des interventions appropriées de spécialistes en pédagogie.