Le nouveau président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Ali Haddad, élu jeudi à la tête de cette organisation, a affirmé que son programme était axé sur la préservation des intérêts de l'entreprise tout en renforçant la contribution du secteur privé dans l'économie. Le nouveau président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Ali Haddad, élu jeudi à la tête de cette organisation, a affirmé que son programme était axé sur la préservation des intérêts de l'entreprise tout en renforçant la contribution du secteur privé dans l'économie. Parmi les objectifs prioritaires du FCE, selon Ali Haddad, "le développement de l'entreprise et notamment du secteur privé pourvoyeur d'emploi et de richesse pour arriver à une meilleure contribution dans le développement économique". Le nouveau patron du FCE a affirmé que le secteur privé en Algérie joue un rôle très important dans le développement du pays en voulant pour preuve les 20 milliards de dollars de chiffre d'affaires des entreprises affiliées à son organisation et qui emploient plus de 200.000 salariés. Il a ajouté que son organisation continuera à travailler étroitement avec les autorités publiques mais tout en défendant l'entreprise. "Nous allons dire toute la vérité et nous n'allons pas nous taire sur (les choses) qui n'arrangerait pas l'entreprise", a-t-il soutenu. Sur la règle des 51/49 régissant l'investissement étranger en Algérie, Haddad a souligné qu'il continuera de défendre la position du Forum sur cette disposition. Citant l'une des cinquante propositions du Forum, formulées en 2012 pour le Pacte national économique et social de croissance, évoquant cette règle Haddad a affirmé "en matière d'investissement direct étranger (IDE) "abandonner la règle des 51/49 appliquée systématiquement, mais afficher les branches ou filières considérées comme stratégiques où la partie algérienne est obligatoirement majoritaire, tels que: l'énergie, les hydrocarbures, les TIC, l'eau, les banques, les assurances et le transport". Mais, "il y a lieu de privilégier la négociation pour tout investissement où le partenariat avec l'étranger est souhaité", ajoute la même proposition du FCE. Concernant les membres qui ont quitté dernièrement le Forum dont notamment le P.-dg du groupe Cevital, Issad Rebrab, et celui de NCA Rouiba, Slim Othmani, le nouveau président du FCE a affirmé que les portes de l'organisation étaient "ouvertes" pour ceux qui souhaiteraient revenir. "On les a tous rappelé durant notre campagne pour qu'ils reviennent", a-t-il dit soulignant que le nombre d'adhérents à l'organisation était passé de 240 avant sa candidature, il y a quelques semaines, à plus de 360 actuellement. Ali Haddad a été élu jeudi, à la mijournée, à la tête du FCE à l'issue d'un vote à main levée lors d'une assemblée générale élective, succédant au président démissionnaire Réda Hamiani. Seul candidat en lice, le patron de l'ETRHB Haddad a été élu à l'unanimité pour un mandat de quatre ans au lieu de deux ans habituellement. Haddad sera assisté d'un conseil exécutif composé de 22 membres. La présidence du FCE était assurée, par intérim, depuis le 17 septembre dernier par Ahmed Tibaoui, viceprésident de cette organisation après la démission de Réda Hamiani (2007-2014). Créé en 2001, le FCE revendique quelque 360 chefs d'entreprise, représentant près de 800 entreprises exerçant dans différents secteurs d'activité. Parmi les objectifs prioritaires du FCE, selon Ali Haddad, "le développement de l'entreprise et notamment du secteur privé pourvoyeur d'emploi et de richesse pour arriver à une meilleure contribution dans le développement économique". Le nouveau patron du FCE a affirmé que le secteur privé en Algérie joue un rôle très important dans le développement du pays en voulant pour preuve les 20 milliards de dollars de chiffre d'affaires des entreprises affiliées à son organisation et qui emploient plus de 200.000 salariés. Il a ajouté que son organisation continuera à travailler étroitement avec les autorités publiques mais tout en défendant l'entreprise. "Nous allons dire toute la vérité et nous n'allons pas nous taire sur (les choses) qui n'arrangerait pas l'entreprise", a-t-il soutenu. Sur la règle des 51/49 régissant l'investissement étranger en Algérie, Haddad a souligné qu'il continuera de défendre la position du Forum sur cette disposition. Citant l'une des cinquante propositions du Forum, formulées en 2012 pour le Pacte national économique et social de croissance, évoquant cette règle Haddad a affirmé "en matière d'investissement direct étranger (IDE) "abandonner la règle des 51/49 appliquée systématiquement, mais afficher les branches ou filières considérées comme stratégiques où la partie algérienne est obligatoirement majoritaire, tels que: l'énergie, les hydrocarbures, les TIC, l'eau, les banques, les assurances et le transport". Mais, "il y a lieu de privilégier la négociation pour tout investissement où le partenariat avec l'étranger est souhaité", ajoute la même proposition du FCE. Concernant les membres qui ont quitté dernièrement le Forum dont notamment le P.-dg du groupe Cevital, Issad Rebrab, et celui de NCA Rouiba, Slim Othmani, le nouveau président du FCE a affirmé que les portes de l'organisation étaient "ouvertes" pour ceux qui souhaiteraient revenir. "On les a tous rappelé durant notre campagne pour qu'ils reviennent", a-t-il dit soulignant que le nombre d'adhérents à l'organisation était passé de 240 avant sa candidature, il y a quelques semaines, à plus de 360 actuellement. Ali Haddad a été élu jeudi, à la mijournée, à la tête du FCE à l'issue d'un vote à main levée lors d'une assemblée générale élective, succédant au président démissionnaire Réda Hamiani. Seul candidat en lice, le patron de l'ETRHB Haddad a été élu à l'unanimité pour un mandat de quatre ans au lieu de deux ans habituellement. Haddad sera assisté d'un conseil exécutif composé de 22 membres. La présidence du FCE était assurée, par intérim, depuis le 17 septembre dernier par Ahmed Tibaoui, viceprésident de cette organisation après la démission de Réda Hamiani (2007-2014). Créé en 2001, le FCE revendique quelque 360 chefs d'entreprise, représentant près de 800 entreprises exerçant dans différents secteurs d'activité.