Pas moins de 418 entreprises contre 209 en 2013 dont 186 entreprises publiques et 232 sociétés privées, participent, depuis hier, à la 23e édition de la foire de la production algérienne inaugurée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal au Palais des expositions de la Société algérienne des foires et exportations (Safex).Tous les secteurs économiques sont représentés dans cette manifestation économique et commerciale qui se déroule jusqu'au 30 décembre. Pas moins de 418 entreprises contre 209 en 2013 dont 186 entreprises publiques et 232 sociétés privées, participent, depuis hier, à la 23e édition de la foire de la production algérienne inaugurée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal au Palais des expositions de la Société algérienne des foires et exportations (Safex).Tous les secteurs économiques sont représentés dans cette manifestation économique et commerciale qui se déroule jusqu'au 30 décembre. En effet, les entreprises exposent des produits liés à l'agroalimentaire (98 exposants), les industries électriques et électroniques (35), les industries manufacturières (92), l'énergie, la chimie et la pétrochimie (66), la mécanique, métallurgie et sidérurgie (39) et les finances (53). Les responsables de la Safex soulignent que « cette manifestation économique et commerciale, d'envergure nationale, est devenue une véritable tradition réunissant l'ensemble des secteurs économiques de la vie économique. Cette édition devra marquer les véritables défis auxquels notre économie doit faire face dans le contexte contraignant de la mondialisation et de l'ouverture, en se dotant de secteurs économiques forts, dynamiques et compétitifs,, en mesure d'apporter de la richesse et de créer des emplois ». Les organisateurs de cet évènement ajoutent que « les opérateurs économiques doivent relever le défi en se focalisant sur l'indispensable amélioration du rapport qualité-prix de leurs produits, désormais partie intégrante dans leurs stratégies de développement ». Hocine Idir, organisateur du salon Expofinances, qui en est à sa 4e édition se déroulant au sein de présente la foire de la production algérienne, veut que « ce salon serve de plate- forme d'échange et de mobilisation autour de la richesses financière comme moyen de développement de l'entreprise à un moment très crucial de la crise pétrolière et à la nécessaire réalisation de l'ambitieux programme présidentiel. Ce qui nécessite la participation de tout un chacun pour rentabiliser au maximum les ressources financières existantes, financières et humaines ». En effet, les entreprises exposent des produits liés à l'agroalimentaire (98 exposants), les industries électriques et électroniques (35), les industries manufacturières (92), l'énergie, la chimie et la pétrochimie (66), la mécanique, métallurgie et sidérurgie (39) et les finances (53). Les responsables de la Safex soulignent que « cette manifestation économique et commerciale, d'envergure nationale, est devenue une véritable tradition réunissant l'ensemble des secteurs économiques de la vie économique. Cette édition devra marquer les véritables défis auxquels notre économie doit faire face dans le contexte contraignant de la mondialisation et de l'ouverture, en se dotant de secteurs économiques forts, dynamiques et compétitifs,, en mesure d'apporter de la richesse et de créer des emplois ». Les organisateurs de cet évènement ajoutent que « les opérateurs économiques doivent relever le défi en se focalisant sur l'indispensable amélioration du rapport qualité-prix de leurs produits, désormais partie intégrante dans leurs stratégies de développement ». Hocine Idir, organisateur du salon Expofinances, qui en est à sa 4e édition se déroulant au sein de présente la foire de la production algérienne, veut que « ce salon serve de plate- forme d'échange et de mobilisation autour de la richesses financière comme moyen de développement de l'entreprise à un moment très crucial de la crise pétrolière et à la nécessaire réalisation de l'ambitieux programme présidentiel. Ce qui nécessite la participation de tout un chacun pour rentabiliser au maximum les ressources financières existantes, financières et humaines ».