Comme c'était le cas lors de son discours d'ouverture des travaux du 12e congrès de l'UGTA, dimanche dernier, Abdelmadhjid Sidi Saïd, réélu pour un nouveau mandat de cinq ans à la tête de l'organisation syndicale, a réitéré le soutien indéfectible du syndicat au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Comme c'était le cas lors de son discours d'ouverture des travaux du 12e congrès de l'UGTA, dimanche dernier, Abdelmadhjid Sidi Saïd, réélu pour un nouveau mandat de cinq ans à la tête de l'organisation syndicale, a réitéré le soutien indéfectible du syndicat au président de la République, Abdelaziz Bouteflika. « Cet homme mérite d'être porté sur nos épaules » dira Sidi Saïd hier lors de son allocution de clôture de ce congrès ajoutant que « nous ne trahirons jamais le Président auquel nous sommes fidèles ». Pour celui qui a été réélu sans surprise à la tête de l'UGTA « ceci n'est pas de la brosse mais de l'amour car le Président ne nous a jamais dit non ». L'orateur faisait sans doute allusion aux différentes revendications de la centrale syndicale, notamment celles relatives aux augmentations des salaires dont ont bénéficié les travailleurs ces dernières années et qui ont été satisfaites grâce au président de la République. Et c'est dans la foulée de ces propos que le premier responsable du plus grand syndicat du pays a enchaîné en indiquant « qu'il faut mettre fin avec cette histoire de l'UGTA syndicat du pouvoir ». Et de marteler : « Oui nous sommes un syndicat du pouvoir et de la République ». Des propos qui ne souffrent, en effet, d'aucune équivoque. Cette mise au point de Sidi Saïd sonne comme une réponse claire à tous les reproches et critiques adressés au syndicat sur son abandon des luttes syndicales qui coïncide avec son grand rapprochement avec le pouvoir. « Nous n'avons aucun complexe sur ce plan », dira-t-il en outre comme pour narguer encore plus les détracteurs du syndicat. La nouvelle ligne de conduite de l'UGTA a, d'ailleurs, été une nouvelle fois mise en avant. « Après le doctorat de la grève nous voulons un doctorat de la paix e de la stabilité », a-tsouligné. Pour Sidi Saïd, qui l'a d'ailleurs bien déclaré lors de son discours inaugural de ce 12e congrès, le recours à la grève n'est plus de mise pour arracher des gains au profit des travailleurs. Il a substitué à ce moyen d'action le dialogue et la concertation. Dans ses deux discours la stabilité et la paix reviennent, en effet, comme un leitmotiv. « Nous ne sommes pas une organisation de violence. L'UGTA veut préserver la paix et la stabilité dans le pays. Nous sommes des soldats de la paix et la stabilité. Nous sommes des soldats de la République algérienne » a-t-il précisé hier non sans avoir rappelé les années de terrorisme ou le pays était menacé. « Le prix de la paix on l'a payé très cher » martèle Sidi Saïd en invitant les syndicalistes à « travailler avec la société civile et les partis politiques pour renforcer la stabilité et la paix ». Par ailleurs, Sidi Saïd a indiqué que l'élection des membres du secrétariat national par les membres de la commission exécutive nationale (CEN) se fera « dans la démocratie et la transparence et sans manipulation ». Tayeb Hmarnia, qui a présidé les travaux du congrès, a invité les candidats au secrétariat national a déposer leurs candidatures dès aujourd'hui. La CEN dont la nouvelle composante a été avalisée hier par les congressistes, tiendra sa session le 25 et 26 janvier prochains. Notons enfin que le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, a de nouveau été élu comme membre de la CEN dans sa circonscription d'El Oued. « L'UGTA sera dans la prochaine étape la locomotive qui conduira le pays vers la paix et la quiétude » a indiqué Saïdani dans une brève allocution devant les congressistes. « Cet homme mérite d'être porté sur nos épaules » dira Sidi Saïd hier lors de son allocution de clôture de ce congrès ajoutant que « nous ne trahirons jamais le Président auquel nous sommes fidèles ». Pour celui qui a été réélu sans surprise à la tête de l'UGTA « ceci n'est pas de la brosse mais de l'amour car le Président ne nous a jamais dit non ». L'orateur faisait sans doute allusion aux différentes revendications de la centrale syndicale, notamment celles relatives aux augmentations des salaires dont ont bénéficié les travailleurs ces dernières années et qui ont été satisfaites grâce au président de la République. Et c'est dans la foulée de ces propos que le premier responsable du plus grand syndicat du pays a enchaîné en indiquant « qu'il faut mettre fin avec cette histoire de l'UGTA syndicat du pouvoir ». Et de marteler : « Oui nous sommes un syndicat du pouvoir et de la République ». Des propos qui ne souffrent, en effet, d'aucune équivoque. Cette mise au point de Sidi Saïd sonne comme une réponse claire à tous les reproches et critiques adressés au syndicat sur son abandon des luttes syndicales qui coïncide avec son grand rapprochement avec le pouvoir. « Nous n'avons aucun complexe sur ce plan », dira-t-il en outre comme pour narguer encore plus les détracteurs du syndicat. La nouvelle ligne de conduite de l'UGTA a, d'ailleurs, été une nouvelle fois mise en avant. « Après le doctorat de la grève nous voulons un doctorat de la paix e de la stabilité », a-tsouligné. Pour Sidi Saïd, qui l'a d'ailleurs bien déclaré lors de son discours inaugural de ce 12e congrès, le recours à la grève n'est plus de mise pour arracher des gains au profit des travailleurs. Il a substitué à ce moyen d'action le dialogue et la concertation. Dans ses deux discours la stabilité et la paix reviennent, en effet, comme un leitmotiv. « Nous ne sommes pas une organisation de violence. L'UGTA veut préserver la paix et la stabilité dans le pays. Nous sommes des soldats de la paix et la stabilité. Nous sommes des soldats de la République algérienne » a-t-il précisé hier non sans avoir rappelé les années de terrorisme ou le pays était menacé. « Le prix de la paix on l'a payé très cher » martèle Sidi Saïd en invitant les syndicalistes à « travailler avec la société civile et les partis politiques pour renforcer la stabilité et la paix ». Par ailleurs, Sidi Saïd a indiqué que l'élection des membres du secrétariat national par les membres de la commission exécutive nationale (CEN) se fera « dans la démocratie et la transparence et sans manipulation ». Tayeb Hmarnia, qui a présidé les travaux du congrès, a invité les candidats au secrétariat national a déposer leurs candidatures dès aujourd'hui. La CEN dont la nouvelle composante a été avalisée hier par les congressistes, tiendra sa session le 25 et 26 janvier prochains. Notons enfin que le secrétaire général du FLN, Amar Saïdani, a de nouveau été élu comme membre de la CEN dans sa circonscription d'El Oued. « L'UGTA sera dans la prochaine étape la locomotive qui conduira le pays vers la paix et la quiétude » a indiqué Saïdani dans une brève allocution devant les congressistes.