Les parties libyennes participant à la réunion de Genève sous l'égide de la Mission d'appui des Nations Unies en Libye (Misnul) sont parvenus à un accord sur un agenda en vue de former un gouvernement d'unité, selon un communiqué de l'ONU. Ils ont également appelé à une cessation des hostilités pour faciliter le dialogue. Les parties libyennes participant à la réunion de Genève sous l'égide de la Mission d'appui des Nations Unies en Libye (Misnul) sont parvenus à un accord sur un agenda en vue de former un gouvernement d'unité, selon un communiqué de l'ONU. Ils ont également appelé à une cessation des hostilités pour faciliter le dialogue. "Les participants ont appelé toutes les parties à cesser les hostilités pour créer un environnement positif pour le dialogue", indique hier un communiqué de l'ONU après deux jours de réunion. Jusqu'à présent seule la Misnul appelait à cette cessation des combats. Ce premier cycle de discussions a permis un accord sur un agenda avec l'ambition de "parvenir à un accord pour former un gouvernement d'unité consensuel et la nécessité de dispositions de sécurité pour arrêter les combats et garantir le retrait par phases des groupes armés de toutes les villes libyennes afin de permettre à l'Etat d'affirmer son autorité sur les infrastructures vitales du pays". Il n'y aura pas de réunion vendredi et l'ONU ne précise pas quand sera la prochaine réunion. Les discussions ont été "constructives" et ont été menées dans une "atmosphère positive". Les participants demandent la libération des détenus illégalement, que la question des déplacés et des réfugiés soit traitée, la réouverture des aéroports et la liberté de mouvement dans le pays. Il est à rappeler que Le rôle de l'Algérie et sa vision dans le règlement de la crise libyenne ont été salués et qualifiés d'"importants", en octobre dernier, par le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye et chef de la Mission d'appui des Nations unies en Libye (MANUL), Bernardino Léon. "L'Algérie a une vision, une connaissance et une initiative qui sont les meilleures pour (une solution) en Libye", a indiqué M. Léon à la presse au sortir de l'audience que lui a accordée le ministre délégué, chargée des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. "Je suis convaincu que l'Algérie a un rôle très important à jouer (dans le règlement de la crise libyenne), qui est tellement complexe qu'elle exige une contribution de tous les grands acteurs internationaux", a affirmé M. Bernardino Léon. "Nous sommes persuadés à l'ONU que de cette coopération avec l'Algérie, nous pouvons faire une différence en Libye", rappelant qu'il a déjà échangé les points de vue avec les responsables algériens lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York. En plus de l'ONU, la position de l'Algérie concernant la résolution de la crise libyenne, a été saluée par plusieurs nations. Alger a vu ces derniers temps défiler un ballet diplomatique sans précédent. Tous étaient unanimes. La solution proposée par l'Algérie est la plus adéquate. "Les participants ont appelé toutes les parties à cesser les hostilités pour créer un environnement positif pour le dialogue", indique hier un communiqué de l'ONU après deux jours de réunion. Jusqu'à présent seule la Misnul appelait à cette cessation des combats. Ce premier cycle de discussions a permis un accord sur un agenda avec l'ambition de "parvenir à un accord pour former un gouvernement d'unité consensuel et la nécessité de dispositions de sécurité pour arrêter les combats et garantir le retrait par phases des groupes armés de toutes les villes libyennes afin de permettre à l'Etat d'affirmer son autorité sur les infrastructures vitales du pays". Il n'y aura pas de réunion vendredi et l'ONU ne précise pas quand sera la prochaine réunion. Les discussions ont été "constructives" et ont été menées dans une "atmosphère positive". Les participants demandent la libération des détenus illégalement, que la question des déplacés et des réfugiés soit traitée, la réouverture des aéroports et la liberté de mouvement dans le pays. Il est à rappeler que Le rôle de l'Algérie et sa vision dans le règlement de la crise libyenne ont été salués et qualifiés d'"importants", en octobre dernier, par le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye et chef de la Mission d'appui des Nations unies en Libye (MANUL), Bernardino Léon. "L'Algérie a une vision, une connaissance et une initiative qui sont les meilleures pour (une solution) en Libye", a indiqué M. Léon à la presse au sortir de l'audience que lui a accordée le ministre délégué, chargée des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel. "Je suis convaincu que l'Algérie a un rôle très important à jouer (dans le règlement de la crise libyenne), qui est tellement complexe qu'elle exige une contribution de tous les grands acteurs internationaux", a affirmé M. Bernardino Léon. "Nous sommes persuadés à l'ONU que de cette coopération avec l'Algérie, nous pouvons faire une différence en Libye", rappelant qu'il a déjà échangé les points de vue avec les responsables algériens lors de l'Assemblée générale de l'ONU à New York. En plus de l'ONU, la position de l'Algérie concernant la résolution de la crise libyenne, a été saluée par plusieurs nations. Alger a vu ces derniers temps défiler un ballet diplomatique sans précédent. Tous étaient unanimes. La solution proposée par l'Algérie est la plus adéquate.