Le phénomène de l'analphabétisme est en recul en Algérie. Selon les dernières statistiques, le taux d'analphabétisme ne dépasserait pas les 14 % en 2014 alors qu'en 2008, il était de 22 % selon une étude du CENEAP. Le phénomène de l'analphabétisme est en recul en Algérie. Selon les dernières statistiques, le taux d'analphabétisme ne dépasserait pas les 14 % en 2014 alors qu'en 2008, il était de 22 % selon une étude du CENEAP. Les centres d'alphabétisation créés par l'Etat voilà des années ont permis à des milliers de citoyens analphabètes d'acquérir des capacités de lecture et d'écriture. Ces centres disséminés un peu partout ont été multipliés par le ministère de l'éducation à la faveur de disponibilité de moyens matériels et des enseignants qui n'ont pas lésiné à prendre en charge cette population sensible. Mais il faut dire aussi que l'apport du mouvement associatif dont notamment celle de l'association « Iqraâ » qui a créée ses propres annexes dans presque toutes les wilayas. Cette association, selon sa présidente Aïcha Barki, a contribué à l'alphabétisation de 13.681.000 personnes dont 1.543.906 femmes et cela depuis 1990 date de la création de ladite association. D'autres associations auxquelles se sont joints des bénévoles ont elles renforcé leur présence notamment dans les zones reculées du Sud où elles activent avec les moyens de bord. Résultat : l'analphabétisme a reculé nettement depuis une dizaine d'années selon le bilan établi par le ministère de l'Education en 2014. Auparavant, les indices donnaient la population analphabète entre 6 et 7 millions. Un chiffre remis en cause par l'autorité de tutelle qui s'est appuyée sur les derniers résultats de l'étude du Centre national d'analyses pour la population et le développement (CENEAP) révèle que la population analphabète ne saurait dépasser les 5 millions de personnes, vu l'efficacité des centres d'apprentissage et certains sites bénévoles qui ont été créés à cet usage. En outre, ces centres sont actuellement dotés de moyens de technologie de l'information et de data show, ce qui leur donne plus d'efficacité. Selon l'association « Iqaâ », les projets à l'avenir s'inscrivent dans le cadre de ce qu'elle appelle « formation et intégration ». Ce programme, conçu avec des méthodes modernes, intéresse particulièrement l'alphabétisation des femmes qui est la population un peu supérieure à celle des hommes. Dans ce cadre, l'association avec l'aide de l'Etat a permis de former et d'autonomiser plus de 23.000 jeunes femmes dont l'âge varie entre 18 et 35 ans. La méthode s'appuie sur un enseignement adapté qui intègre l'écriture, la lecture, le calcul et la qualification professionnelle. Cela a donné l'occasion à des centaines de ces jeunes de faire naître plus tard des projets professionnels. Par ailleurs, l'Etat a mis à contribution une enveloppe financière pour cette année afin d'endiguer ce phénomène. Les méthodes d'enseignement seront rénovées et de nouveaux livres avec un contenu pédagogique amélioré seront destinés à cette frange de la population, dont de vieilles personnes, ayant appris à un âge tardif à lire et à écrire en un temps record. Les centres d'alphabétisation créés par l'Etat voilà des années ont permis à des milliers de citoyens analphabètes d'acquérir des capacités de lecture et d'écriture. Ces centres disséminés un peu partout ont été multipliés par le ministère de l'éducation à la faveur de disponibilité de moyens matériels et des enseignants qui n'ont pas lésiné à prendre en charge cette population sensible. Mais il faut dire aussi que l'apport du mouvement associatif dont notamment celle de l'association « Iqraâ » qui a créée ses propres annexes dans presque toutes les wilayas. Cette association, selon sa présidente Aïcha Barki, a contribué à l'alphabétisation de 13.681.000 personnes dont 1.543.906 femmes et cela depuis 1990 date de la création de ladite association. D'autres associations auxquelles se sont joints des bénévoles ont elles renforcé leur présence notamment dans les zones reculées du Sud où elles activent avec les moyens de bord. Résultat : l'analphabétisme a reculé nettement depuis une dizaine d'années selon le bilan établi par le ministère de l'Education en 2014. Auparavant, les indices donnaient la population analphabète entre 6 et 7 millions. Un chiffre remis en cause par l'autorité de tutelle qui s'est appuyée sur les derniers résultats de l'étude du Centre national d'analyses pour la population et le développement (CENEAP) révèle que la population analphabète ne saurait dépasser les 5 millions de personnes, vu l'efficacité des centres d'apprentissage et certains sites bénévoles qui ont été créés à cet usage. En outre, ces centres sont actuellement dotés de moyens de technologie de l'information et de data show, ce qui leur donne plus d'efficacité. Selon l'association « Iqaâ », les projets à l'avenir s'inscrivent dans le cadre de ce qu'elle appelle « formation et intégration ». Ce programme, conçu avec des méthodes modernes, intéresse particulièrement l'alphabétisation des femmes qui est la population un peu supérieure à celle des hommes. Dans ce cadre, l'association avec l'aide de l'Etat a permis de former et d'autonomiser plus de 23.000 jeunes femmes dont l'âge varie entre 18 et 35 ans. La méthode s'appuie sur un enseignement adapté qui intègre l'écriture, la lecture, le calcul et la qualification professionnelle. Cela a donné l'occasion à des centaines de ces jeunes de faire naître plus tard des projets professionnels. Par ailleurs, l'Etat a mis à contribution une enveloppe financière pour cette année afin d'endiguer ce phénomène. Les méthodes d'enseignement seront rénovées et de nouveaux livres avec un contenu pédagogique amélioré seront destinés à cette frange de la population, dont de vieilles personnes, ayant appris à un âge tardif à lire et à écrire en un temps record.