Dans la foulée d'attaques meurtrières dans le monde, la Maison Blanche a accueillie à Washington un sommet de trois jours pour « contrer la violence extrémiste », à laquelle des représentants de 60 pays ont participé. Dans la foulée d'attaques meurtrières dans le monde, la Maison Blanche a accueillie à Washington un sommet de trois jours pour « contrer la violence extrémiste », à laquelle des représentants de 60 pays ont participé. Annoncée par Washington en janvier, peu après les attentats de Paris, la réunion a vu avant-hier de nombreux ministres et responsables étrangers, notamment africains. « Nous avons besoin de réponses qui aillent au-delà du niveau militaire, au-delà de la force », a déclaré Joe Biden, vice-président américain, lors d'une table ronde dans une annexe de la Maison Blanche, en ouvrant les travaux. Pourtant, L'Algérie semble être le seul pays a donner une proposition concrète. D'après l'Agence APS, qui l'a appris de la délégation algérienne, l'Algérie a proposé à Washington, d'accueillir un atelier sur la déradicalisation, comme prolongement aux travaux de la conférence internationale sur l'extrémisme violent. Citant la même source, l'agence annonce que « l'Algérie est le seul pays à voir fait une proposition concrète, comme suivi des travaux de la conférence internationale sur l'extrémisme violent », ajoutant qu'il ne s'agit pas seulement de se réunir lors de cette conférence pour discuter, mais surtout d'établir des actions concrètes à même de constituer un suivi de cette rencontre internationale. Il est à noter également que durant cette conférence, l'Algérie a réitéré l'efficience de sa vision quant à la réponse à donner au terrorisme. Une réponse bâtie autour d'une stratégie comprenant notamment une politique de réconciliation nationale et la déradicalisation. L'Algérie qui a exposé, par la voix du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, son expérience en matière de lutte contre le terrorisme a axé son intervention sur la déradicalisation partant de son potentiel expérience avéré dans ce domaine. Ainsi, Abdelkader Messahel, a mis l'accent, dans son intervention durant la conférence, sur le combat mené par l'Algérie sur plusieurs fronts, dans sa lutte contre ce phénomène, partant de la conviction que la réponse sécuritaire uniquement à un phénomène aussi complexe demeure insuffisante. Exposant l'expérience algérienne en la matière, il a axé sa communication sur la déradicalisation et toutes les mesures prises par l'Algérie dans ce sens, afin d'arriver à la consolidation des fondements du référent religieux national par la promotion de la culture de l'Islam authentique prônant l'humanisme, la tolérance et l'harmonie. Cette démarche est venue accompagner les autres axes fondamentaux de la stratégie de lutte contre le fléau en premier lieu "l'action des forces de sécurité qui a été menée dans le strict respect des lois de la République et des engagements de l'Etat en matière de protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales". Cette action, a-t-il souligné a permis de protéger la vie des personnes, de préserver l'unité nationale et l'intégrité territoriale du pays, l'affirmation en permanence de la force de la loi républicaine sur la totalité du territoire national ainsi que le rétablissement de la paix, la sécurité et la stabilité. Il a souligné en outre, l'importance de la politique de réconciliation nationale, que le gouvernement entend poursuivre, laquelle « a préservé la cohérence de l'harmonie de la société algérienne », mettant en avant la conviction de l'Algérie que « la démocratie participative et l'Etat de droit ainsi que le développement socio-économique basé sur la justice et l'égalité des chances constituent de solides remparts contre la propagande de l'extrémisme et ses campagnes de recrutement parmi les jeunes socialement vulnérables ». Cette vision semble avoir trouvé écho au sein de la communauté internationale dont les représentants réunis à la conférence de Washington ont exprimé la convergence à aller traquer le mal à la racine. En effet, les dirigeants de ce monde ont appelé les autorités des différents pays à prendre des mesures envers les jeunes et les catégories défavorisées, en matière d'éducation, d'emploi et autres. C'est d'ailleurs le message transmis par le secrétaire général des Nations unies, Ban KI-moon, qui a recommandé aux Etats de répondre d'une manière décisive à cette arrivée de « nouvelles générations de terroristes transnationaux, en allant à la racine à la racine et chercher les motivations », soulignant que « l'oppression, la corruption et l'injustice servent cette cible, (à) ajoutant que la bonne gouvernance tue le terrorisme ». Le SG de l'Onu a appelé à « enseigner la tolérance, la compassion et la diversité », relevant la nécessité d'« une riposte pluridisciplinaire qui passe par les droits humains », annonçant à cette occasion son intention « de réunir les dirigeants religieux du monde entier dans une conférence pour promouvoir la réconciliation et la compassion ». Le secrétaire d'Etat américain John Kerry, en présidant la cérémonie d'ouverture de la conférence, a pour sa part mis l'accent sur l'impératif de « chercher les moyens pour faire face à ces tendances alarmantes en préconisant particulièrement l'élargissement de l'éducation religieuse, la défense de la liberté religieuse contre le racisme sous toutes ses formes et le partenariat contre l'extrémisme violent ». Annoncée par Washington en janvier, peu après les attentats de Paris, la réunion a vu avant-hier de nombreux ministres et responsables étrangers, notamment africains. « Nous avons besoin de réponses qui aillent au-delà du niveau militaire, au-delà de la force », a déclaré Joe Biden, vice-président américain, lors d'une table ronde dans une annexe de la Maison Blanche, en ouvrant les travaux. Pourtant, L'Algérie semble être le seul pays a donner une proposition concrète. D'après l'Agence APS, qui l'a appris de la délégation algérienne, l'Algérie a proposé à Washington, d'accueillir un atelier sur la déradicalisation, comme prolongement aux travaux de la conférence internationale sur l'extrémisme violent. Citant la même source, l'agence annonce que « l'Algérie est le seul pays à voir fait une proposition concrète, comme suivi des travaux de la conférence internationale sur l'extrémisme violent », ajoutant qu'il ne s'agit pas seulement de se réunir lors de cette conférence pour discuter, mais surtout d'établir des actions concrètes à même de constituer un suivi de cette rencontre internationale. Il est à noter également que durant cette conférence, l'Algérie a réitéré l'efficience de sa vision quant à la réponse à donner au terrorisme. Une réponse bâtie autour d'une stratégie comprenant notamment une politique de réconciliation nationale et la déradicalisation. L'Algérie qui a exposé, par la voix du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, son expérience en matière de lutte contre le terrorisme a axé son intervention sur la déradicalisation partant de son potentiel expérience avéré dans ce domaine. Ainsi, Abdelkader Messahel, a mis l'accent, dans son intervention durant la conférence, sur le combat mené par l'Algérie sur plusieurs fronts, dans sa lutte contre ce phénomène, partant de la conviction que la réponse sécuritaire uniquement à un phénomène aussi complexe demeure insuffisante. Exposant l'expérience algérienne en la matière, il a axé sa communication sur la déradicalisation et toutes les mesures prises par l'Algérie dans ce sens, afin d'arriver à la consolidation des fondements du référent religieux national par la promotion de la culture de l'Islam authentique prônant l'humanisme, la tolérance et l'harmonie. Cette démarche est venue accompagner les autres axes fondamentaux de la stratégie de lutte contre le fléau en premier lieu "l'action des forces de sécurité qui a été menée dans le strict respect des lois de la République et des engagements de l'Etat en matière de protection des droits de l'homme et des libertés fondamentales". Cette action, a-t-il souligné a permis de protéger la vie des personnes, de préserver l'unité nationale et l'intégrité territoriale du pays, l'affirmation en permanence de la force de la loi républicaine sur la totalité du territoire national ainsi que le rétablissement de la paix, la sécurité et la stabilité. Il a souligné en outre, l'importance de la politique de réconciliation nationale, que le gouvernement entend poursuivre, laquelle « a préservé la cohérence de l'harmonie de la société algérienne », mettant en avant la conviction de l'Algérie que « la démocratie participative et l'Etat de droit ainsi que le développement socio-économique basé sur la justice et l'égalité des chances constituent de solides remparts contre la propagande de l'extrémisme et ses campagnes de recrutement parmi les jeunes socialement vulnérables ». Cette vision semble avoir trouvé écho au sein de la communauté internationale dont les représentants réunis à la conférence de Washington ont exprimé la convergence à aller traquer le mal à la racine. En effet, les dirigeants de ce monde ont appelé les autorités des différents pays à prendre des mesures envers les jeunes et les catégories défavorisées, en matière d'éducation, d'emploi et autres. C'est d'ailleurs le message transmis par le secrétaire général des Nations unies, Ban KI-moon, qui a recommandé aux Etats de répondre d'une manière décisive à cette arrivée de « nouvelles générations de terroristes transnationaux, en allant à la racine à la racine et chercher les motivations », soulignant que « l'oppression, la corruption et l'injustice servent cette cible, (à) ajoutant que la bonne gouvernance tue le terrorisme ». Le SG de l'Onu a appelé à « enseigner la tolérance, la compassion et la diversité », relevant la nécessité d'« une riposte pluridisciplinaire qui passe par les droits humains », annonçant à cette occasion son intention « de réunir les dirigeants religieux du monde entier dans une conférence pour promouvoir la réconciliation et la compassion ». Le secrétaire d'Etat américain John Kerry, en présidant la cérémonie d'ouverture de la conférence, a pour sa part mis l'accent sur l'impératif de « chercher les moyens pour faire face à ces tendances alarmantes en préconisant particulièrement l'élargissement de l'éducation religieuse, la défense de la liberté religieuse contre le racisme sous toutes ses formes et le partenariat contre l'extrémisme violent ».