L'absence de témoins importants du procès de l'affaire Sonatrach 1, dans laquelle sont impliquées 19 personnes, dont l'ex-P.-DG du groupe Mohamed Meziane, en liberté provisoire, a été décisive dans le report à la prochaine session criminelle du tribunal d'Alger de cette affaire. L'absence de témoins importants du procès de l'affaire Sonatrach 1, dans laquelle sont impliquées 19 personnes, dont l'ex-P.-DG du groupe Mohamed Meziane, en liberté provisoire, a été décisive dans le report à la prochaine session criminelle du tribunal d'Alger de cette affaire. Les avocats de la défense, qui avaient récusé en début du procès que le Trésor public se constitue partie civile dans cette affaire, ont réclamé la présence de 38 témoins absents sur les 108 témoins de ce procès. Plusieurs avocats de la défense, dont Me Bourayou et Me Mokrane Aït Larbi, ainsi que Abdelmadjid Sellini, bâtonnier d'Alger, ont estimé que le procès ne peut se tenir en l'absence des témoins dans cette affaire. Parmi les 108 témoins dans cette affaire, le juge a notamment appelé Chakib Khelil, Farid Bejaoui et Reda Hamech, à l'étranger, ainsi que l'ex-P.-DG de Sonatrach, Zerguine Abdelmadjid, et l'actuel P.-DG par intérim du groupe Saïd Sahnoun. Le procès a été reporté à la demande des avocats de la défense, qui avaient basé leur stratégie sur la présence des témoins de cette affaire, dont une quarantaine sont absents lors de ce procès. Ils s'étaient retirés, alors que le juge avait demandé à ce que ces témoins "soient amenés, même avec la force publique". Mokrane Aït Larbi, avocat de l'un des accusés, a demandé la poursuite du procès, alors qu'une demande de liberté provisoire a été formulée par les avocats de la défense. Une demande refusée par le juge présidant ce procès, qui a drainé un grand nombre de journalistes pour sa couverture. Les faits reprochés aux 19 prévenus sont l'association de malfaiteurs, la passation de marchés contraires à la loi pour accorder des privilèges injustifiés à des tiers, blanchiment d'argent, augmentation de prix dans des contrats avec une entreprise publique, détournement de deniers publics, et blanchiment d'argent et corruption. Selon l'arrêt de renvoi, les faits concernent cinq (5) marchés frauduleux d'une valeur de 1.100 milliards de centimes accordés par l'ex.-P.-DG de Sonatrach, Mohamed Méziane, au groupe allemand Contel Algérie Funkwerk Pletarc dans le cadre d'un projet d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique des complexes du groupe national à travers le pays. Le groupe Sonatrach, selon l'arrêt de renvoi toujours, a conclu un marché frauduleux avec Saipem Algeria (Italie) pour la réalisation du gazoduc liant l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Parmi les accusés l'ex-P.-DG de Sonatrach, Mohamed Méziane, qui comparait en état de liberté provisoire. La prochaine session criminelle est prévue au mois d'avril. Les avocats de la défense, qui avaient récusé en début du procès que le Trésor public se constitue partie civile dans cette affaire, ont réclamé la présence de 38 témoins absents sur les 108 témoins de ce procès. Plusieurs avocats de la défense, dont Me Bourayou et Me Mokrane Aït Larbi, ainsi que Abdelmadjid Sellini, bâtonnier d'Alger, ont estimé que le procès ne peut se tenir en l'absence des témoins dans cette affaire. Parmi les 108 témoins dans cette affaire, le juge a notamment appelé Chakib Khelil, Farid Bejaoui et Reda Hamech, à l'étranger, ainsi que l'ex-P.-DG de Sonatrach, Zerguine Abdelmadjid, et l'actuel P.-DG par intérim du groupe Saïd Sahnoun. Le procès a été reporté à la demande des avocats de la défense, qui avaient basé leur stratégie sur la présence des témoins de cette affaire, dont une quarantaine sont absents lors de ce procès. Ils s'étaient retirés, alors que le juge avait demandé à ce que ces témoins "soient amenés, même avec la force publique". Mokrane Aït Larbi, avocat de l'un des accusés, a demandé la poursuite du procès, alors qu'une demande de liberté provisoire a été formulée par les avocats de la défense. Une demande refusée par le juge présidant ce procès, qui a drainé un grand nombre de journalistes pour sa couverture. Les faits reprochés aux 19 prévenus sont l'association de malfaiteurs, la passation de marchés contraires à la loi pour accorder des privilèges injustifiés à des tiers, blanchiment d'argent, augmentation de prix dans des contrats avec une entreprise publique, détournement de deniers publics, et blanchiment d'argent et corruption. Selon l'arrêt de renvoi, les faits concernent cinq (5) marchés frauduleux d'une valeur de 1.100 milliards de centimes accordés par l'ex.-P.-DG de Sonatrach, Mohamed Méziane, au groupe allemand Contel Algérie Funkwerk Pletarc dans le cadre d'un projet d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique des complexes du groupe national à travers le pays. Le groupe Sonatrach, selon l'arrêt de renvoi toujours, a conclu un marché frauduleux avec Saipem Algeria (Italie) pour la réalisation du gazoduc liant l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Parmi les accusés l'ex-P.-DG de Sonatrach, Mohamed Méziane, qui comparait en état de liberté provisoire. La prochaine session criminelle est prévue au mois d'avril.