La première semaine des vacances de printemps a été consacrée au soutien des élèves de classe terminale. La première semaine des vacances de printemps a été consacrée au soutien des élèves de classe terminale. Dans le cas où le nombre d'élèves qui rejoignent les bancs de l'école pour bénéficier des cours de rattrapage durant les vacances est important, l'établissement éducatif se doit de dispenser ces cours. Autrement, les enseignants sont appelés à dispenser des cours de soutien... Le directeur de l'enseignement secondaire et technique au ministère de l'Education nationale, Abdelkader Missoum, a affirmé, hier, que 20 % des lycées avaient ouvert leurs portes durant la première semaine des vacances de printemps pour rattraper les cours perdus du fait de la grève. Dans une déclaration à l'APS, en marge de la journée parlementaire sur "la Réforme et la refonte du système éducatif algérien", M. Missoum a souligné que "80 % des établissements éducatifs ont dispensé des cours durant les journées de la grève, déclenchée par le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest), du 16 février au 19 mars". Selon les estimations du ministère, 20 % des établissements scolaires à travers l'ensemble du territoire national ont ouvert leurs portes pour assurer le rattrapage des cours perdus du fait de la grève, selon le même responsable. Rappelant que la première semaine des vacances de printemps était consacrée au soutien des élèves de classe terminale, M. Missoum a précisé que "si le nombre d'élèves qui rejoignent les bancs de l'école pour bénéficier des cours de rattrapage durant les vacances est important, l'établissement éducatif se doit de dispenser ces cours, sinon les enseignants sont appelés à dispenser des cours de soutien". Les établissements scolaires demeureront "ouverts pour la révision individuelle ou collective", en offrant aux élèves l'accès aux équipements technologiques disponibles. Concernant les élèves ayant préféré profiter de leurs vacances, M. Missoum a indiqué que "les directeurs d'établissements éducatifs ont eu carte blanche" ajoutant que les cours perdus pourraient être rattrapés après les vacances de printemps. Il a, en outre, tenu à rassurer les élèves précisant que le programme avait été dispensé à plus 70 %. Par ailleurs, M. Missoum a affirmé que "les élèves ne seront examinés que sur les cours qui leur ont été dispensés en classe". Concernant le rattrapage des cours perdus pour les élèves de 1re et 2e années secondaires, M. Missoum a indiqué qu'il se ferait à leur retour de vacances les samedis, les mardis après-midi ou durant les heures creuses. Concernant le retard de 10 jours induit par la grève, l'intervenant a indiqué que ce retard concernait les heures de cours effectives, rappelant que le mouvement de grève avait également touché les jours d'examen. Dans le cas où le nombre d'élèves qui rejoignent les bancs de l'école pour bénéficier des cours de rattrapage durant les vacances est important, l'établissement éducatif se doit de dispenser ces cours. Autrement, les enseignants sont appelés à dispenser des cours de soutien... Le directeur de l'enseignement secondaire et technique au ministère de l'Education nationale, Abdelkader Missoum, a affirmé, hier, que 20 % des lycées avaient ouvert leurs portes durant la première semaine des vacances de printemps pour rattraper les cours perdus du fait de la grève. Dans une déclaration à l'APS, en marge de la journée parlementaire sur "la Réforme et la refonte du système éducatif algérien", M. Missoum a souligné que "80 % des établissements éducatifs ont dispensé des cours durant les journées de la grève, déclenchée par le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (Cnapest), du 16 février au 19 mars". Selon les estimations du ministère, 20 % des établissements scolaires à travers l'ensemble du territoire national ont ouvert leurs portes pour assurer le rattrapage des cours perdus du fait de la grève, selon le même responsable. Rappelant que la première semaine des vacances de printemps était consacrée au soutien des élèves de classe terminale, M. Missoum a précisé que "si le nombre d'élèves qui rejoignent les bancs de l'école pour bénéficier des cours de rattrapage durant les vacances est important, l'établissement éducatif se doit de dispenser ces cours, sinon les enseignants sont appelés à dispenser des cours de soutien". Les établissements scolaires demeureront "ouverts pour la révision individuelle ou collective", en offrant aux élèves l'accès aux équipements technologiques disponibles. Concernant les élèves ayant préféré profiter de leurs vacances, M. Missoum a indiqué que "les directeurs d'établissements éducatifs ont eu carte blanche" ajoutant que les cours perdus pourraient être rattrapés après les vacances de printemps. Il a, en outre, tenu à rassurer les élèves précisant que le programme avait été dispensé à plus 70 %. Par ailleurs, M. Missoum a affirmé que "les élèves ne seront examinés que sur les cours qui leur ont été dispensés en classe". Concernant le rattrapage des cours perdus pour les élèves de 1re et 2e années secondaires, M. Missoum a indiqué qu'il se ferait à leur retour de vacances les samedis, les mardis après-midi ou durant les heures creuses. Concernant le retard de 10 jours induit par la grève, l'intervenant a indiqué que ce retard concernait les heures de cours effectives, rappelant que le mouvement de grève avait également touché les jours d'examen.