Le secteur de l'Education a été sans aucun doute celui qui a fait le plus parler de lui, avec les grèves successives de plusieurs syndicats, passant par une bataille acharnée entre les grévistes et la tutelle. Le secteur de l'Education a été sans aucun doute celui qui a fait le plus parler de lui, avec les grèves successives de plusieurs syndicats, passant par une bataille acharnée entre les grévistes et la tutelle. A un dénouement assez inattendu à quelques semaines des examens de fin d'année, le concours de recrutement des enseignants annoncé par la ministre prévu au mois de mars, n'a pas été tenu au grand désespoir des candidats qui attendent toujours une date officielle et qui espèrent être recrutés pour l'année prochaine. Mais la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit répond à cette préoccupation dans un entretien à l'APS, annonçant que ce concours initialement prévu en mars sera "bientôt" organisé, précisant que les besoins du secteur "dépassent de loin" les prévisions initiales. elle a également informé que ce retard qui vient en préparation de ce concours a été sous-tendu par la tenue de trois colloques régionaux dans le but de définir les besoins réels du secteur en fonction de chaque filière, matière et wilaya, avant de souligner que le nombre avancé à diverses occasions et relatif aux besoins du secteur en prévision de la prochaine rentrée scolaire, "sera considéré à la hausse car les postes à pourvoir dépassent de loin les 7000". Elle a estimé que l'organisation de ce concours durant ce mois "permettra à la direction générale de la Fonction publique d'examiner les demandes de candidatures en toute sérénité et équité pour annoncer, par la suite, la liste finale des candidats". Celle-ci sera irrévocable, a-t-elle tenu à faire remarquer à ce propos. D'autre part, Mme Benghebrit a précisé que l'organisation du concours avant l'été "nous permettra de finaliser les préparatifs de la carte scolaire en prévision de la prochaine rentrée scolaire". Par ailleurs, les parties en charge de l'organisation du concours de recrutement des enseignants ont recouru cette fois-ci à des "critères particuliers" qui exigent de l'enseignant potentiel une "compétence spécialisée" en matière de prise en charge de l'élève du secondaire outre le niveau d'instruction qui ne doit pas être en deçà du Master. La ministre de l'Education nationale a insisté enfin, sur l'importance accordée par son secteur au recrutement des enseignants diplômes des Ecoles supérieures au regard de la "qualité" de la formation dispensée et leur disposition psychologique à exercer leur fonction. L'éducation a connu cette année de nouvelles mesures qui tendent à faire face aux différentes lacunes que connait ce secteur depuis déjà plusieurs années et qui se répercutent sur le niveau scolaire de nos élèves. A l'instar de l'installation dernièrement la commission chargée de réviser les statuts particuliers du personnel de l'éducation. A ce propos la ministre affirme que cette commission regroupant la tutelle et 10 organisations syndicales, constituera un "espace pour étudier minutieusement les problèmes posés et les résoudre". Le ministère est "fermement déterminé à traiter positivement les diverses préoccupations et les problèmes soulevés par les syndicats à propos des déséquilibres relevés dans le statut des travailleurs de l'éducation nationale, élaboré en 2008", a affirmé Mme Benghebrit au cours d'une intervention sur les ondes de la Radio nationale de Guelma. Elle a également indiqué que les représentants syndicaux ont été destinataires d'une copie de "la charte de la déontologie et de stabilité" en vue de son enrichissement pour qu'elle devienne un "contrat" engageant toutes les parties : tutelle, enseignants, élèves et parents d'élèves. Ce projet servira de "plateforme" pour conduire tous les partenaires à améliorer les modes de gestion du secteur, rompre avec l'instabilité et trouver des voies pour résoudre les problèmes autrement que par l'arrêt du travail et la grève. A un dénouement assez inattendu à quelques semaines des examens de fin d'année, le concours de recrutement des enseignants annoncé par la ministre prévu au mois de mars, n'a pas été tenu au grand désespoir des candidats qui attendent toujours une date officielle et qui espèrent être recrutés pour l'année prochaine. Mais la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit répond à cette préoccupation dans un entretien à l'APS, annonçant que ce concours initialement prévu en mars sera "bientôt" organisé, précisant que les besoins du secteur "dépassent de loin" les prévisions initiales. elle a également informé que ce retard qui vient en préparation de ce concours a été sous-tendu par la tenue de trois colloques régionaux dans le but de définir les besoins réels du secteur en fonction de chaque filière, matière et wilaya, avant de souligner que le nombre avancé à diverses occasions et relatif aux besoins du secteur en prévision de la prochaine rentrée scolaire, "sera considéré à la hausse car les postes à pourvoir dépassent de loin les 7000". Elle a estimé que l'organisation de ce concours durant ce mois "permettra à la direction générale de la Fonction publique d'examiner les demandes de candidatures en toute sérénité et équité pour annoncer, par la suite, la liste finale des candidats". Celle-ci sera irrévocable, a-t-elle tenu à faire remarquer à ce propos. D'autre part, Mme Benghebrit a précisé que l'organisation du concours avant l'été "nous permettra de finaliser les préparatifs de la carte scolaire en prévision de la prochaine rentrée scolaire". Par ailleurs, les parties en charge de l'organisation du concours de recrutement des enseignants ont recouru cette fois-ci à des "critères particuliers" qui exigent de l'enseignant potentiel une "compétence spécialisée" en matière de prise en charge de l'élève du secondaire outre le niveau d'instruction qui ne doit pas être en deçà du Master. La ministre de l'Education nationale a insisté enfin, sur l'importance accordée par son secteur au recrutement des enseignants diplômes des Ecoles supérieures au regard de la "qualité" de la formation dispensée et leur disposition psychologique à exercer leur fonction. L'éducation a connu cette année de nouvelles mesures qui tendent à faire face aux différentes lacunes que connait ce secteur depuis déjà plusieurs années et qui se répercutent sur le niveau scolaire de nos élèves. A l'instar de l'installation dernièrement la commission chargée de réviser les statuts particuliers du personnel de l'éducation. A ce propos la ministre affirme que cette commission regroupant la tutelle et 10 organisations syndicales, constituera un "espace pour étudier minutieusement les problèmes posés et les résoudre". Le ministère est "fermement déterminé à traiter positivement les diverses préoccupations et les problèmes soulevés par les syndicats à propos des déséquilibres relevés dans le statut des travailleurs de l'éducation nationale, élaboré en 2008", a affirmé Mme Benghebrit au cours d'une intervention sur les ondes de la Radio nationale de Guelma. Elle a également indiqué que les représentants syndicaux ont été destinataires d'une copie de "la charte de la déontologie et de stabilité" en vue de son enrichissement pour qu'elle devienne un "contrat" engageant toutes les parties : tutelle, enseignants, élèves et parents d'élèves. Ce projet servira de "plateforme" pour conduire tous les partenaires à améliorer les modes de gestion du secteur, rompre avec l'instabilité et trouver des voies pour résoudre les problèmes autrement que par l'arrêt du travail et la grève.