Au niveau de l'Assemblée populaire nationale l'inquiétude grandit. La gestion de certains dossiers économiques suscite, en effet, moult préoccupations. Au niveau de l'Assemblée populaire nationale l'inquiétude grandit. La gestion de certains dossiers économiques suscite, en effet, moult préoccupations. Le marché parallèle de change, l'allocation touristique, la diminution des réserves du Fonds de régulation de recettes (FRR) , les postes vacants sont, entres autres, des questions sur lesquelles la commission des affaires financières et du budget de l'APN a explicitement fait montre de ses réserves et de ses craintes parfois. En tout cas sur ces points, cette commission spécialisée compte interpeller le gouvernement, à travers le ministre des Fiances. « Nous sommes conte l'économie parallèle et contre le marché informel » a indiqué Zebbar Berrabah, président de la commission des finances et du budget de l'APN. Ce dernier, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse, faisait ainsi allusion au marché parallèle de change qui échappe à tout contrôle de l'Etat. "Cette situation n'est pas du tout normale" dira le conférencier en affichant sa perplexité à propos de la non ouverture des bureaux de change pour mettre fin aux bourses parallèles. Et de s'interroger : «Pourquoi ne pas réguler cette activité ?». Une question qui, à vrai dire, a déjà été posée avec insistance et à maintes reprises par les députés tant au ministre des Finances qu'au gouverneur de la Banque d'Algérie. Et à chaque fois les responsables n'ont pas apporté des réponses claires et convaincantes. « Cette fois encore nous allons interpeller le ministre des Finances » a soutenu Zebbar lorsque il a abordé cette question qui lui a été posée à la faveur de la dernière descente policière au marché parallèle de la devise du square Port Said. Cette interpellation du ministre des Finances ne concerne pas uniquement ce point puisque le conférencier a aussi indiqué vouloir saisir le premier argentier du pays sur la question de l'allocation touristique. « L'allocation touristique constitue une véritable humiliation pour les Algériens » a en effet martelé le président de la commission des affaires financières. « On demande aux autorités de revoir cette question », a-t-il ajouté. Là encore les députes n'ont eu de cesse de revenir à la charge sur cette question. Il faut savoir que le touriste algérien bénéficie chaque année de l'équivalent en devises de 15 000 dinars. Autant dire qu'il s'agit d'une modique somme comparativement à ce que perçoivent les Tunisiens ou les Marocains. L'autre question qui a été évoquée concerne la chute du prix du baril de pétrole et ses répercussions sur les réserves de changes et le Fonds de régulation des recettes(FRR). Le gouvernement est en train de puiser dans ce fonds et de recourir aux réserves de changes pour faire face aux énormes besoins du pays. S'appuyant sur un rapport du FMI une agence d'information spécialisée a indiqué que l'Algérie va épuiser ses réserves de change en 15 mois. La dévaluation du dinar par rapport au dollar préoccupe aussi la commission de l'APN et sur l'ensemble de ces questions elle compte demander des éclaircissements au ministre des Finances. Cette commission a, pour rappel, organisé plusieurs sorties sur le terrain pour s'enquérir de la situation de plusieurs organismes. Une action qui se poursuivra à l'avenir. Elle a ainsi été à la Cour des comptes, au port d'Alger, à l'ANEM, l'ANSEJ, La CNAC, l'ANGEM ....etc. Zebbar a indiqué que la Cour des comptes doit être renforcée en moyens humains puisque le nombre de magistrats reste très limité. Il a de même indiqué que la commission va demander de plus amples éclaircissements à propos des milliers de postes d'emplois encore vacants alors que les postes budgétaires existent. Le marché parallèle de change, l'allocation touristique, la diminution des réserves du Fonds de régulation de recettes (FRR) , les postes vacants sont, entres autres, des questions sur lesquelles la commission des affaires financières et du budget de l'APN a explicitement fait montre de ses réserves et de ses craintes parfois. En tout cas sur ces points, cette commission spécialisée compte interpeller le gouvernement, à travers le ministre des Fiances. « Nous sommes conte l'économie parallèle et contre le marché informel » a indiqué Zebbar Berrabah, président de la commission des finances et du budget de l'APN. Ce dernier, qui s'exprimait hier lors d'une conférence de presse, faisait ainsi allusion au marché parallèle de change qui échappe à tout contrôle de l'Etat. "Cette situation n'est pas du tout normale" dira le conférencier en affichant sa perplexité à propos de la non ouverture des bureaux de change pour mettre fin aux bourses parallèles. Et de s'interroger : «Pourquoi ne pas réguler cette activité ?». Une question qui, à vrai dire, a déjà été posée avec insistance et à maintes reprises par les députés tant au ministre des Finances qu'au gouverneur de la Banque d'Algérie. Et à chaque fois les responsables n'ont pas apporté des réponses claires et convaincantes. « Cette fois encore nous allons interpeller le ministre des Finances » a soutenu Zebbar lorsque il a abordé cette question qui lui a été posée à la faveur de la dernière descente policière au marché parallèle de la devise du square Port Said. Cette interpellation du ministre des Finances ne concerne pas uniquement ce point puisque le conférencier a aussi indiqué vouloir saisir le premier argentier du pays sur la question de l'allocation touristique. « L'allocation touristique constitue une véritable humiliation pour les Algériens » a en effet martelé le président de la commission des affaires financières. « On demande aux autorités de revoir cette question », a-t-il ajouté. Là encore les députes n'ont eu de cesse de revenir à la charge sur cette question. Il faut savoir que le touriste algérien bénéficie chaque année de l'équivalent en devises de 15 000 dinars. Autant dire qu'il s'agit d'une modique somme comparativement à ce que perçoivent les Tunisiens ou les Marocains. L'autre question qui a été évoquée concerne la chute du prix du baril de pétrole et ses répercussions sur les réserves de changes et le Fonds de régulation des recettes(FRR). Le gouvernement est en train de puiser dans ce fonds et de recourir aux réserves de changes pour faire face aux énormes besoins du pays. S'appuyant sur un rapport du FMI une agence d'information spécialisée a indiqué que l'Algérie va épuiser ses réserves de change en 15 mois. La dévaluation du dinar par rapport au dollar préoccupe aussi la commission de l'APN et sur l'ensemble de ces questions elle compte demander des éclaircissements au ministre des Finances. Cette commission a, pour rappel, organisé plusieurs sorties sur le terrain pour s'enquérir de la situation de plusieurs organismes. Une action qui se poursuivra à l'avenir. Elle a ainsi été à la Cour des comptes, au port d'Alger, à l'ANEM, l'ANSEJ, La CNAC, l'ANGEM ....etc. Zebbar a indiqué que la Cour des comptes doit être renforcée en moyens humains puisque le nombre de magistrats reste très limité. Il a de même indiqué que la commission va demander de plus amples éclaircissements à propos des milliers de postes d'emplois encore vacants alors que les postes budgétaires existent.