Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel a affirmé avant-hier à Rabat (Maroc) que l'Algérie oeuvrait à faciliter l'établissement d'un dialogue inclusif qui réunisse tous les Libyens autour d'un même agenda. Le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel a affirmé avant-hier à Rabat (Maroc) que l'Algérie oeuvrait à faciliter l'établissement d'un dialogue inclusif qui réunisse tous les Libyens autour d'un même agenda. "Fidèle à la lutte commune contre le colonialisme, l'Algérie oeuvre à la demande des frères libyens, à travers une diplomatie sereine et persévérante et en coordination permanente avec l'ONU et les parties libyennes concernées, à faciliter l'établissement d'un véritable dialogue inclusif qui réunisse tous les Libyens autour d'un même agenda", a précisé M.Messahel dans une allocution prononcée lors de la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union du Maghreb Arabe (UMA). Pour M. Messahel, ce "dialogue repose sur des bases et objectifs à leur tête l'unité de la Libye, la préservation de sa souveraineté, le refus de toute ingérence étrangère, la lutte contre le terrorisme et l'édification d'un Etat moderne". "Ce processus que l'Algérie a, d'abord, lancé par des contacts intenses avec les frères libyens et contribué, ensuite, à son aboutissement en abritant une réunion des chefs de partis et militants politiques, se veut la seule alternative pour parvenir à une solution politique consensuelle à travers la formation d'un gouvernement d'union nationale", a-t-il ajouté. M. Messahel a souligné que ce gouvernement "jouira du plein soutien de l'Algérie" réitérant l'appui de l'Algérie au représentant spécial du secrétaire général de l'ONU, Bernardino Leon. S'agissant de la sécurité régionale, le ministre a estimé qu'il s'"agit d'une des principales questions qui exige de nous une concertation intense à ce sujet" affirmant que la Méditerranée "doit rester un facteur de paix, de coopération et de stabilité, d'où la nécessité pour nous tous d'oeuvrer à ce qu'elle ne devienne pas un espace de division entre les deux rives". Le représentant de l'Algérie à la réunion du Conseil des ministres des AE de l'UMA a souligné que "le groupe maghrébin qui partage les défis du terrorisme, ne doit ménager aucun effort pour protéger les droits de notre communauté établie en Europe et éviter qu'elle ne devienne victime de l'islamophobie". "La menace des groupes terroristes au Sahel et les actes barbares commis par certains d'entre eux et qui prennent des proportions alarmantes ont eu un impact sur la sécurité et la stabilité des pays de la région", a poursuivi M. Messahel ajoutant que "le terrorisme se nourrit des conflits et du chaos". Dans ce contexte, M. Messahel a affirmé que "les solutions politiques à ces conflits qui doivent être trouvées à travers le dialogue, constituent une nécessité impérieuse afin d'empêcher les groupes terroristes de se servir de ces conflits". La stabilité, a-t-il dit, "permet aux Etats de lutter efficacement contre le terrorisme et les réseaux de trafic de drogue". "Fidèle à la lutte commune contre le colonialisme, l'Algérie oeuvre à la demande des frères libyens, à travers une diplomatie sereine et persévérante et en coordination permanente avec l'ONU et les parties libyennes concernées, à faciliter l'établissement d'un véritable dialogue inclusif qui réunisse tous les Libyens autour d'un même agenda", a précisé M.Messahel dans une allocution prononcée lors de la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l'Union du Maghreb Arabe (UMA). Pour M. Messahel, ce "dialogue repose sur des bases et objectifs à leur tête l'unité de la Libye, la préservation de sa souveraineté, le refus de toute ingérence étrangère, la lutte contre le terrorisme et l'édification d'un Etat moderne". "Ce processus que l'Algérie a, d'abord, lancé par des contacts intenses avec les frères libyens et contribué, ensuite, à son aboutissement en abritant une réunion des chefs de partis et militants politiques, se veut la seule alternative pour parvenir à une solution politique consensuelle à travers la formation d'un gouvernement d'union nationale", a-t-il ajouté. M. Messahel a souligné que ce gouvernement "jouira du plein soutien de l'Algérie" réitérant l'appui de l'Algérie au représentant spécial du secrétaire général de l'ONU, Bernardino Leon. S'agissant de la sécurité régionale, le ministre a estimé qu'il s'"agit d'une des principales questions qui exige de nous une concertation intense à ce sujet" affirmant que la Méditerranée "doit rester un facteur de paix, de coopération et de stabilité, d'où la nécessité pour nous tous d'oeuvrer à ce qu'elle ne devienne pas un espace de division entre les deux rives". Le représentant de l'Algérie à la réunion du Conseil des ministres des AE de l'UMA a souligné que "le groupe maghrébin qui partage les défis du terrorisme, ne doit ménager aucun effort pour protéger les droits de notre communauté établie en Europe et éviter qu'elle ne devienne victime de l'islamophobie". "La menace des groupes terroristes au Sahel et les actes barbares commis par certains d'entre eux et qui prennent des proportions alarmantes ont eu un impact sur la sécurité et la stabilité des pays de la région", a poursuivi M. Messahel ajoutant que "le terrorisme se nourrit des conflits et du chaos". Dans ce contexte, M. Messahel a affirmé que "les solutions politiques à ces conflits qui doivent être trouvées à travers le dialogue, constituent une nécessité impérieuse afin d'empêcher les groupes terroristes de se servir de ces conflits". La stabilité, a-t-il dit, "permet aux Etats de lutter efficacement contre le terrorisme et les réseaux de trafic de drogue".